Au moment de la rédaction de ce test, la version 1.0 utilisée ici pèse 5,53 Mo, ce qui est relativement léger. À noter que Mad Catz a décidé de dédier un logiciel spécialement pour le Strike 4, ce qui offre donc une installation assez légère et normalement plus poussée pour ce clavier. Malheureusement ce dernier s'en retrouve très rudimentaire : une seule et unique fenêtre compose le soft. En plus de cela, comme beaucoup de pilotes de périphériques, le choix de la langue n’est pas disponible. Mad Catz ne fait pas exception en ne proposant que l’anglais, bien que celui-ci soit parfaitement compréhensible avec un niveau collège.
Le logiciel propose le strict minimum du paramétrage de périphérique gaming, c'est-à-dire celui des effets lumineux, des macros et du taux de rafraîchissement. Il est vrai que les effets de lumières sont plutôt nombreux et jolis à voir, mais cela ne suffit pas. En plus d'être rudimentaire en fonctionnalités, le software manque cruellement d'ergonomie. Il est tellement impraticable que, lorsque le logiciel représente un mode de rétroéclairage, il est impossible de sélectionner une touche pour lui assigner une macro, c'est dire...
Après plusieurs semaines de test passées à essayer ce nouveau clavier et à en explorer l'écosystème, il est temps d'en faire le bilan.
Le logiciel propose le strict minimum du paramétrage de périphérique gaming, c'est-à-dire celui des effets lumineux, des macros et du taux de rafraîchissement. Il est vrai que les effets de lumières sont plutôt nombreux et jolis à voir, mais cela ne suffit pas. En plus d'être rudimentaire en fonctionnalités, le software manque cruellement d'ergonomie. Il est tellement impraticable que, lorsque le logiciel représente un mode de rétroéclairage, il est impossible de sélectionner une touche pour lui assigner une macro, c'est dire...
Après plusieurs semaines de test passées à essayer ce nouveau clavier et à en explorer l'écosystème, il est temps d'en faire le bilan.