Du point de vue gameplay, Resident Evil 2 parvient à marier traditions et modernité. Que ce soit les déplacements, l’inventaire ou les animations, tout a été adapté aux standards actuels, en ne reniant à aucun moment ce qui a fait le charme de la saga. On se retrouvera donc bloqués face à des portes fermées, à des vapeurs nécessitant une vanne de fermeture ou à un ordinateur attendant sa clé USB pour nous filer une super arme. Les pétoires sont en effet nombreuses dans le jeu, seul rempart contre l’horreur et les abominations. Croyez-moi, on se sent tout de suite plus rassuré pour déambuler dans les couloirs du commissariat lorsque l’on possède un fusil à pompe ! Les armes possèdent un feeling assez inégal, certaines étant vraiment intéressantes, d’autres faisant passer à des pistolets à eau et des fusils à plomb.
Ceci étant dit, les munitions sont rares, et vous devrez parfois à effectuer des choix cornéliens : « dois-je éliminer cet ennemi au risque de me priver de munitions ? ». En effet, dans le jeu, la survie est souvent synonyme de fuite — en tout cas en mode difficile dans lequel nous avons bouclé le jeu. La seule présence d’un ennemi dans une zone peut vous forcer à reculer et à fouiller les pièces inexplorées à la recherche de munitions ou de soins appropriés. Cet état de fait crée une tension palpable à chaque ouverture de porte et chaque nouvelle pièce explorée. J’ai parfois regretté le côté frustrant du jeu qui décide unilatéralement de changer certaines règles lorsque l’on accumule les munitions et rend les zombies plus résistants (on passe de deux tirs à 5-6 tirs dans la tête pour les éliminer). De la même manière, le fait que les zombies réapparaissent dans certaines zones alors qu’elles avaient été sécurisées peut être frustrant. À ce titre, les planches permettant de barricader certaines ouvertures sont sous-exploitées. On aurait ainsi aimé que les zombies ne puissent pas réapparaitre dans les zones calfeutrées, par exemple.
La progression dans le jeu se fait lentement, en se laissant porter par le scénario du titre au rythme imposé par les développeurs. Vous aurez à résoudre des énigmes simples, mais efficaces comme la combinaison d’éléments ou la recherche d’objets cachés dans les éléments du décor. Les différentes zones à visiter (le commissariat, l’orphelinat, les égouts, etc.) sont bien travaillées et plaisantes à découvrir, même si le commissariat reste au-dessus en termes de construction et les égouts sont parfois frustrants dans les allers et retours qu’ils imposent alors que leur architecture rend ces déambulations pénibles.
Ceci étant dit, les munitions sont rares, et vous devrez parfois à effectuer des choix cornéliens : « dois-je éliminer cet ennemi au risque de me priver de munitions ? ». En effet, dans le jeu, la survie est souvent synonyme de fuite — en tout cas en mode difficile dans lequel nous avons bouclé le jeu. La seule présence d’un ennemi dans une zone peut vous forcer à reculer et à fouiller les pièces inexplorées à la recherche de munitions ou de soins appropriés. Cet état de fait crée une tension palpable à chaque ouverture de porte et chaque nouvelle pièce explorée. J’ai parfois regretté le côté frustrant du jeu qui décide unilatéralement de changer certaines règles lorsque l’on accumule les munitions et rend les zombies plus résistants (on passe de deux tirs à 5-6 tirs dans la tête pour les éliminer). De la même manière, le fait que les zombies réapparaissent dans certaines zones alors qu’elles avaient été sécurisées peut être frustrant. À ce titre, les planches permettant de barricader certaines ouvertures sont sous-exploitées. On aurait ainsi aimé que les zombies ne puissent pas réapparaitre dans les zones calfeutrées, par exemple.
La progression dans le jeu se fait lentement, en se laissant porter par le scénario du titre au rythme imposé par les développeurs. Vous aurez à résoudre des énigmes simples, mais efficaces comme la combinaison d’éléments ou la recherche d’objets cachés dans les éléments du décor. Les différentes zones à visiter (le commissariat, l’orphelinat, les égouts, etc.) sont bien travaillées et plaisantes à découvrir, même si le commissariat reste au-dessus en termes de construction et les égouts sont parfois frustrants dans les allers et retours qu’ils imposent alors que leur architecture rend ces déambulations pénibles.