Protocoles de test
Voici nos conditions de test :- La configuration précédemment citée ;
- OCCT 5.5.1 sur 16 thread pour chauffer le processeur ;
- 3DMark11 pour chauffer la carte graphique ;
- HWmonitor pour monitorer l’activité et les températures ;
- Nous ne toucherons pas aux réglages de ventilation du boitier ;
- Le ventilateur de la carte graphique est réglé sur 40 % en permanence grâce à MSI Afterburner ;
- Prise de son au sonomètre Voltcraft SL-100 (un article le détaillant est disponible ici), à 50 cm du boîtier ;
- Deux mesures sont réalisées, en idle et en burn.
Le Phalanx n'est pas équipé de Rhéobus, nous testerons donc les températures avec les ventilateurs branchés sur le contrôleur offert par le constructeur. Le sonomètre est placé à 50 cm de la porte vitrée du boitier. Un test de 15 minutes devrait suffire sous OCCT, les températures relevées seront comparées à notre ancien boîtier : le Cooler Master MC500M.
Résultats
Analyse
Le face à face avec le MC500M est ici tout à fait possible avec des températures en burn qui se retrouvent être très proches pour les deux. Merci aux nombreux ventilateurs du Phalanx qui soufflent un maximum. Au repos, chacun montre son avantage à tour de rôle. Le Phalanx refroidit bien mieux le GPU en idle par exemple, mais se fait largement dépasser partie CPU par le MC500M dans la même situation.L'écart entre les deux boîtiers n'est donc pas significatif côté température. Le Phalanx se voit alors tout à fait adapté à refroidir une configuration plutôt musclée. Mais avec 49 décibels aussi bien en utilisation normale que poussée le boitier se fait fortement entendre, là où le Cooler Master plafonne à 33 décibels au maximum. Cette différence de 16 décibels équivaut à un rapport 6,3 (l'échelle des décibels est logarithmique) ce qui est disons le, absolument énorme.
Le refroidissement est donc excellent, mais en contrepartie du silence pour ce Kolink Phalanx.