Le Neo3 Link reprend l'architecture habituelle des casques de VR, avec
Sur le dessus à droite, on retrouve le bouton power et la led d'état multicolore. Elle indique notamment l'état de la charge du casque. Un connecteur USB type C dédié à la charge est présent. A gauche, on a la connectique pour brancher le câble DP. Il s'agit en fait d'un autre connecteur USB type C, qui cette fois, fait passer le signal DP et l'USB.
Sur le dessous, on retrouve tout ce qui a trait à l'audio : on le micro, 2 boutons +/- pour gérer le volume, et un jack 3,5 mm pour relier un casque audio additionnel si on le souhaite. L'ensemble intégrant de base des haut-parleurs présents sur l'arceau, c'est un plus.
Sur le côté droit, on a 3 boutons, de taille et de texture différentes, ce qui permet de les rendre discernables au toucher. Ils ont des fonctions classiques, permettant notamment de valider et de faire retour arrière.
Une petite led bleue, qui s'allume quand on appuie sur le bouton sérigraphié Pico, permet de s'assurer qu'il y a encore de la batterie, et permet aussi de lancer la recherche du casque pour l'appariement. Et bien sûr, un large anneau, comportant une série de capteurs, surmonte les manettes. Couplé à la couleur blanche, on a l'impression d'avoir en main des wiimotes façon VR. En plus précis, cela dit : d'après le constructeur, les contrôleurs sont capables d'une précision millimétrique sur 6 degrés de liberté.
Comme bien souvent avec ce genre de manette, l'utilisation de dragonne est fortement recommandée. Ici, elles sont fines, et viennent s'installer d'une manière assez futée. Il n'y a pas besoin de faire de nœud ou de bouclette, il suffit juste de faire coulisser l’extrémité cylindrique dans le puits accueillant une des vis de fixation, et de faire passer la dragonne sous l'ergot.
Chaque contrôleur pèse au final 175 g, dragonne et piles comprises.
Il n'y a plus qu'à passer au démarrage.
Avant
La façade est le seul élément bicolore, avec la partie haute en blanc et la partie inférieure en noir. au centre en haut, on a les ouïes de ventilation. Derrière se cache un petit ventilateur. Aux coins, chaque partie arrondie cache une caméra, utilisées pour le tracking inside out.Sur le dessus à droite, on retrouve le bouton power et la led d'état multicolore. Elle indique notamment l'état de la charge du casque. Un connecteur USB type C dédié à la charge est présent. A gauche, on a la connectique pour brancher le câble DP. Il s'agit en fait d'un autre connecteur USB type C, qui cette fois, fait passer le signal DP et l'USB.
Sur le dessous, on retrouve tout ce qui a trait à l'audio : on le micro, 2 boutons +/- pour gérer le volume, et un jack 3,5 mm pour relier un casque audio additionnel si on le souhaite. L'ensemble intégrant de base des haut-parleurs présents sur l'arceau, c'est un plus.
Sur le côté droit, on a 3 boutons, de taille et de texture différentes, ce qui permet de les rendre discernables au toucher. Ils ont des fonctions classiques, permettant notamment de valider et de faire retour arrière.
Arrière
A l'arrière se trouve l'habituelle molette de serrage, qui permet d'adapter l'arceau à sa tête. Mais, plus inhabituel, il y a aussi la batterie de 5300 mAh. Cet emplacement permet un bon équilibrage du casque, pour éviter qu'il ait la fâcheuse tendance de glisser vers le bas. Une grosse zone de mousse est également présente, afin de bien caler la tête lors du serrage.Contrôleurs
Commençons par préciser que les 2 contrôleurs ne sont pas rigoureusement identiques : il y a un gauche et un droit. De chaque côté, on un ensemble de boutons quasi identique : un mini joystick, une grosse gâchette pour l'index et une autre pour le pouce, 2 boutons (dénommés A et B d'un coté, X et Y de l'autre), et 2 boutons affleurants pour le système.Une petite led bleue, qui s'allume quand on appuie sur le bouton sérigraphié Pico, permet de s'assurer qu'il y a encore de la batterie, et permet aussi de lancer la recherche du casque pour l'appariement. Et bien sûr, un large anneau, comportant une série de capteurs, surmonte les manettes. Couplé à la couleur blanche, on a l'impression d'avoir en main des wiimotes façon VR. En plus précis, cela dit : d'après le constructeur, les contrôleurs sont capables d'une précision millimétrique sur 6 degrés de liberté.
Comme bien souvent avec ce genre de manette, l'utilisation de dragonne est fortement recommandée. Ici, elles sont fines, et viennent s'installer d'une manière assez futée. Il n'y a pas besoin de faire de nœud ou de bouclette, il suffit juste de faire coulisser l’extrémité cylindrique dans le puits accueillant une des vis de fixation, et de faire passer la dragonne sous l'ergot.
Chaque contrôleur pèse au final 175 g, dragonne et piles comprises.
Ecran
Niveau écran, le constructeur annonce une résolution 4K. Si dans les TV, le 4K implique une résolution de 3840 x 2160, ici, elle est légèrement plus faible, avec 3664 x 1920. La dalle est en fait LCD et mesure 5,5", une diagonale qu'on trouve sur des smartphones.Il n'y a plus qu'à passer au démarrage.