De prime abord, on a affaire à une souris très classique pour la forme : neutre, symétrique et ambidextre. Les gauchers apprécieront. Côté taille, la souris se situe plutôt dans la moyenne basse. Elle épouse assez bien la forme de la main, mais reste un peu courte pour soutenir un poignet d'adulte. On note un léger renfoncement sur chaque tranche, afin d'améliorer la tenue du pouce.
Au niveau de la forme, la FK2 rappelle la Sensei Raw que nous avons eu l'occasion de tester pour vous – mais la comparaison s'arrête là, car les deux souris divergent sur pas mal de points.
Sur les matières par exemple. Nous avons apprécié ici un plastique de bonne facture. Il ne paie peut-être pas de mine, on sera peut-être surpris par l'absence de glossy ou de gomme, mais dès qu'on le prend en main, on remarque tout de suite qu'il accroche très bien sous les doigts. Sa surface lisse et sèche me rappelle un peu la coque supérieure de la Logitech G500. Il ne devrait pas y avoir de problème de transpiration avec, et on ne devrait pas perdre son temps à l'astiquer avec un chiffon micro-fibres.
On retrouve en plus des classiques clics gauches et droits, une série de deux raccourcis latéraux, de chaque côté de la souris. Par défaut, ces raccourcis sont attribués aux fonctions « précédent » et « suivant ». Ces deux boutons latéraux sont fins et allongés, mais bien placés et facilement accessibles.
Petite particularité : soit les raccourcis de gauche sont actifs, soit les raccourcis de droite... Mais pas les quatre en même temps. Il vous faut choisir. Par défaut, les boutons à droite sont désactivés. Si cette configuration ne vous convient pas, il vous suffit de presser une combinaison de touches, sur la souris, au moment de la connexion du périphérique avec l'ordinateur : molette + clic droit pour activer les touches de droit, molette + clic gauche pour réactiver les touches de gauche.
Près du capteur optique, on trouve également le bouton qui permet de modifier la sensibilité : 400 DPI, 800 DPI, 1600 DPI, 3200 DPI. Il faut forcément retourner la souris pour faire ce réglage – ce qui n'est évidemment pas possible dans le feu de l'action.
A côté, le câble de la souris se termine par un connecteur USB plaqué or, chose qui se répand de plus en plus dans les souris pour joueur. L'or est le métal qui a la meilleure conductivité électrique, c'est le meilleur matériau à utiliser pour faire de la connectique performante. C'est pour cela que dans le domaine de l'audio haut de gamme, on trouve régulièrement des câbles d'enceintes avec des connecteurs recouverts de ce métal. Mais dans le contexte d'une souris, on est dans le psychologique plus qu'autre chose. En effet, si les câbles audio à connecteurs en or peuvent trouver une certaine justification due au fait que le signal transitant dans les câbles est analogique, dans une souris, c'est du numérique qui passe. Peu importe le métal, du moment qu'il soit conducteur et que la prise USB soit faite comme la norme l'exige, il n'y aura pas de perte, ni de gain à ce niveau-là.
Au niveau de la forme, la FK2 rappelle la Sensei Raw que nous avons eu l'occasion de tester pour vous – mais la comparaison s'arrête là, car les deux souris divergent sur pas mal de points.
Sur les matières par exemple. Nous avons apprécié ici un plastique de bonne facture. Il ne paie peut-être pas de mine, on sera peut-être surpris par l'absence de glossy ou de gomme, mais dès qu'on le prend en main, on remarque tout de suite qu'il accroche très bien sous les doigts. Sa surface lisse et sèche me rappelle un peu la coque supérieure de la Logitech G500. Il ne devrait pas y avoir de problème de transpiration avec, et on ne devrait pas perdre son temps à l'astiquer avec un chiffon micro-fibres.
Les boutons
Les boutons gauches et droits forment un tout uni avec la coque de la souris. Il faut tout de même exercer une certaine pression pour déclencher le fameux clic, et de ce fait le risque de clics accidentels me semble assez faible.On retrouve en plus des classiques clics gauches et droits, une série de deux raccourcis latéraux, de chaque côté de la souris. Par défaut, ces raccourcis sont attribués aux fonctions « précédent » et « suivant ». Ces deux boutons latéraux sont fins et allongés, mais bien placés et facilement accessibles.
Petite particularité : soit les raccourcis de gauche sont actifs, soit les raccourcis de droite... Mais pas les quatre en même temps. Il vous faut choisir. Par défaut, les boutons à droite sont désactivés. Si cette configuration ne vous convient pas, il vous suffit de presser une combinaison de touches, sur la souris, au moment de la connexion du périphérique avec l'ordinateur : molette + clic droit pour activer les touches de droit, molette + clic gauche pour réactiver les touches de gauche.
La molette
Nous passons ensuite à la molette, très classique au demeurant, avec des crans bien marqués et agréables, et cliquable. Il n'y a pas de raccourci supplémentaire en pressant la molette vers la gauche ou vers la droite, comme on le voit parfois sur d'autres modèles. Une molette simple donc, mais efficace pour les FPS.Les patins
Jetons un petit coup d’œil sous la souris pour observer les patins. On trouve deux patins situés aux extrémités supérieures et inférieures et couvrant une large surface de la souris. Comme souvent, il semble que la matière utilisée soit du téflon. Et comme nous l'avons déjà évoqué précédemment, un jeu de rechange est fourni avec la souris.Près du capteur optique, on trouve également le bouton qui permet de modifier la sensibilité : 400 DPI, 800 DPI, 1600 DPI, 3200 DPI. Il faut forcément retourner la souris pour faire ce réglage – ce qui n'est évidemment pas possible dans le feu de l'action.
Le câble et le connecteur
Contrairement à nombre de produits gaming, la FK2 est équipée d'un simple câble gainé et non d'un câble en tissu tressé. Certains seront probablement déçus par ce point, car un câble tressé prend moins les plis et est généralement plus résistant.A côté, le câble de la souris se termine par un connecteur USB plaqué or, chose qui se répand de plus en plus dans les souris pour joueur. L'or est le métal qui a la meilleure conductivité électrique, c'est le meilleur matériau à utiliser pour faire de la connectique performante. C'est pour cela que dans le domaine de l'audio haut de gamme, on trouve régulièrement des câbles d'enceintes avec des connecteurs recouverts de ce métal. Mais dans le contexte d'une souris, on est dans le psychologique plus qu'autre chose. En effet, si les câbles audio à connecteurs en or peuvent trouver une certaine justification due au fait que le signal transitant dans les câbles est analogique, dans une souris, c'est du numérique qui passe. Peu importe le métal, du moment qu'il soit conducteur et que la prise USB soit faite comme la norme l'exige, il n'y aura pas de perte, ni de gain à ce niveau-là.
Je pense que cette histoire de coef de glisse n'est pas très représentatif.
En effet, sur un plan incliné, il y a le poids de la souris qui rentre dans la résultante des forces.
Donc une souris avec un très bon "Coef de glisse" mais légère glissera avec un angle supérieur à une souris avec le même coef, mais plus lourde.
Le meilleur moyen serait donc l'utilisation d'un Newtonmètre, ou alors d'une poulie avec des poids qui permettrai de mesure ces coefs à plat, ce qui supprimerai la composante de la force du poids avec la résultante du sol.