Le logiciel de configuration de la Castor ne nécessite pas d'installation : il arrive sous forme de zip de moins de 3 Mo, à simplement extraire et à lancer. Nous avons testé la version 1.29, sortie à la mi-aout de cette année. Elle comporte un petit bug qui sera corrigé, d’après le constructeur, dans la prochaine version : il est pour l'instant impossible de changer la langue de l'interface, malgré une liste de choix bien présente. Le français sera bien évidemment de la partie, et c'est quelque chose que l'on aimerait voir chez tous les constructeurs de périphériques gaming. En attendant, et heureusement pour nous, c'est l'anglais et non le suédois qui est la langue par défaut. A noter cependant que ce pilote n'est pas unifié, contrairement à ce que font certaines constructeurs. Cela s'explique aisément par le fait que la marque ne propose que très peu de produits : outre quelques souris, il n'y a qu'une seule référence de clavier, et tout simplement aucun casque.
Globalement, l'interface est sobre et assez claire, ça change des fenêtres surchargées à la ROCCATpar exemple. Comme très souvent, le pilote est découpé en plusieurs onglets aux intitulés assez clairs, qu'on vous présente ci-dessous.
C'est ici également qu'on change le taux de rafraichissement, il n'y a pas de raison de se priver de le passer à 1000 Hz. On a aussi quelques paramètres de pointeurs repris de Windows. C'est toujours bien de les avoir de manière centralisée dans le pilote avec tous les autres réglages
On peut également régler ici la distance de soulèvement de la souris avant que le capteur ne fasse plus bouger le curseur. On pourra regretter que la graduation ne soit pas en millimètres, car là il faut expérimenter pour trouver le bon réglage. Le constructeur en a bien conscience, et a intégré justement un bouton « Test » pour ce faire.
La dernière fonctionnalité majeure de ce panneau du pilote est le SQAT, pour Surface Quality Analysis Tool. Il donne une note, exprimée sur 100, à la surface où la souris est placée. Concrètement, pendant 10 secondes, vous devez déplacer au hasard afin de balayer la plus grande surface de votre tapis, et le score tombe une fois ce temps écoulé. Ainsi, en utilisant la souris directement sur le bureau, on obtient une note de seulement 30 %. Un petit tapis d'entrée de gamme comme le Ozone Boson récolte 60 % alors qu'un bon tapis, comme le Qpad FX 90 décroche les 90 % ! Choisir son tapis avec soin sera donc nécessaire, comme avec toute souris, pour profiter pleinement de cette Castor.
Les 2 choses que l'on ne peut pas faire, c'est modifier les 20 couleurs de base utilisées par les effets, et dissocier les effets par LED. Est-ce vraiment utile, les développeurs a priori n'en étaient pas convaincus et nous nous plus. En revanche, pour les réfractaires aux effets lumineux de toute sorte, il est possible de désactiver purement et simplement les LEDs.
Le nombre de macros n'est bien entendu pas limité, mais leur nom est quant à lui restreint à 32 caractères maximum.
Globalement, l'interface est sobre et assez claire, ça change des fenêtres surchargées à la ROCCATpar exemple. Comme très souvent, le pilote est découpé en plusieurs onglets aux intitulés assez clairs, qu'on vous présente ci-dessous.
Mouse settings
Le premier onglet est dédié, comme son nom l'indique, au paramétrage de la souris. On peut donc programmer l'intégralité des boutons présents sur la Castor, de manière habituelle. Il est ainsi possible de leur affecter des fonctions Windows, un appui de touche ou bien encore un appel de macro.C'est ici également qu'on change le taux de rafraichissement, il n'y a pas de raison de se priver de le passer à 1000 Hz. On a aussi quelques paramètres de pointeurs repris de Windows. C'est toujours bien de les avoir de manière centralisée dans le pilote avec tous les autres réglages
Sensor Performance
Cette page est un peu plus technique que la précédente, car là on touche directement au capteur de la souris. C'est ici notamment ici qu'on va pouvoir définir les 3 paliers de DPI sur une plage de valeur comprise entre 50 et 10 000, par incrément de 50. Bien évidemment, personne n'utilisera cette dernière valeur énorme mais comme elle est gérée par le capteur Pixart, elle est présente. On peut désynchroniser le paramétrage suivant l'axe, et avoir une valeur différente entre l'axe horizontal et le vertical, mais cela n'est pas intuitif, et ne sera utilisable que dans certains jeux après une certaine phase d'adaptation.On peut également régler ici la distance de soulèvement de la souris avant que le capteur ne fasse plus bouger le curseur. On pourra regretter que la graduation ne soit pas en millimètres, car là il faut expérimenter pour trouver le bon réglage. Le constructeur en a bien conscience, et a intégré justement un bouton « Test » pour ce faire.
La dernière fonctionnalité majeure de ce panneau du pilote est le SQAT, pour Surface Quality Analysis Tool. Il donne une note, exprimée sur 100, à la surface où la souris est placée. Concrètement, pendant 10 secondes, vous devez déplacer au hasard afin de balayer la plus grande surface de votre tapis, et le score tombe une fois ce temps écoulé. Ainsi, en utilisant la souris directement sur le bureau, on obtient une note de seulement 30 %. Un petit tapis d'entrée de gamme comme le Ozone Boson récolte 60 % alors qu'un bon tapis, comme le Qpad FX 90 décroche les 90 % ! Choisir son tapis avec soin sera donc nécessaire, comme avec toute souris, pour profiter pleinement de cette Castor.
Colors Settings
Ici on est dans le cosmétique, avec le paramétrage des 2 LEDS RGB de la souris, celle de la molette ainsi que celle du logo. On peut ainsi choisir leur couleur parmi les plus de 16 millions disponibles, en entrant le code RGB. A défaut, on peut choisir dans une première sélection de 20 couleurs. Il y a également possibilité de passer automatiquement d'une couleur à l'autre, via le biais des effets. On a disposition le clignotement, la « pulsations » ou de « respiration », dont les 2 derniers mettant en lumière les rythmes biologique humains.Les 2 choses que l'on ne peut pas faire, c'est modifier les 20 couleurs de base utilisées par les effets, et dissocier les effets par LED. Est-ce vraiment utile, les développeurs a priori n'en étaient pas convaincus et nous nous plus. En revanche, pour les réfractaires aux effets lumineux de toute sorte, il est possible de désactiver purement et simplement les LEDs.
Macro Settings
Comme tout pilote de souris gaming qui se respecte, celui de la Castor embarque un éditeur de Macros. Celui-ci est simple à prendre en main. Il permet notamment d'enregistrer sa séquence de touches, puis de la modifier, afin notamment d'y ajouter ou retirer des délais entre chaque opération. On peut également créer sa macro à la main, mais dans ce cas, il ne sera pas possible d'y ajouter des actions clavier.Le nombre de macros n'est bien entendu pas limité, mais leur nom est quant à lui restreint à 32 caractères maximum.
Pas mal d'acheteurs récents de la marque mentionnant une baisse de qualité générale dans les produits, je me suis donc mis à la recherche d'une autre marque et me suis arrêté sur cet article.
Vu les éloges faits, je viens d'en commander une.
On verra si elle les mérite
Merci pour le test dans tous les cas !