Après plusieurs jours passés en compagnie de ce casque, il est l'heure de faire le bilan.
Tout d'abord, sur l'aspect design, la marque a bien réussi. L'ensemble est agréable à regarder, et le choix de la couleur rouge d'Ozone est une excellente idée. La robustesse semble être également au rendez-vous, on n'a pas remarqué de point faible dans la construction, les différents composants insérés dans le câble sont solidement ancrés, et les embouts comme les EQ tiennent très bien. Même après plusieurs séances de montage / démontage / remontage, il faut toujours insister un peu pour qu'ils rentrent comme il faut, signe qu'il n'y a pas de jeu. C'est toujours gênant de perdre quelque chose dans son conduit auditif, et ce TriFX ne devrait pas vous emmener au service des Urgences de sitôt.
Maintenant, intéressons-nous au rendu audio offert par ce casque, celui-ci offre une bonne prestation. Le positionnement stéréo est bon, avec une séparation nette des canaux droit et gauche. Quant à l’intérêt des EQ Enhancer en eux même, si l'idée peut être bonne sur le papier, dans les faits, nous n'avons pas été vraiment convaincus. Pas qu'ils soient mauvais, loin de là, mais Les différences ne sont pas si marquées que cela entre eux, et quand il y en a, bien souvent, c'est le Pure Mids Audio qui apporte la meilleure écoute, quelle que soit la situation. On regrettera d'ailleurs sa couleur, le marron / gris utilisé, qui n'est pas une couleur Ozone et qui se retrouve uniquement sous la forme d'un mince anneau sur les écouteurs et qui n'est pas du meilleur effet. De plus switcher de l'un à l'autre, même si cela est simple, n'est pas inné, et seule une frange des acheteurs utiliseront tous les EQ livrés.
En jeu, car ce casque a une dimension gaming affirmée, de ce côté, c'est tout bon. La précision est vraiment appréciable, et permet de jouer dans de bonnes conditions sonores. Le micro fonctionne correctement, mais il est un peu en deçà de ce qu'on trouve sur un vrai casque gaming et c'est logique. On a à ce sujet remarqué que le connecteur coudé, dont l’extrémité est un peu souple pour être plus solide, provoquait parfois des petits parasites s'il était manipulé pendant la conversation. Il vaudra donc mieux s’abstenir d'y toucher.
Côté volume maximal, nous avons relevé un peu plus de 86 dBa à l'aide de notre sonomètre VoltCraft 100. Appliqué directement sur le tympan, ça peut faire vraiment mal ! Prudence, donc. Il faut souligner qu'il n'y a pas de contrôle de volume sur le Tri-FX , il faudra régler celui-ci à la source. D'ailleurs, quand on compare le Tri-FX et ses HP de 9 mm contre l'intra Aluma de chez Roccat, équipé de membrane 8 mm, on entend le son plus fort avec l'Ozone, même si le volume à la source est identique. Cela signifie que le casque est plus efficace et nécessitera de moins pousser le volume pour un résultat identique. Sur un smartphone, cela se traduira par un léger gain d'autonomie à la clé !
En contrepartie, et à cause des EQ, les écouteurs sont plus gros et plus longs, et sur la balance, ils sont à 20 g, quand les Roccat n'en sont qu'à 14. C'est donc une belle différence, même si cela n'a en fait que peu d'impact en pratique. Dans son étui de transport, ce casque pourra vous suivre partout, et il pourra être utilisé sur n'importe quel appareil, ce qui est vraiment appréciable.
Tout d'abord, sur l'aspect design, la marque a bien réussi. L'ensemble est agréable à regarder, et le choix de la couleur rouge d'Ozone est une excellente idée. La robustesse semble être également au rendez-vous, on n'a pas remarqué de point faible dans la construction, les différents composants insérés dans le câble sont solidement ancrés, et les embouts comme les EQ tiennent très bien. Même après plusieurs séances de montage / démontage / remontage, il faut toujours insister un peu pour qu'ils rentrent comme il faut, signe qu'il n'y a pas de jeu. C'est toujours gênant de perdre quelque chose dans son conduit auditif, et ce TriFX ne devrait pas vous emmener au service des Urgences de sitôt.
Maintenant, intéressons-nous au rendu audio offert par ce casque, celui-ci offre une bonne prestation. Le positionnement stéréo est bon, avec une séparation nette des canaux droit et gauche. Quant à l’intérêt des EQ Enhancer en eux même, si l'idée peut être bonne sur le papier, dans les faits, nous n'avons pas été vraiment convaincus. Pas qu'ils soient mauvais, loin de là, mais Les différences ne sont pas si marquées que cela entre eux, et quand il y en a, bien souvent, c'est le Pure Mids Audio qui apporte la meilleure écoute, quelle que soit la situation. On regrettera d'ailleurs sa couleur, le marron / gris utilisé, qui n'est pas une couleur Ozone et qui se retrouve uniquement sous la forme d'un mince anneau sur les écouteurs et qui n'est pas du meilleur effet. De plus switcher de l'un à l'autre, même si cela est simple, n'est pas inné, et seule une frange des acheteurs utiliseront tous les EQ livrés.
En jeu, car ce casque a une dimension gaming affirmée, de ce côté, c'est tout bon. La précision est vraiment appréciable, et permet de jouer dans de bonnes conditions sonores. Le micro fonctionne correctement, mais il est un peu en deçà de ce qu'on trouve sur un vrai casque gaming et c'est logique. On a à ce sujet remarqué que le connecteur coudé, dont l’extrémité est un peu souple pour être plus solide, provoquait parfois des petits parasites s'il était manipulé pendant la conversation. Il vaudra donc mieux s’abstenir d'y toucher.
Côté volume maximal, nous avons relevé un peu plus de 86 dBa à l'aide de notre sonomètre VoltCraft 100. Appliqué directement sur le tympan, ça peut faire vraiment mal ! Prudence, donc. Il faut souligner qu'il n'y a pas de contrôle de volume sur le Tri-FX , il faudra régler celui-ci à la source. D'ailleurs, quand on compare le Tri-FX et ses HP de 9 mm contre l'intra Aluma de chez Roccat, équipé de membrane 8 mm, on entend le son plus fort avec l'Ozone, même si le volume à la source est identique. Cela signifie que le casque est plus efficace et nécessitera de moins pousser le volume pour un résultat identique. Sur un smartphone, cela se traduira par un léger gain d'autonomie à la clé !
En contrepartie, et à cause des EQ, les écouteurs sont plus gros et plus longs, et sur la balance, ils sont à 20 g, quand les Roccat n'en sont qu'à 14. C'est donc une belle différence, même si cela n'a en fait que peu d'impact en pratique. Dans son étui de transport, ce casque pourra vous suivre partout, et il pourra être utilisé sur n'importe quel appareil, ce qui est vraiment appréciable.