Depuis son introduction en 2017, la série H chez NZXT a toujours été la vitrine technologique de la marque, intégrant des technologies innovantes  – sous réserve bien sûr de posséder le modèle le plus haut de gamme à chaque fois –  de génération en génération, le design reste proche pour assurer une continuité et une image de marque, un peu comme sur les automobiles. Notre H7 n'y déroge pas : une forme très carrée, un design sobre, le passe-câble intérieur et les alvéoles tant chères au fabricant sont des signes communs aux générations de la série H. Nous testons cependant à la rédaction la version d'entrée de gamme, où NZXT a été au plus simple en termes de fonctionnalités, permettant un design encore plus épuré.

Deux autres versions sont disponibles à l'achat : H7 flow et H7 Elite. Le Flow se concentrant sur un refroidissement optimum en intégrant une façade totalement alvéolée pour un passage d'air accru et le H7 elite sur les fonctionnalités annexes : éclairage, contrôle des ventilateurs en plus de se doter une façade en verre trempé. Ils sont disponibles à respectivement 149 et 239 €. Le notre coûte le même prix que la version flow, à savoir 149 €. Vous aurez donc le choix entre notre modèle et le H7 flow pour le même prix.

Face avant

La façade est totalement pleine et le logo NZXT trône à sa base. Pas d'aération visible directement, il faudra se rendre au panneau arrière du boîtier pour apercevoir l'entrée d'air de la façade, composée de toutes petites alvéoles. Cette entrée d'air et le blanc du panneau donnent un côté vraiment futuriste au boîtier. Elle fait d'ailleurs partie du panneau.

Panneau avant

Ce H7 reprend une fois de plus le verre trempé pour pouvoir jeter un oeil à sa configuration. Le sticker « Tempered glass handle with care » est lui aussi toujours présent et relancera le débat « alors je l'enlève ou non ? » sur les forums. La vitre étant imposante, elle est à manipuler avec précaution. Il n'y a d'ailleurs pas de système de fixation pour la maintenir, alors que le précédent H7 disposait d'une vis à l'arrière, ici il suffira de venir tirer la porte pour pouvoir l'enlever. Système qui a été repris sur l'ensemble du boîtier et qui évite de forcer énormément sur les panneaux pour pouvoir les retirer, une modification appréciable.

Panneau arrière

À l'arrière, nous retrouvons 7 slots PCiE, la sortie d'air pour un ventilateur en 140 mm ou en 120 mm, l'emplacement pour les connectiques de la carte-mère et le passage pour l'alimentation. Pour fixer l'alimentation, il faudra faire à l'ancienne et la visser directement au cul du boîtier. En comparaison, le précédent H7 disposait d'une plaque qui venait se fixer sur l'alimentation puis ensuite se fixait au boîtier à l'aide de vis à main. A droite des slots PCIe, une fente est présente et sert en fait à ajouter un montage vertical pour la carte graphique.

Dessus

Partons maintenant sur le dessus où nous retrouvons une large plaque parsemée d'alvéoles qui assure le refroidissement du boîtier. C'est aussi ici que l'air frais sera tiré pour les watercooling les plus volumineux. Pour la connectique en façade, il y a un bouton ON/OFF, 2 ports USB 3.0, un connecteur Jack 3.5 et un port USB-C. La même connectique que la génération précédente donc, toujours en manque de ports USB en façade. Même constat pour la version la plus haut de gamme, le H7 Elite après un tour sur le site du fabricant. Quand le design prime sur l'utilisabilité...

En dessous

Voyons la face du dessous. Elle dispose de quatre pieds avec des patins en caoutchouc antidérapants qui surélèvent le boîtier d’environ 2 cm. Ils sont pleins pour assurer un maintient optimal et le design arrondi offre une belle touche de modernité. Il y a la présence de deux filtres anti-poussière amovible pour le nettoyage, le premier directement sous l’emplacement de l’alimentation et le deuxième sous la façade. À côté de ce dernier filtre, nous avons 4 trous dont deux serviront au placement du rack des disques durs, le tout sans visserie.

Passons à l'intérieur de la bête.