La carte SD Lexar 200X arrive dans un emballage noir rehaussé de doré, ce qui correspond aux packaging des gammes professionnelles de la marque. L'emballage met en avant la capacité de la carte, ici 32 Go. C'est le plus petit modèle de 2000X, il existe une variante 64 Go et une autre de 128 Go, pour les usages vraiment intensifs. On pense notamment à la vidéo 4K, qui ne fait a priori pas peur à cette carte puisque cela est mentionné sur l'avant de l'emballage, à côté de la belle photo montrant la carte et le lecteur fourni.
Une fois l'emballage ouvert d'un petit coup de cutter, on découvre un petit plateau qui contient les éléments suivants :
Le lecteur qui est fourni a les 2 caractéristiques nécessaires pour ne pas brider la carte. Il dispose d'un port USB 3.0 et est conforme à la norme UHS-II, ce qui n'est pas le cas des lecteurs que l'on trouve classiquement, par exemple intégrés aux PC portables ou ceux qui datent de quelques années. Ce lecteur Lexar a aussi la particularité d’être assez fin. Sur les boitiers où les ports USB en façade sont proches, cela permet de ne pas condamner le port adjacent lors de son utilisation, quand ceux-ci sont placés verticalement. C'est un détail, mais c'est un détail très bien vu du constructeur. Malheureusement, quand ces ports sont placés côte à côte horizontalement, c'est plus la même histoire...
Si on regarde l'envers, on voit que le lecteur est bel et bien UHS-II.
Passons maintenant à un peu de technique, avant d'attaquer les benchmarks. Cela permettra d'avoir une meilleure compréhension de toutes les inscriptions un peu ésotériques écrites sur l'emballage : SDHC U3 10 UHS-II ...
Une fois l'emballage ouvert d'un petit coup de cutter, on découvre un petit plateau qui contient les éléments suivants :
- La carte, protégée dans un étui plastique refermable
- Le lecteur Lexar UHS-II
- Un fascicule permettant de télécharger le logiciel Image Rescue 5
Le lecteur qui est fourni a les 2 caractéristiques nécessaires pour ne pas brider la carte. Il dispose d'un port USB 3.0 et est conforme à la norme UHS-II, ce qui n'est pas le cas des lecteurs que l'on trouve classiquement, par exemple intégrés aux PC portables ou ceux qui datent de quelques années. Ce lecteur Lexar a aussi la particularité d’être assez fin. Sur les boitiers où les ports USB en façade sont proches, cela permet de ne pas condamner le port adjacent lors de son utilisation, quand ceux-ci sont placés verticalement. C'est un détail, mais c'est un détail très bien vu du constructeur. Malheureusement, quand ces ports sont placés côte à côte horizontalement, c'est plus la même histoire...
Si on regarde l'envers, on voit que le lecteur est bel et bien UHS-II.
Passons maintenant à un peu de technique, avant d'attaquer les benchmarks. Cela permettra d'avoir une meilleure compréhension de toutes les inscriptions un peu ésotériques écrites sur l'emballage : SDHC U3 10 UHS-II ...