Après plusieurs semaines de test passées à essayer ce nouveau clavier et à en explorer l'écosystème, il est temps d'en faire le bilan.
Dans un premier temps, nous parlons du point le plus important, le confort. Les touches sont très douces au toucher grâce au revêtement en caoutchouc, le tout en étant incurvés, ce qui est gage d'un grand confort : ceci même après une longue phase de jeu, ou pire encore, une longue phase de frappe. De plus, le bruit produit reste normal : comparés aux switchs Cherry MX Blue par exemple, les Red font preuve d'une nuisance sonore très acceptable. Néanmoins, la différence entre un clavier à membrane et celui-ci est clairement perceptible : la frappe sur un modèle mécanique est évidemment plus bruyante, c'est un détail qui pourra agacer l'entourage et qui peut dégoûter les adeptes du silence. Mais l'on rappelle que pour ces derniers, Fnatic Gear a prévu une version Silent du Rush G1. Et puis enfin, ces nuisances sonores sont moins perceptibles dans le cadre d'une utilisation vidéoludique, notamment parce que beaucoup de joueurs utilisent un casque.
Le rétroéclairage est de qualité, au cas où vous joueriez dans l'obscurité, il fera parfaitement le travail de rendre lisibles les touches du Rush G1 sans pour autant abîmer vos yeux par sa lumière et cela, même avec la puissance réglée au maximum. Dans un autre registre, on apprécie ses dimensions raisonnables. On n'aura pas trop de mal à lui trouver une place sur un bureau, même avec le repose-poignet.
Nous conseillerons à ceux qui écrivent beaucoup de plutôt s'orienter vers les variantes que propose Fnatic Gear, dotées de switchs différents, elles seraient bien plus polyvalentes. En effet, les switchs Red étant trop sensibles, vous risqueriez de faire énormément de fautes de frappe. En revanche, en jeu le Rush G1 fait ses preuves : la réactivité est impressionnante et on apprécie grandement le fait que le traitement simultané de plusieurs touches soit efficacement pris en charge par le N-key rollover. Aucun problème pour les frappes multiples donc, si vous vous amusez à activer 8 ou 10 touches simultanément, leur saisie sera reconnue.
Ce qui est assez surprenant, c'est que les touches s'enfoncent progressivement et sous l'effet d'une légère pression. Tout aussi insolite, le contact se fait avec une très courte distance parcourue, de l'ordre du millimètre. C'est très différent d'un clavier classique à membrane, et tout autant perturbant. Il faut apprendre à écrire sans enfoncer les touches à fond. En somme, lors d'une saisie de texte ou d'une session de jeu, nous restons sans nous en apercevoir appuyés sur les switchs par mégarde : le problème est que l'on ne sait pas quand est ce qu'on a appuyé sur une touche ou pas.
Dans un premier temps, nous parlons du point le plus important, le confort. Les touches sont très douces au toucher grâce au revêtement en caoutchouc, le tout en étant incurvés, ce qui est gage d'un grand confort : ceci même après une longue phase de jeu, ou pire encore, une longue phase de frappe. De plus, le bruit produit reste normal : comparés aux switchs Cherry MX Blue par exemple, les Red font preuve d'une nuisance sonore très acceptable. Néanmoins, la différence entre un clavier à membrane et celui-ci est clairement perceptible : la frappe sur un modèle mécanique est évidemment plus bruyante, c'est un détail qui pourra agacer l'entourage et qui peut dégoûter les adeptes du silence. Mais l'on rappelle que pour ces derniers, Fnatic Gear a prévu une version Silent du Rush G1. Et puis enfin, ces nuisances sonores sont moins perceptibles dans le cadre d'une utilisation vidéoludique, notamment parce que beaucoup de joueurs utilisent un casque.
Le rétroéclairage est de qualité, au cas où vous joueriez dans l'obscurité, il fera parfaitement le travail de rendre lisibles les touches du Rush G1 sans pour autant abîmer vos yeux par sa lumière et cela, même avec la puissance réglée au maximum. Dans un autre registre, on apprécie ses dimensions raisonnables. On n'aura pas trop de mal à lui trouver une place sur un bureau, même avec le repose-poignet.
Nous conseillerons à ceux qui écrivent beaucoup de plutôt s'orienter vers les variantes que propose Fnatic Gear, dotées de switchs différents, elles seraient bien plus polyvalentes. En effet, les switchs Red étant trop sensibles, vous risqueriez de faire énormément de fautes de frappe. En revanche, en jeu le Rush G1 fait ses preuves : la réactivité est impressionnante et on apprécie grandement le fait que le traitement simultané de plusieurs touches soit efficacement pris en charge par le N-key rollover. Aucun problème pour les frappes multiples donc, si vous vous amusez à activer 8 ou 10 touches simultanément, leur saisie sera reconnue.
Ce qui est assez surprenant, c'est que les touches s'enfoncent progressivement et sous l'effet d'une légère pression. Tout aussi insolite, le contact se fait avec une très courte distance parcourue, de l'ordre du millimètre. C'est très différent d'un clavier classique à membrane, et tout autant perturbant. Il faut apprendre à écrire sans enfoncer les touches à fond. En somme, lors d'une saisie de texte ou d'une session de jeu, nous restons sans nous en apercevoir appuyés sur les switchs par mégarde : le problème est que l'on ne sait pas quand est ce qu'on a appuyé sur une touche ou pas.