Dans le jargon de l'impression 3D, le logiciel qui va gérer les modèles 3D à imprimer est un slicer, de l'anglais slice, qui veut dire tranches. L’impression se faisant couche par couche, on comprend bien l'origine du nom. Ici, la société propose Cura by Dagoma, qui est leur version customisée de Ultimaker Cura, un logiciel opensource et multiplateforme dédié à l'impression 3D.
La version Dagoma est plus accessible, c'est à dire qu'elle propose une interface simplifiée, car la version complète est justement trop complète pour un utilisateur débutant, qui se trouvera noyé sous les options disponibles. Dans l'interface graphique, on voit globalement une représentation du volume dans lequel l'imprimante sait travailler, la pièce à imprimer, et les paramètres utilisés. Les paramètres disponibles sont les suivants :
Les formats de fichiers supportés sont SDL, OBJ, DAE et AMF. Donc, si besoin d'utiliser d'autres formats, comme SPL notamment, il faudra passer par des convertisseurs externes, qui se trouvent assez facilement sur internet. Le logiciel permet aussi d'intervenir sur le modèle chargé. Une des fonctions pratiques est celle de redimenssionnement (les matheux parleront d'homothétie). On peut ainsi faire en sorte que la pièce soit plus petite ou plus grande que l'originale, sur une seule, 2 ou les 3 dimensions.
On peut aussi retourner la pièce dans tous les sens, mais il faut faire attention à ce que l'on fait. La gravité jouant son rôle, si la pièce n’est pas placée correctement, elle va tomber.
Pour lancer la création de l'objet, on clique sur le bouton préparer l'impression. Le modèle 3D est alors transformé en fichier .0g, qui est alors écrit sur la carte SD. Ce fichier « 0g » est spécifique à la Neva Magis, il s'agit en fait des instructions d'impression. On peut ouvrir le fichier avec un éditeur de texte, et on peut voir un peu quelques lignes liées à la préparation de l’impression, suivi de tous les déplacements de la tête, et il y en a des centaines, comme on peut l'imaginer.
A noter que la carte SD ne peut contenir qu'un seul et unique fichier, vu qu'il n'y a pas de possibilité de choix sur l'imprimante. Ce n'est pas gênant en soi, on n'imprime qu’une seule chose à la fois de toute façon, et il est facile de stocker sa bibliothèque sur le PC.
La version Dagoma est plus accessible, c'est à dire qu'elle propose une interface simplifiée, car la version complète est justement trop complète pour un utilisateur débutant, qui se trouvera noyé sous les options disponibles. Dans l'interface graphique, on voit globalement une représentation du volume dans lequel l'imprimante sait travailler, la pièce à imprimer, et les paramètres utilisés. Les paramètres disponibles sont les suivants :
- La couleur / type de filament : cela permet de paramétrer automatiquement la température de fusion adaptée
- Le type de remplissage : cela permet de rendre l'objet plus solide si besoin, au prix d'une consommation de filament plus importante
- La qualité (finesse) d'impression : cela permet une meilleure finition, au détriment du temps d'impression
- Support pour impression : quand la pièce est trop compliqué, il peut être intéressant de rajouter des supports, qui seront des parties temporaires à retirer à la fin
Les formats de fichiers supportés sont SDL, OBJ, DAE et AMF. Donc, si besoin d'utiliser d'autres formats, comme SPL notamment, il faudra passer par des convertisseurs externes, qui se trouvent assez facilement sur internet. Le logiciel permet aussi d'intervenir sur le modèle chargé. Une des fonctions pratiques est celle de redimenssionnement (les matheux parleront d'homothétie). On peut ainsi faire en sorte que la pièce soit plus petite ou plus grande que l'originale, sur une seule, 2 ou les 3 dimensions.
On peut aussi retourner la pièce dans tous les sens, mais il faut faire attention à ce que l'on fait. La gravité jouant son rôle, si la pièce n’est pas placée correctement, elle va tomber.
Pour lancer la création de l'objet, on clique sur le bouton préparer l'impression. Le modèle 3D est alors transformé en fichier .0g, qui est alors écrit sur la carte SD. Ce fichier « 0g » est spécifique à la Neva Magis, il s'agit en fait des instructions d'impression. On peut ouvrir le fichier avec un éditeur de texte, et on peut voir un peu quelques lignes liées à la préparation de l’impression, suivi de tous les déplacements de la tête, et il y en a des centaines, comme on peut l'imaginer.
A noter que la carte SD ne peut contenir qu'un seul et unique fichier, vu qu'il n'y a pas de possibilité de choix sur l'imprimante. Ce n'est pas gênant en soi, on n'imprime qu’une seule chose à la fois de toute façon, et il est facile de stocker sa bibliothèque sur le PC.