L'AIO

Maintenant, faisons un petit tour en détail du waterblock et du radiateur.


Le waterblock est cylindrique. Il est en fait en plastique noir, et est recouvert d'une couche de silicone épais blanc. Sur le dessus, le nom de la marque est gravé, avec une LED dessous. A la base de l'ensemble, le revêtement en cuivre nous promet un excellent échange thermique. On notera également sur la tranche la présence d'un connecteur mini-USB, qu'il faudra connecter via un câble directement sur notre carte mère. Cela permettra l'alimentation de la pompe.

Au niveau des tubes, ceux-sont désormais gainés de noir. C'est en effet une nouveauté par rapport à la première génération de Mercury.


Le radiateur est au format 360 mm, donc il ne sera pas compatible avec n'importe quel boitier, il faudra donc bien vérifier ce point avant l'achat. Les ailettes sont en aluminium et le logo Antec est apposé ce qui est très rare dans les AIO. Sur la tranche, un petit autocollant rappelle une devise japonaise sur le nettoyage : bien nettoyer et nettoyer à temps. Effectivement, un radiateur encrassé perds de son efficacité.

Les ventilateurs

Avec son Mercury 360, le géant américain met à disposition trois ventilateurs de la marque. Les caractéristiques sont assez intéressantes avec notamment un débit de 2000 L d'air par minute, pour une nuisance inférieure à 30 dBa, ce qui annonce un bon score en termes d'efficacité de refroidissement, qui plus est silencieux.


A noter que les ventilateurs seront à brancher directement sur la carte mère, sur un connecteur Fan, et non pas sur le waterblock comme on a pu le voir sur certains autres produits de la concurrence.

RGB

L'une des grosses nouveautés de ce Mercury RGB est dans son nom : les ventilateurs sont maintenant illuminés. Cela explique le 2 eme connecteur sortant des ventilos. Pour gérer cela, le constructeur propose 2 solutions : soit d'utiliser une carte mère compatible (ASUS Aura, MSI Mystic Light et autres Gigabytes RGB Fusion), soit d'utiliser le petit contrôleur fourni dans le bundle. Celui se se présente sous la forme d'une petite télécommande filaire, qui restera posée dans le boitier. Ça ne permettra pas de changer d'effet ou de couleur à la volée, mais au moins, cela permet d'ajuster les coloris à ceux de son build.

3 boutons sont disponibles : M pour Mode en haut, S pour Speed en bas et au milieu un bouton avec le logo power, qui peut allumer ou éteindre les LEDs mais aussi gérer 4 niveaux intermédiaires de luminosité.

Passons maintenant au montage.