Avant de continuer, il est important de noter que – comme nous l'avions précisé juste avant – notre Elite 2 est équipé de switchs HyperX Red : ils sont semblables aux Cherry MX Red, à la seule différence que le point d'actionnement ainsi que la course totale sont réduits de 0,2 mm. On a ainsi un point d'actionnement à 1,8 mm pour une course totale de 3,8 mm. On a donc une distance d'activation très courte ainsi qu'une sensibilité maximale : ils offrent par conséquent une réactivité optimale. Mais ils exigeront également un temps d'adaptation plus ou moins important pour éviter certains désagréments liés à leur résistance quasi nulle : les switchs Red nécessitent une force d'actionnement de seulement 45 g.
Ce périphérique affiche près de 1530 g sur la balance, pour une taille de presque 44,4 cm de long sur 17,4 cm de large. Pour ce qui est de la longueur, ce sont des dimensions plus qu'habituelles pour un clavier avec un pavé numérique et sans macros supplémentaires, autrement dit : un classique 105 touches. Mais sur la largeur le clavier est un peu plus imposant étant donné qu'il accueille sur le dessus une bande lumineuse ainsi que différentes touches dédiées et la molette de volume. Mais il faut dire que ce n'est pas énorme, et sans repose-poignet, il n'est pas nécessaire de prévoir beaucoup de place sur le bureau pour le poser. Le Elite 2 propose un revêtement entièrement soft touch sur ses touches, et la dalle est en acier rigide ; à l'arrière , c'est un plastique granuleux qui a été choisi, et il faut dire que l'ensemble des matériaux utilisés inspire la qualité. Une fois le clavier retourné, on aperçoit quatre pads antidérapants disposés aux quatre coins de cette face arrière, et les pieds surélévateurs sont également antidérapants. Cela couplé à son poids plutôt conséquent, le Elite 2 se retrouve très bien accroché au bureau et ne risque pas de déraper, sauf en cas de choc assez conséquent, bien évidemment.
Concernant les touches, celles-ci sont incurvées et tombent bien sous le doigt. Le lettrage est simple, sans aucune déviance atypique, sauf si ce n'est sur la barre espace sur laquelle est apposé le logo HyperX. La police est très lisible et épaisse, ce qui laisse bien passer la lumière du rétroéclairage. Mais le point le plus important de ces touches, et la principale nouveauté qui est ici apportée par rapport à la première version du Alloy Elite, c'est bien qu'elles sont translucides sur les deux tiers de leur tranche. Ces fameuses touches « pudding » qui étaient jusque-là souvent simple objet de personnalisation, se retrouvent maintenant intégrées de base sur un clavier. Il faut avouer qu'elles ont leur charme, et on ne peut nier que l'expérience lumineuse qui en découle est sans égal : les couleurs sont agréablement diffusées sur l'ensemble des caractères, qui semblent flotter sur un nuage lumineux.
On retrouve en haut à gauche les touches de raccourcis, qui sont elles malheureusement non rétroéclairées, qui permettent de régler la luminosité du RGB sur 5 niveaux d'intensité, switcher à la volée sur un des trois profils enregistrables, et enfin la touche gaming, qui empêche l'actionnement de certaines touches et combinaisons jugées gênantes en jeu. De l'autre côté se présentent les touches multimédia dédiées, ainsi qu'une large molette pour régler le son. Entre ces éléments et le reste du clavier, on a une bande lumineuse qui fait toute la longueur du clavier, et qui pourra s'animer de pair avec l'ensemble du Elite 2. Au-dessus du pavé numérique, on a le logo de la marque, cette fois dans un style argenté du plus bel effet.
Le Elite 2 se relie au PC via un câble USB de 1,8 m de long qui se termine par deux connecteurs, le premier servant à alimenter le clavier en lui-même, et le second étant simplement lié au port pass-through qu'on trouve au niveau des touches multimédias. Ce port permettra notamment de brancher une souris, un casque, ou même un téléphone. Le câble est gainé d'un tissu noir, permettant au fil de ne pas s’emmêler et de mieux résister face à l'épreuve du temps. Au bout du câble se présente un connecteur USB 2.0 dont la fiche n'est pas plaquée or, et c'est tant mieux, car ce n'est qu'une caractéristique commerciale destinée à persuader que la conductivité de l'or est un atout pour la transmission d'informations numériques, ce qui est totalement faux : cela n'impacte en rien la qualité du connecteur.
Passons maintenant au logiciel accompagnant le clavier.
Ce périphérique affiche près de 1530 g sur la balance, pour une taille de presque 44,4 cm de long sur 17,4 cm de large. Pour ce qui est de la longueur, ce sont des dimensions plus qu'habituelles pour un clavier avec un pavé numérique et sans macros supplémentaires, autrement dit : un classique 105 touches. Mais sur la largeur le clavier est un peu plus imposant étant donné qu'il accueille sur le dessus une bande lumineuse ainsi que différentes touches dédiées et la molette de volume. Mais il faut dire que ce n'est pas énorme, et sans repose-poignet, il n'est pas nécessaire de prévoir beaucoup de place sur le bureau pour le poser. Le Elite 2 propose un revêtement entièrement soft touch sur ses touches, et la dalle est en acier rigide ; à l'arrière , c'est un plastique granuleux qui a été choisi, et il faut dire que l'ensemble des matériaux utilisés inspire la qualité. Une fois le clavier retourné, on aperçoit quatre pads antidérapants disposés aux quatre coins de cette face arrière, et les pieds surélévateurs sont également antidérapants. Cela couplé à son poids plutôt conséquent, le Elite 2 se retrouve très bien accroché au bureau et ne risque pas de déraper, sauf en cas de choc assez conséquent, bien évidemment.
Concernant les touches, celles-ci sont incurvées et tombent bien sous le doigt. Le lettrage est simple, sans aucune déviance atypique, sauf si ce n'est sur la barre espace sur laquelle est apposé le logo HyperX. La police est très lisible et épaisse, ce qui laisse bien passer la lumière du rétroéclairage. Mais le point le plus important de ces touches, et la principale nouveauté qui est ici apportée par rapport à la première version du Alloy Elite, c'est bien qu'elles sont translucides sur les deux tiers de leur tranche. Ces fameuses touches « pudding » qui étaient jusque-là souvent simple objet de personnalisation, se retrouvent maintenant intégrées de base sur un clavier. Il faut avouer qu'elles ont leur charme, et on ne peut nier que l'expérience lumineuse qui en découle est sans égal : les couleurs sont agréablement diffusées sur l'ensemble des caractères, qui semblent flotter sur un nuage lumineux.
On retrouve en haut à gauche les touches de raccourcis, qui sont elles malheureusement non rétroéclairées, qui permettent de régler la luminosité du RGB sur 5 niveaux d'intensité, switcher à la volée sur un des trois profils enregistrables, et enfin la touche gaming, qui empêche l'actionnement de certaines touches et combinaisons jugées gênantes en jeu. De l'autre côté se présentent les touches multimédia dédiées, ainsi qu'une large molette pour régler le son. Entre ces éléments et le reste du clavier, on a une bande lumineuse qui fait toute la longueur du clavier, et qui pourra s'animer de pair avec l'ensemble du Elite 2. Au-dessus du pavé numérique, on a le logo de la marque, cette fois dans un style argenté du plus bel effet.
Le Elite 2 se relie au PC via un câble USB de 1,8 m de long qui se termine par deux connecteurs, le premier servant à alimenter le clavier en lui-même, et le second étant simplement lié au port pass-through qu'on trouve au niveau des touches multimédias. Ce port permettra notamment de brancher une souris, un casque, ou même un téléphone. Le câble est gainé d'un tissu noir, permettant au fil de ne pas s’emmêler et de mieux résister face à l'épreuve du temps. Au bout du câble se présente un connecteur USB 2.0 dont la fiche n'est pas plaquée or, et c'est tant mieux, car ce n'est qu'une caractéristique commerciale destinée à persuader que la conductivité de l'or est un atout pour la transmission d'informations numériques, ce qui est totalement faux : cela n'impacte en rien la qualité du connecteur.
Passons maintenant au logiciel accompagnant le clavier.