Analysons maintenant les résultats, présentés sous forme d'histogrammes :
Aida64 :
On le disait, ce test est synthétique. Il permet de mesurer les écarts maximum qu'on peut avoir entre différentes configurations de fréquences et de timings.
Ce qu'on observe est conforme à l'attendu. Entre la configuration par défaut et le profil XMP, on enregistre des gains assez importants, de l'ordre de 19 %, pour
les 3 mesures réalisées : lecture, écriture, et latence. L'overclocking, en revanche, n'apporte qu'entre 3 % et 4 % suivant les valeurs étudiées. Mais comme ils sont « gratuits », on ne va pas s'en plaindre.
La GeilL est en retrait, quand on la compare à armes égales avec les Ballistix. Elle est pénalisée par son C17, tout simplement. Et on le verra sur les autres tests, cela sera toujours le cas.
7Zip :
Dans ce test pratique, on observe les écarts les plus importants entre les différentes configurations, ce qui montre bien combien les logiciels de compression sont sensibles aux performances de la RAM. L'activation du XMP permet de gagner 17 % par rapport aux résultats de base, ce qui est proche des 19 % de gain mesures dans AIDA 64. Le passage à 3300 MHz et aux timings réduits apportent quant à eux 6,45 % de bonus, 2 fois plus qu'en synthétique.
Ici, à 3200 MHz, la GeiL fait même moins bien que le Ballistix à 2666 !
Linx :
Déjà, on peut remarquer les excellents résultats, tous supérieurs à 330 GFLOPS. Cela est directement lié au 9900K utilisé, avec ses 8 cœurs / 16 threads à 4,8 GHz.
Ici on voit qu'on sort du benchmark purement dépendant de la RAM. En effet, le passage au XMP permet de grappiller ici un peu moins de 2 %, loin des 19 % théoriques mesurés avec AIDA. En revanche, l'overclocking, et ses timings agressifs, permettent de gagner 11 %, ce qui montre tout l’intérêt de l'opération ici.
Sans surprise, là encore, la GeiL ferme la marche.
Avant de refermer ce test, on peut faire un petit détour sur le reste du catalogue de RAM Crucial.
Aida64 :
On le disait, ce test est synthétique. Il permet de mesurer les écarts maximum qu'on peut avoir entre différentes configurations de fréquences et de timings.
Ce qu'on observe est conforme à l'attendu. Entre la configuration par défaut et le profil XMP, on enregistre des gains assez importants, de l'ordre de 19 %, pour
les 3 mesures réalisées : lecture, écriture, et latence. L'overclocking, en revanche, n'apporte qu'entre 3 % et 4 % suivant les valeurs étudiées. Mais comme ils sont « gratuits », on ne va pas s'en plaindre.
La GeilL est en retrait, quand on la compare à armes égales avec les Ballistix. Elle est pénalisée par son C17, tout simplement. Et on le verra sur les autres tests, cela sera toujours le cas.
7Zip :
Dans ce test pratique, on observe les écarts les plus importants entre les différentes configurations, ce qui montre bien combien les logiciels de compression sont sensibles aux performances de la RAM. L'activation du XMP permet de gagner 17 % par rapport aux résultats de base, ce qui est proche des 19 % de gain mesures dans AIDA 64. Le passage à 3300 MHz et aux timings réduits apportent quant à eux 6,45 % de bonus, 2 fois plus qu'en synthétique.
Ici, à 3200 MHz, la GeiL fait même moins bien que le Ballistix à 2666 !
Linx :
Déjà, on peut remarquer les excellents résultats, tous supérieurs à 330 GFLOPS. Cela est directement lié au 9900K utilisé, avec ses 8 cœurs / 16 threads à 4,8 GHz.
Ici on voit qu'on sort du benchmark purement dépendant de la RAM. En effet, le passage au XMP permet de grappiller ici un peu moins de 2 %, loin des 19 % théoriques mesurés avec AIDA. En revanche, l'overclocking, et ses timings agressifs, permettent de gagner 11 %, ce qui montre tout l’intérêt de l'opération ici.
Sans surprise, là encore, la GeiL ferme la marche.
Avant de refermer ce test, on peut faire un petit détour sur le reste du catalogue de RAM Crucial.