Le DVD d'installation déploie également un ensemble d'utilitaires bien faits et qui sont pour la majorité intéressants. Il faudra prendre le temps de se familiariser avec eux, au risque de passer à côté de fonctionnalités pratiques et donc de ne pas profiter pleinement de la carte. Pour les habitués de la marque, il y a 2 logiciels habituels qui manquent à l'appel, à savoir Smart 6 et Touchbios, que le constructeur a arrêté de maintenir depuis l'introduction du chipset Z77.
Ce launcher permet évidemment de lancer toutes les applications Gigabyte installées, mais permet également leur mise à jour ainsi que celles des pilotes. C'est bien plus pratique qu'avant, et cela évite de devoir aller sur le site officiel du constructeur.
Notre Gigabyte Z170X Gaming G1 est arrivée avec le BIOS en version F1, tout frais sorti de la chaine de montage, mais des BIOS plus récents sont déjà disponibles. Les premiers BIOS pouvant avoir de petits défauts de jeunesse, c'est toujours une bonne chose que de mettre à jour, et @BIOS est particulièrement bien pensé. On clique sur le bouton de mise à jour. Il demande à ce qu'on choisisse le serveur, et propose ensuite le BIOS le plus récent à jour, dans notre cas F7. Il suffit ensuite de confirmer, et la procédure de flashage du BIOS est lancée. Une fois terminée, il n'y a plus qu'à rebooter le PC.
A noter que l'opération est sans risque. En effet, la carte mère est équipée d'un double BIOS qui permet justement de récupérer la carte dans les rares fois où l'upgrade échoue. En cas de coupure de courant, par exemple, il n'y aura pas besoin de la retourner au SAV ou de la mettre à la benne. Après le reboot, le BIOS principal, qui vient d'être mis à jour, est ainsi recopié dans le BIOS de secours.
On remarquera également au passage la taille du BIOS. Alors que la normale était encore jusqu'à récemment d'utiliser des puces de 16 Mbits (2 Mo), la Gaming G1 utilise des puces de 128 Mbits (16 Mo). L'UEFI n'est sans doute pas étranger à cette prise de poids qu'on a observé déjà depuis 2 générations de cartes.
L'outil propose également de visualiser les informations du processeur et de la RAM, exactement comme avec CPU-Z, sur lequel Gigabyte s'est peut-être basé, ce qui peut éviter de l'installer.
Pratique aussi, l'outil permet de configurer des rampes de fonctionnement pour les prises ventilateurs, en fonction de la température relevée sur les sondes de la mobo, ou de configurer les économies d'énergie. Bref, tout l'attirail moderne de l'overcloker est là !
App center
La marque n'a pas ménagé ses efforts de développement, et les logiciels autrefois disparates se trouvent maintenant regroupés dans un hub, dénommé simplement Appcenter. Lui aussi reprend le flat design utilisé sur pour le setup d'installation, ainsi que la couleur rouge de la mobo. On peut également permuter l'ordre des applications par un simple drag and dropCe launcher permet évidemment de lancer toutes les applications Gigabyte installées, mais permet également leur mise à jour ainsi que celles des pilotes. C'est bien plus pratique qu'avant, et cela évite de devoir aller sur le site officiel du constructeur.
@BIOS
Cet autre outil permet de mettre à jour le BIOS de la carte mère directement sous Windows. Il est générique à toutes les cartes mères du constructeur, et lui aussi dispose désormais du nouveau look. On peut ainsi mettre à jour le BIOS directement depuis un serveur en ligne, ou depuis un fichier, ou faire une sauvegarde du BIOS actuel.Notre Gigabyte Z170X Gaming G1 est arrivée avec le BIOS en version F1, tout frais sorti de la chaine de montage, mais des BIOS plus récents sont déjà disponibles. Les premiers BIOS pouvant avoir de petits défauts de jeunesse, c'est toujours une bonne chose que de mettre à jour, et @BIOS est particulièrement bien pensé. On clique sur le bouton de mise à jour. Il demande à ce qu'on choisisse le serveur, et propose ensuite le BIOS le plus récent à jour, dans notre cas F7. Il suffit ensuite de confirmer, et la procédure de flashage du BIOS est lancée. Une fois terminée, il n'y a plus qu'à rebooter le PC.
A noter que l'opération est sans risque. En effet, la carte mère est équipée d'un double BIOS qui permet justement de récupérer la carte dans les rares fois où l'upgrade échoue. En cas de coupure de courant, par exemple, il n'y aura pas besoin de la retourner au SAV ou de la mettre à la benne. Après le reboot, le BIOS principal, qui vient d'être mis à jour, est ainsi recopié dans le BIOS de secours.
On remarquera également au passage la taille du BIOS. Alors que la normale était encore jusqu'à récemment d'utiliser des puces de 16 Mbits (2 Mo), la Gaming G1 utilise des puces de 128 Mbits (16 Mo). L'UEFI n'est sans doute pas étranger à cette prise de poids qu'on a observé déjà depuis 2 générations de cartes.
EZ Tune
EZ Tune est la version modernisée de Easy Tuner 6 qu'on trouvait habituellement dans le pack de logiciels de la marque. Il offre plusieurs modes de fonctionnement, avec des presets de fréquence pour overlocker, ainsi qu'un mode avancé, proposant bien en plus de réglages ainsi qu'une gestion par profiles. On peut donc en fait changer les paramètres à la volée sous Windows, mais il faut savoir ce qu'on fait, sinon c'est le freeze assuré.L'outil propose également de visualiser les informations du processeur et de la RAM, exactement comme avec CPU-Z, sur lequel Gigabyte s'est peut-être basé, ce qui peut éviter de l'installer.
Pratique aussi, l'outil permet de configurer des rampes de fonctionnement pour les prises ventilateurs, en fonction de la température relevée sur les sondes de la mobo, ou de configurer les économies d'énergie. Bref, tout l'attirail moderne de l'overcloker est là !