L'emballage de cette Zotac est assez sympathique, et pour une fois ne fait pas dans les tons noirs, mais dans les coloris jaunes, comme le logo de la marque. Nulle photo de la carte sur l'avant du packaging, il faudra se contenter des principales caractéristiques de l'engin et d'un visuel assez quelconque. A l'arrière sont mentionnés les 2 points mis en avant par le constructeur : la compacité de la carte – elle est capable de rentrer dans 99 % des boitiers (sont en fait exclus les boitiers desktop slim) – et sa compatibilité avec l'outil de la marque, Firestorm, qu'on présentera plus loin. On a également les principales caractéristiques de la carte, comme la taille de la RAM ou les versions d'API supportées. En revanche, et plus surprenant, il n'y a rien d'écrit sur les fréquences, il faut se référer à la fiche technique pour cela.
Après avoir ouvert l'emballage, on découvre la carte, protégée par une pochette antistatique, et de la documentation. Le bundle est minimaliste, il n'y a pas de DVD de driver fourni : un des papiers indique simplement l'url de téléchargement des pilotes sur le site officiel de Nvidia. De même, il faudra télécharger le fameux logiciel Firestorm. Ces absences sont logiques, cela permet de faire des économies, mais les joueurs sans connexion internet devront faire attention à ce point.
Détaillons maintenant la Zotac 1050 Ti Mini !
Après avoir ouvert l'emballage, on découvre la carte, protégée par une pochette antistatique, et de la documentation. Le bundle est minimaliste, il n'y a pas de DVD de driver fourni : un des papiers indique simplement l'url de téléchargement des pilotes sur le site officiel de Nvidia. De même, il faudra télécharger le fameux logiciel Firestorm. Ces absences sont logiques, cela permet de faire des économies, mais les joueurs sans connexion internet devront faire attention à ce point.
Détaillons maintenant la Zotac 1050 Ti Mini !