Le casque Tri-Fx est un intra-auriculaire. Il est donc principalement composé d'un câble en Y, noir, mais noir et rouge « Ozone » après la séparation en Y. Cela change un peu du câble noir intégral, et on peut remercier Apple et ses casques intra blancs pour avoir donné l'idée aux autres constructeurs de mettre un peu de couleur. Cela permet de retrouver le TriFX plus facilement dans un paquet de fils comme on en a tous. De surcroit, ce câble est de section plate et large de 4 mm. Cela présente le gros avantage d'être bien plus résistant au problème n°1 de ce type de casque : les fils emmêlés. Forcément, comme le câble présente une large section, les nœuds ne se forment que très difficilement et ils sont très faciles à défaire.
A l’extrémité inférieure du câble on trouve un jack 3,5 mm disposant de 4 sections. Il est donc destiné à être utilisé avec un appareil qui gère micro et casque via un seul connecteur, comme un smartphone. Détail intéressant, ce jack est coudé, ce qui lui assure une plus grande longévité si la prise casque de votre appareil est située sur la partie inférieure. Le long du câble, on trouve le bouton qui permet de prendre les appels. et qui intègre aussi le micro, comme tout casque filaire livré avec les smartphones par exemple.
A l'autre extrémité, on trouve, bien évidemment, les écouteurs du TriFX, dont la carcasse est en aluminium anodisé. Ils embarquent un HP de 9 mm chacun, ce qui est un peu supérieur à ce qu'on trouve habituellement sur ce genre de produits, et sont estampillés d'un « R » ou d'un « L », suivant leur oreille de destination. D'ailleurs, comme bien souvent, les embouts sont détachables. Ozone fournissant 3 tailles, il est facile de trouver chaussure à son pied, ou plutôt à son conduit auditif.
Bien sûr, la principale différence avec les casques habituels est la partie extérieure amovible, les EQ Enhancer. Cela se visse et se dévisse simplement à la main. Il n'y a donc pas, heureusement, besoin d'outil, et l'opération ne prend que quelques secondes.
On distingue les paires d'EQ par leur couleur :
A l’extrémité inférieure du câble on trouve un jack 3,5 mm disposant de 4 sections. Il est donc destiné à être utilisé avec un appareil qui gère micro et casque via un seul connecteur, comme un smartphone. Détail intéressant, ce jack est coudé, ce qui lui assure une plus grande longévité si la prise casque de votre appareil est située sur la partie inférieure. Le long du câble, on trouve le bouton qui permet de prendre les appels. et qui intègre aussi le micro, comme tout casque filaire livré avec les smartphones par exemple.
A l'autre extrémité, on trouve, bien évidemment, les écouteurs du TriFX, dont la carcasse est en aluminium anodisé. Ils embarquent un HP de 9 mm chacun, ce qui est un peu supérieur à ce qu'on trouve habituellement sur ce genre de produits, et sont estampillés d'un « R » ou d'un « L », suivant leur oreille de destination. D'ailleurs, comme bien souvent, les embouts sont détachables. Ozone fournissant 3 tailles, il est facile de trouver chaussure à son pied, ou plutôt à son conduit auditif.
Bien sûr, la principale différence avec les casques habituels est la partie extérieure amovible, les EQ Enhancer. Cela se visse et se dévisse simplement à la main. Il n'y a donc pas, heureusement, besoin d'outil, et l'opération ne prend que quelques secondes.
On distingue les paires d'EQ par leur couleur :
- Ultra-bass Booster : rouge
- Pure Mids Audio : marron/gris
- High Pitch Enhancer : noir