Comme énoncée dans les catégories précédentes, la RAT 6 permet de nombreux réglages pour obtenir une bonne ergonomie. Tout cela est bien beau en théorique, mais quid de la pratique ? Il est temps de faire le bilan après quelques semaines d'utilisation, intensive ou non, jeux-vidéos ou classique bureautique.
Tout d'abord, même sans réglage, la prise en main est très correcte. On positionne notre paume sur la souris, un peu dérouté par la forme au passage mais tout prends place rapidement : le pouce à maintenant son espace, ainsi il ne frottera plus inutilement de temps à autre sur le tapis. Les boutons de clic s'étendent au loin ; pour ceux ayant besoin de place, tout en bénéficiant d'une longueur moindre, du fait l'accès aux boutons supérieur se fait plus rapidement que vous jouez en « palm grip », « claw grip » ou « fingertip grip ». Le tout est recouvert d'une matière agréable, lisse mais sans pour autant être glissante. Puis l'on déplace l'ensemble et le poids nous paraît tout à fait correct. Exact, la RAT 6 se situe dans la moyenne haute :
On l'utilise alors quelques instants, nos habitudes guidant le tout et l'on remarque que même la chose la plus basique est différente, la molette principale pour exemple. Elle est de type cranté et offre donc une grande précision. Dès l’arrêt de celle-ci, impossible qu'elle continue par mégarde (surtout vu la taille des crans). Par contre, elle se trouve un peu plus dure à l'appui. Peut-être lui faut-il un temps d'usage pour mollir tout ça.
Cette RAT 6 offre polyvalence et confort le tout-en-un design atypique. Le mode de changement à la volée concernant les DPI et les profils se révèle utile lors de certaines phases de jeux ; fini les passages à la caméra lente ou bonjour le total changement de commandes prédéfinies. Mais la polyvalence s'exprime aussi en bureautique, avec l'utilisation des profils dans nos applications préférés, un gain de temps appréciable et une réactivité supplémentaire se font vite ressentir au fil des utilisations. Les boutons de tranches restent classiques, ils sont fermes et l'on sent bien l'appui. Par défaut, ils permettent l'action « page précédente » et « page suivante ». N'oublions pas le « super précision » au passage, celui-ci servira au cas par cas selon la situation et évidemment, selon le jeu. Il n'est pas certain que vous lui trouviez utilité dans Portal 2 par exemple.
Moins commun : la deuxième molette. Chez ZeDen, nous l'avons utilisée quelque temps en jeu pour recharger (après l'avoir configurée dans FLUX évidemment), que du bonheur. Une petite touche de réaliste supplémentaire en somme, nous rappelant une arme à feu avec barillet dans nos FPS préférés. En parlant de FPS, il est difficile de décrocher de la souris ou de la faire décrocher, la plupart des éléments se trouvant recouverts de revêtement antidérapant et le capteur pouvant monter jusqu'à 8200 DPI.
Terminons par le rétroéclairage Kameleon de la marque, qui donne belle allure à sa couleur mat. Bien que surfant sur la mode du RGB et pouvant être qualifié d'inutile par certains joueurs, nous trouvons l'initiative intéressante. Cela permet d'abord de savoir dans quel profil nous nous trouvons ; sans pour autant tourner la tête et regarder le bouton prévu pour. Ensuite, avoir une touche de personnalisation unique sur l'ensemble du périphérique fait toujours son petit effet et après tout, cet ensemble reste désactivable.
Tout d'abord, même sans réglage, la prise en main est très correcte. On positionne notre paume sur la souris, un peu dérouté par la forme au passage mais tout prends place rapidement : le pouce à maintenant son espace, ainsi il ne frottera plus inutilement de temps à autre sur le tapis. Les boutons de clic s'étendent au loin ; pour ceux ayant besoin de place, tout en bénéficiant d'une longueur moindre, du fait l'accès aux boutons supérieur se fait plus rapidement que vous jouez en « palm grip », « claw grip » ou « fingertip grip ». Le tout est recouvert d'une matière agréable, lisse mais sans pour autant être glissante. Puis l'on déplace l'ensemble et le poids nous paraît tout à fait correct. Exact, la RAT 6 se situe dans la moyenne haute :
Souris | Poids (g) |
---|---|
RAT 6 | 120 / 138 |
RAT 8 | 145 / 175 |
DiamondBack | 89 |
Cougar 700M | 110 / 128 |
Cougar 200M | 110 |
Zowie ZA 12 | 86 |
Ozone Argon Ocelote | 125 |
Logitech G402 | 104 |
CM Storm Reaper | 150 |
On l'utilise alors quelques instants, nos habitudes guidant le tout et l'on remarque que même la chose la plus basique est différente, la molette principale pour exemple. Elle est de type cranté et offre donc une grande précision. Dès l’arrêt de celle-ci, impossible qu'elle continue par mégarde (surtout vu la taille des crans). Par contre, elle se trouve un peu plus dure à l'appui. Peut-être lui faut-il un temps d'usage pour mollir tout ça.
Cette RAT 6 offre polyvalence et confort le tout-en-un design atypique. Le mode de changement à la volée concernant les DPI et les profils se révèle utile lors de certaines phases de jeux ; fini les passages à la caméra lente ou bonjour le total changement de commandes prédéfinies. Mais la polyvalence s'exprime aussi en bureautique, avec l'utilisation des profils dans nos applications préférés, un gain de temps appréciable et une réactivité supplémentaire se font vite ressentir au fil des utilisations. Les boutons de tranches restent classiques, ils sont fermes et l'on sent bien l'appui. Par défaut, ils permettent l'action « page précédente » et « page suivante ». N'oublions pas le « super précision » au passage, celui-ci servira au cas par cas selon la situation et évidemment, selon le jeu. Il n'est pas certain que vous lui trouviez utilité dans Portal 2 par exemple.
Moins commun : la deuxième molette. Chez ZeDen, nous l'avons utilisée quelque temps en jeu pour recharger (après l'avoir configurée dans FLUX évidemment), que du bonheur. Une petite touche de réaliste supplémentaire en somme, nous rappelant une arme à feu avec barillet dans nos FPS préférés. En parlant de FPS, il est difficile de décrocher de la souris ou de la faire décrocher, la plupart des éléments se trouvant recouverts de revêtement antidérapant et le capteur pouvant monter jusqu'à 8200 DPI.
Terminons par le rétroéclairage Kameleon de la marque, qui donne belle allure à sa couleur mat. Bien que surfant sur la mode du RGB et pouvant être qualifié d'inutile par certains joueurs, nous trouvons l'initiative intéressante. Cela permet d'abord de savoir dans quel profil nous nous trouvons ; sans pour autant tourner la tête et regarder le bouton prévu pour. Ensuite, avoir une touche de personnalisation unique sur l'ensemble du périphérique fait toujours son petit effet et après tout, cet ensemble reste désactivable.