Après plusieurs jours passés en compagnie de ce clavier Corsair, il est temps de faire le bilan.
Le repose-poignet est finalement plus réussi qu'on ne pourrait le croire. Les pattes de fixation qui paraissent fragiles sont en fait flexibles, et il faut presser légèrement dessus pour qu'elles se défassent. Et on se fait rapidement à la texture utilisée.
Ce Corsair, sans être le modèle le plus silencieux du lot, est tout de même rudement bien situé ! On le sait, la technologie à membrane ne produit pas de son désagréable. Et même en frappant comme un fou sur le clavier, on n'entend pas d'écho comme on entend parfois sur les claviers mécanique. Ici, votre entourage ne sera pas gêné par le bruit de ce clavier.
Le type d'activité a aussi un impact : si vous tapez beaucoup de texte, ou si vous faites seulement quelques recherches sur internet sur la même période, la consommation liée à l'usage des signaux sans fil ne sera pas la même. On a également fait un autre essai : si on laisse le clavier allumé à fond, sans le connecter, alors l'autonomie est d'une quinzaine d'heures. Cela prouve bien que les LEDs ne sont pas le seul éléments drainant la batterie.
De plus, il faut souligner qu'avec la mise en veille automatique, après un délai paramétrable dans iCue comme on l'a vu précédemment, on économise au maximum. Et le K57 est très rapide à sortir de veille, il suffit d'appuyer sur n'importe quelle touche et il devient opérationnel en quelques instants.
Connectivité
Tout d'abord, il faut noter qu'aucun souci de connexion n'est à signaler, cela s'est fait vraiment tout seul ! Sur un PC doté du Bluetooth, la connexion en s'est faite de manière intuitive, en quelques secondes ! Côté radio Slipstream, sur un PC fixe, même topo. Cette double connectivité permet même de partager le K57 entre 2 équipements – voire plus, si on le souhaite. Et petite mention pour l'emplacement du dongle sur la tranche du Corsair, celui-ci permet donc de déplacer le clavier sans égarer le précieux adaptateur radio.Ergonomie
On sent que clavier est solide, il n'y a pas de couinement dû à des plastiques mal ajustés quand on appuie un peu dessus par exemple, ce qui est gage d'une bonne qualité de finition – même si en faisant ça, on verra le K57 cintrer. La frappe est vraiment agréable, et, avantage non négligeable, silencieuse. La sérigraphie utilisée est à l'image du clavier, sobre et élégante. Le lettrage n'est pas très épais, mais ce n'est pas la seule source de lumière, puisque le pourtour des touches est également concerné.Le repose-poignet est finalement plus réussi qu'on ne pourrait le croire. Les pattes de fixation qui paraissent fragiles sont en fait flexibles, et il faut presser légèrement dessus pour qu'elles se défassent. Et on se fait rapidement à la texture utilisée.
RGB
Le plus parlant pour parler du RGB est de regarder quelques photos. Globalement, le système d'illumination est assez réussi. Le fait que les touches sont éclairées par le pourtour en plus du centre y est pour quelque chose. Au niveau logiciel, les effets sont assez nombreux, tout le monde devrait y trouver son compte. Cependant, il y a quand même une petite restriction : nous n'avons pas réussi à paramétrer la lumière des touches de manière individuelle, comme ce que le Wooting One permet notamment.Bruit
Les amateurs de switches mécaniques le savent, un clavier peut être bruyant. Nous avons donc comparé le K57 à un ensemble de modèles, méca ou pas.- Logitech corded keyboard – membrane
- Roccat Skeltr – membrane
- Ozone Strike Battle – Switch MX brown
- Keybad Orbweaver Chroma – Switch Razer Green
- Klim Domination – Switch Outemu Blue
- G-Lab Carbon² – Switch Jiate Blue
- Wooting One – Switch Flaretech Blue
- G-Lab Carbon² – Switch Jiate Blue
Ce Corsair, sans être le modèle le plus silencieux du lot, est tout de même rudement bien situé ! On le sait, la technologie à membrane ne produit pas de son désagréable. Et même en frappant comme un fou sur le clavier, on n'entend pas d'écho comme on entend parfois sur les claviers mécanique. Ici, votre entourage ne sera pas gêné par le bruit de ce clavier.
Autonomie
Et on finit bien évidemment en abordant le sujet de l'autonomie. On le rappelle, dans la fiche technique, l'autonomie annoncée, via Slipstream, est la suivante :- Eclairage éteint : 175 heures
- Luminosité niveau 1 : 35 heures
- Luminosité niveau 2 : 20 heures
- Luminosité niveau 3 : 8 heures
Le type d'activité a aussi un impact : si vous tapez beaucoup de texte, ou si vous faites seulement quelques recherches sur internet sur la même période, la consommation liée à l'usage des signaux sans fil ne sera pas la même. On a également fait un autre essai : si on laisse le clavier allumé à fond, sans le connecter, alors l'autonomie est d'une quinzaine d'heures. Cela prouve bien que les LEDs ne sont pas le seul éléments drainant la batterie.
De plus, il faut souligner qu'avec la mise en veille automatique, après un délai paramétrable dans iCue comme on l'a vu précédemment, on économise au maximum. Et le K57 est très rapide à sortir de veille, il suffit d'appuyer sur n'importe quelle touche et il devient opérationnel en quelques instants.