Évènement : Electronic Entertainment Expo (E3) 2016
Nos confrères de Factor ont eu l'occasion de poser les mains sur Space Hulk : Deathwing, le dernier né des français de Streum On Studio. Connus pour avoir réalisé E.Y.E. : Divine Cybermancy, ils s'attaquent cette fois à la licence Warhammer 40K, et plus spécifiquement aux Space Hulk. Ce sont d'immenses vaisseaux dérivant dans le Warp, et abritant simultanément de précieuses reliques et des Genestealers, des monstres vraiment pas sympathiques.

Le jeu est en fait inspiré d'un autre jeu de la licence, lui aussi dénommé Space Hulk, mais sorti il y a 20 ans. La recette de base est la même. En tant qu'Archiviste, on dirige une escouade de 5 Space Marines à travers un dédale de pièges mortels et d'ennemis ultra nombreux, et autant dire que la tache n'est pas aisée. Il est ainsi pratiquement impossible de nettoyer une carte, tout au plus pourra-t-on endiguer l'invasion en condamnant des portes ou en réactivant les défenses automatiques. 9 niveaux sont au programme, soit autant de vaisseaux, tous ayant leur propre identité bien distincte. Une carte sera à disposition, et elle sera fortement mise à contribution. Autant dire que quand elle va se couvrir de points rouges ennemis, il ne faudra pas paniquer. Dans l'espace, personne ne vous entendra crier...

Les points d'XP gagnés permettront de débloquer les pouvoirs de psyker de l'Archiviste qu'on incarne, afin de faire encore plus mal. Il faut aussi savoir que le jeu va gérer la localisation des dégâts sur l'armure du joueur. Une jambe endommagée, et les mouvements seront ralentis, un bras inutilisable, et on ne pourra plus utiliser les sorts, par exemple.

Le jeu a l'air bien léché, et on a hâte de le voir débarquer, mais pour cela, il faudra attendre encore un peu, tout du moins avant la fin de cette année.