Après quelque temps en compagnie de ce kit, il est temps de faire un bilan, qui s’il ne s’avère pas exceptionnel, n’est pas négatif pour autant.
Dans les parties à porter au crédit du BassPULSE, en ce qui me concerne, je mettrais le design. En effet, sans être révolutionnaire, celui-ci est efficace. Avoir opté pour des satellites intégrés dans un plastique transparent avec de légères découpes, le tout, rehaussé par un éclairage discret, reste de bon goût. Le caisson de basses/ampli reste lui, assez classique et carré, avec un petit éclairage à pulsations en façade, comme sur les enceintes. L’éclairage des DEL n’étant pas marqué, il peut aisément s’intégrer dans un autre cadre qu’un PC de gamer.
Parlons un peu technique maintenant, au niveau du rendu stéréo, la distinction des satellites gauche et droite est plutôt bien équilibré. On distingue aisément les différents sons arrivant du canal droit ou du canal gauche. Pour tester ce point nous avons utilisé un ficher audio d’une formule 1 en ligne droite, passant devant un microphone.
Concernant la réponse en fréquence, on perdra un peu de basses à l’écoute. En effet, l’oreille humaine perçoit les sons, en moyenne, entre 20 Hz et 20 kHz. Ici, le kit est annoncé entre 80 Hz et 20 kHz. Sachant que les basses fréquences sont les basses (logique, somme toute), nous allons donc perdre une partie des basses comprises entre les 20 Hz de notre oreille et les 80 Hz du kit. Il en résultera une perte perceptible du spectre, comme on le constatera lors des résultats des tests à suivre.
Après avoir écouté « religieusement » les différents morceaux musicaux, et « goûté » aux différents environnements et bruitages des jeux, on peut déjà faire un bilan du ressenti. En ce qui concerne les aigus, le kit 2.1 BassPULSE n’est pas trop mis en défaut, et restitue assez clairement ceux-ci, mais si à volume conséquent cela devient légèrement strident. Concernant les basses, le constat est moins positif malheureusement. On remarque facilement le manque de présence des basses si l’on ne pousse leur intensité assez loin. Par exemple, avec le bouton d’intensité des basses à 20 %, on commencera à peine à « ressentir » celles-ci, que cela soit sur des morceaux musicaux y faisant appel, ou sur des bruitages d’un FPS. Il faudra bien pousser l’intensité dans les 60 % pour obtenir des basses intéressantes, mais il ne faudra pas pousser le volume, car des parasites viennent alors déprécier l’écoute. Si l’on prend l’exemple de basses à 80 % pour profiter des pulsations de DEL, il faudra tout autant augmenter le volume, et il ne restera alors qu’une petite plage sans parasites. De plus, il faut avoir un voisinage compréhensif pour pouvoir pousser le volume, sans cela, votre compagne, chien, chat ou poisson rouge, risquent fort de faire leurs valises.
Pour autant, tout n’est pas à jeter ! Il faut avouer que pour un kit 2.1 à moins de 60 euros, la qualité des différents éléments, et leur solidité n’a pas été mis en défaut jusqu’à ce jour. Ce BassPULSE se paie le luxe de rendre accessible une sonorisation un peu plus évolué que les simples enceintes basiques, pour une grande majorité de bourses. Mais il ne faudra pas s’imaginer transformer votre salon en discothèque, ou en champ de bataille lors de parties de FPS.
Dans les parties à porter au crédit du BassPULSE, en ce qui me concerne, je mettrais le design. En effet, sans être révolutionnaire, celui-ci est efficace. Avoir opté pour des satellites intégrés dans un plastique transparent avec de légères découpes, le tout, rehaussé par un éclairage discret, reste de bon goût. Le caisson de basses/ampli reste lui, assez classique et carré, avec un petit éclairage à pulsations en façade, comme sur les enceintes. L’éclairage des DEL n’étant pas marqué, il peut aisément s’intégrer dans un autre cadre qu’un PC de gamer.
Parlons un peu technique maintenant, au niveau du rendu stéréo, la distinction des satellites gauche et droite est plutôt bien équilibré. On distingue aisément les différents sons arrivant du canal droit ou du canal gauche. Pour tester ce point nous avons utilisé un ficher audio d’une formule 1 en ligne droite, passant devant un microphone.
Concernant la réponse en fréquence, on perdra un peu de basses à l’écoute. En effet, l’oreille humaine perçoit les sons, en moyenne, entre 20 Hz et 20 kHz. Ici, le kit est annoncé entre 80 Hz et 20 kHz. Sachant que les basses fréquences sont les basses (logique, somme toute), nous allons donc perdre une partie des basses comprises entre les 20 Hz de notre oreille et les 80 Hz du kit. Il en résultera une perte perceptible du spectre, comme on le constatera lors des résultats des tests à suivre.
Après avoir écouté « religieusement » les différents morceaux musicaux, et « goûté » aux différents environnements et bruitages des jeux, on peut déjà faire un bilan du ressenti. En ce qui concerne les aigus, le kit 2.1 BassPULSE n’est pas trop mis en défaut, et restitue assez clairement ceux-ci, mais si à volume conséquent cela devient légèrement strident. Concernant les basses, le constat est moins positif malheureusement. On remarque facilement le manque de présence des basses si l’on ne pousse leur intensité assez loin. Par exemple, avec le bouton d’intensité des basses à 20 %, on commencera à peine à « ressentir » celles-ci, que cela soit sur des morceaux musicaux y faisant appel, ou sur des bruitages d’un FPS. Il faudra bien pousser l’intensité dans les 60 % pour obtenir des basses intéressantes, mais il ne faudra pas pousser le volume, car des parasites viennent alors déprécier l’écoute. Si l’on prend l’exemple de basses à 80 % pour profiter des pulsations de DEL, il faudra tout autant augmenter le volume, et il ne restera alors qu’une petite plage sans parasites. De plus, il faut avoir un voisinage compréhensif pour pouvoir pousser le volume, sans cela, votre compagne, chien, chat ou poisson rouge, risquent fort de faire leurs valises.
Pour autant, tout n’est pas à jeter ! Il faut avouer que pour un kit 2.1 à moins de 60 euros, la qualité des différents éléments, et leur solidité n’a pas été mis en défaut jusqu’à ce jour. Ce BassPULSE se paie le luxe de rendre accessible une sonorisation un peu plus évolué que les simples enceintes basiques, pour une grande majorité de bourses. Mais il ne faudra pas s’imaginer transformer votre salon en discothèque, ou en champ de bataille lors de parties de FPS.