Le packaging du G12 reprend bien sûr les codes de NZXT : il est majoritairement blanc et violet, et il arbore fièrement le nom du produit en question sur sa face avant. On retrouve un packaging standard, mais vraiment classe, avec évidemment une belle et grande photo du produit à l’avant et quelques spécifications techniques sur les côtés. A l'arrière, outre de classiques photos, on voit de beaux graphiques, qui annoncent les gains moyens de températures observés, et qu'on essayera donc de reproduire. NZXT annonce pas moins de 40 % ! Pour terminer sur l'emballage, on remarque qu'une pastille présente sur le côté de la boite indique la couleur du G10, dans notre cas : noir. Une version blanche est également disponible, mais c'est tout : les versions bleues et rouge disponibles sur le G10 ont disparu.


Ouvrons maintenant l'emballage. On découvre alors les différents éléments, bien rangés et protégés dans de la mousse compacte. On a donc, outre le G12 :

• Système de rétention (AMD / Nvidia)
  
• Guide de montage
  
• Visserie
  
• Ventilateur 92 mm
  
• Colliers de serrage

On note que la pâte thermique n'est pas incluse. Si le watercooling utilisé est neuf, il dispose déjà d'un patch de pâte thermique, mais sinon, il faudra s'en procurer un tube.

Concrètement, le G12 est une plaque de métal travaillée en forme de L. La tranche présente le logo de la marque et des perforations, sans doute pour l'aération, tandis que le dessus est doté de 2 larges ouvertures. La première est destinée à accueillir un wateblock d'AIO compatible (cf la liste des modèles supportés dans la fiche technique, à droite du présent article). On reconnaitra sans mal les encoches des kits Aseteks, ce qui explique la longue liste des waterblocks supportés.


La seconde ouverture permet d'installer un ventilateur de 92 mm, qui est livré par le constructeur. Il est estampillé NZXT, bien évidemment, et utilise un connecteur 3 broches, qui indique qu'il tournera à vitesse constante.


Il est maintenant temps de passer au montage.