Habillé de noir avec les lettres en blanc, le clavier Trigger-Z a vraiment la classe. Il n'est pas si petit que ça, avec des lignes anguleuses qui ne font pas particulièrement dans la finesse. Cela lui donne plutôt un aspect « industriel-futuriste ». Entièrement recouvert de plastique soft-touch — qui résiste bien aux traces de toute sorte, mais attire la poussière — le clavier offre un contact agréable et la qualité de fabrication ne souffre d'aucun défaut apparent.
Le clavier se dote d'un repose-poignet détachable. Il est de taille correcte et apporte un réel confort lors d'une longue utilisation. Le clavier et son repose-poignet sont équipés d'un total de 14 patins en caoutchouc (6 sous le clavier et 8 sous le repose-poignet). Il est donc bien arrimé au bureau et peut bien entendu se surélever à l'arrière. Lorsque vous le soulèverez pour la première fois, vous serez surpris par son poids (plus 1,5 kg). En effet, c'est l'un des plus lourds parmi les claviers passés entre nos mains, comme vous le remarquerez sur le tableau ci-dessous qui récapitule les données de diverses références (mécaniques ou à membrane). Ses dimensions sont également dans la moyenne haute, et il faudra donc prévoir un minimum de place sur le bureau pour le poser.
Il n'y a hélas pas de connectique optionnelle, ce qui est réellement dommage pour ce genre de produit. Vous pouvez donc oublier la clé USB qui se connecte sur votre clavier. Seule « consolation », le câble USB qui sert à l'alimentation est détachable, mais nous n'y voyons pas réellement d’intérêt.
Le rétroéclairage est assuré quant-à lui, par des LED blanches, améliorant l'aspect général de ce nouveau clavier tout en gardant une certaine sobriété, assez rare pour les claviers destinés aux gamers. Le rétroéclairage est modifiable en intensité sur cinq niveaux. On peut également sélectionner les zones d'éclairage :
Le clavier se dote d'un repose-poignet détachable. Il est de taille correcte et apporte un réel confort lors d'une longue utilisation. Le clavier et son repose-poignet sont équipés d'un total de 14 patins en caoutchouc (6 sous le clavier et 8 sous le repose-poignet). Il est donc bien arrimé au bureau et peut bien entendu se surélever à l'arrière. Lorsque vous le soulèverez pour la première fois, vous serez surpris par son poids (plus 1,5 kg). En effet, c'est l'un des plus lourds parmi les claviers passés entre nos mains, comme vous le remarquerez sur le tableau ci-dessous qui récapitule les données de diverses références (mécaniques ou à membrane). Ses dimensions sont également dans la moyenne haute, et il faudra donc prévoir un minimum de place sur le bureau pour le poser.
Nom | Poids (g) | Largeur (mm) | Hauteur (mm) |
Clavier basique | 981 | 460 | 168 |
Clavier multimédia | 1045 | 483 | 220 |
Logitech G15V2 | 1015 | 490 | 220 |
Logitech G19s | 1050 | 490 | 220 |
Corsair K60 | 1160 | 438 | 165 |
Corsair K70 | 1116 | 437 | 165 |
Ozone Strike Pro | 1300 | 441 | 136 |
Logitech G710+ | 1460 | 508 | 220 |
Trigger-Z | 1516 | 476 | 253 |
Il n'y a hélas pas de connectique optionnelle, ce qui est réellement dommage pour ce genre de produit. Vous pouvez donc oublier la clé USB qui se connecte sur votre clavier. Seule « consolation », le câble USB qui sert à l'alimentation est détachable, mais nous n'y voyons pas réellement d’intérêt.
Le rétroéclairage est assuré quant-à lui, par des LED blanches, améliorant l'aspect général de ce nouveau clavier tout en gardant une certaine sobriété, assez rare pour les claviers destinés aux gamers. Le rétroéclairage est modifiable en intensité sur cinq niveaux. On peut également sélectionner les zones d'éclairage :
- l'ensemble des touches ;
- Uniquement les touches « ZQSD » et le pavé directionnel.