Le Stinger nous est livré dans une boîte noire et rouge. La présentation, assez sobre, tranche avec les couleurs flashy habituellement utilisées pour des produits type « gaming ». Le casque nous est présenté avec une illustration. Pas de fenêtre plastifiée pour nous donner un aperçu concret du produit.

Les principales caractéristiques nous sont rappelées sur les face avant et arrière de l'emballage. Ces informations sont déclinées en 7 langues (dont anglais et français) et mettent en avant la compatibilité multi-plateformes, la qualité des transducteurs, les matières employées, le contrôleur de volume, le micro sur perche avec coupure audio automatique.


La face droite précise qu'il s'agit du casque officiel de certaines équipes ou de certaines organisations professionnelles d'e-sport, telles que le tournoi Intel Extreme Masters ou la TeamLiquid. Une façon de légitimer son produit et de mettre en avant son implication en tant que sponsor dans un domaine en plein développement.

A présent, passons au déballage du Stinger. D'emblée, remarquons le soin apporté au conditionnement du produit. Le casque est bien rangé dans sa boîte et très bien présenté. Là-dessus, HyperX ne déçoit pas et reste fidèle à ce que l'on a déjà pu constater sur d'autres produits.


Dans la boîte, nous trouvons :

• le casque avec ses coussinets en mousse prémontés et son câble de connexion présentant une fiche 3,5 mm en 4 points (écouteurs et microphones combinés) ;
• un adaptateur 3,5mm avec deux connecteurs en 3 points (écouteurs et microphones séparés)
• quelques notes informatives, c'est-à-dire un guide de démarrage rapide et un petit mot du directeur général de HyperX.