Une fois libérée de sa boite, la Wyrm est assez petite. Son design est basique, sa forme rappelle celle des souris bas de gamme pour la bureautique. Heureusement, les couleurs et son aspect la sortent de cette appréhension. Rouge et noir dominent, avec un effet écaillé transparent sur le dessus et quelques zones transparentes afin de faire sortir l'effet lumineux.

Sur le dessus donc, nous avons cet aspect craqué transparent entouré d'un noir mat. Le logo de la marque est lui aussi transparent et sert d'épicentre aux craquelures. Pas de démarcation pour les clics droit et gauche, les boutons suivent et intègrent la coque de la souris. Une grosse molette qui dispose d'un revêtement antidérapant pour une bonne adhérence au doigt. Cette molette est suivie de 2 boutons noir programmables fléchés. Le plastique noir de la Wyrm est de très bonne qualité et est très solide. Elle est aussi rugueuse pour un très bon grip.


Sur les côtés, pas de repose pouce, car la souris est ambidextre. Pas vraiment le top niveau confort, mais les gauchers, souvent délaissés, apprécieront cette attention. Sur l'un des côtés, nous retrouvons 2 boutons programmables, l'un est lisse et l'autre avec un relief par point, plutôt utile pour les différencier au touché et éviter de se tromper de bouton IG. Il n'y a rien de l'autre côté, dommage pour une souris ambidextre, certains utilisateurs auraient aimé, pour leur confort, des boutons programmables de ce côté aussi.


Sur le dessous, on retrouve le capteur optique Pixart 6403, sur le côté droit au milieu. En haut et en bas, nous avons deux patins antidérapants pour éviter la glisse involontaire de la souris. La marque nous rappel aussi le nombre max de DPI disponible sous son logo et le nom du modèle soit la Wy...Lavawolf ? Surpris, nous avons pris contact avec le fabricant qui nous indique qu'il ne s'agit que de l’étiquette chinoise, elle portera le nom de Wyrm dès la sortie officielle de la souris. Enfin, nous avons un bouton rouge... faut-il vraiment appuyer dessus ? Pas d’inquiétude, il s'agit d'un bouton « setting switch» mais à ce niveau du test et aux vues des informations sur la notice et la boite... nous n'avons aucune idée de quel « setting » il s'agit. Espérons qu'il ne soit pas trop important IG. Nous allons voir ça très prochainement dans la page suivante.

Et pour finir, le câble de connexion de la souris vers la tour. Pour le coup, Redragon a bien joué le jeu : un câble gainé aux couleurs rouge et noir de la souris elle-même. Plutôt sympa comparé aux autres souris du moment, même de haut de gamme, qui sont gainés noir et... noir. Il est aussi à mémoire de forme, une fois qu'il aura pris sa place sur votre battlestation il ne sera pas gênant dans les mouvements de la souris. La gaine est de haute qualité et bien tressée, aucun défaut (oui, oui j'ai vérifié toutes les mailles...enfin presque). Au bout de ses 180 cm de câble, nous retrouvons le connecteur mâle USB « plaqué or». Pour info, le fait qu'un connecteur USB soit « gold plated » ne change rien niveau performance ou qualité... il s'agit là uniquement d'un argument marketing sur la matière, peut-on mettre un blâme à Redragon ? Non, tous les constructeurs le font.


Bon, il est temps de brancher cette souris et installer le logiciel !