On va maintenant faire le tour de l'intérieur du Phantom. Cela passe d'abord par le démontage des panneaux latéraux, retenus par 2 vis à main noires chacun. Plutôt que de coulisser comme bien souvent, ils s'ouvrent et se ferment à l'image des portières de voitures. Il n'y pas de charnière, comme sur le Cosmos 2 de Coolermaster, mais l'idée est la même : cela permet une ouverture et une fermeture plus facile, et c'est toujours bienvenu.
C'est l'occasion de découvrir les spécificités de cette grande tour. On voit tout d'abord que tout est peint en blanc, et que les 2 ventilos intégrés ont des pales blanches, ce qui est le signe distinctif de la marque.
Ensuite, on peut démonter si besoin et comme indiqué dans la notice, la façade avant et le panneau supérieur. Dans les 2 cas, ils sont simplement retenus par des clips. Il suffit de placer sa main à l'endroit prévu à cet effet et de donner un petit coup sec pour que ça se défasse tout seul. On retrouve alors le Phantom à nu. Sans son carénage, il ressemble bien plus à une tour parallélépipédique dont on a l'habitude.
On observe alors que les systèmes de fixation des ventilateurs sont bien pensés : au lieu de trous fixe, le constructeur prévoit plutôt des oblongs. Du coup, il y a toujours une marge de manœuvre pour ajuster la position des ventilateurs afin d'ajuster le flux d'air. De même, entre le carénage supérieur et le dessus de tour il y a un espace, où on peut faire courir des câbles, pratique pour un câblage propre.
Le bundle livré avec le Phantom 240 est renfermé dans une boite en carton de la taille d'un disque dur et installée dans un des emplacements pour HDD, afin de garantir son immobilité durant le transport. C'est une excellente idée, et elle permet de conserver l'abondante quincaillerie fournie :
C'est l'occasion de découvrir les spécificités de cette grande tour. On voit tout d'abord que tout est peint en blanc, et que les 2 ventilos intégrés ont des pales blanches, ce qui est le signe distinctif de la marque.
Ensuite, on peut démonter si besoin et comme indiqué dans la notice, la façade avant et le panneau supérieur. Dans les 2 cas, ils sont simplement retenus par des clips. Il suffit de placer sa main à l'endroit prévu à cet effet et de donner un petit coup sec pour que ça se défasse tout seul. On retrouve alors le Phantom à nu. Sans son carénage, il ressemble bien plus à une tour parallélépipédique dont on a l'habitude.
On observe alors que les systèmes de fixation des ventilateurs sont bien pensés : au lieu de trous fixe, le constructeur prévoit plutôt des oblongs. Du coup, il y a toujours une marge de manœuvre pour ajuster la position des ventilateurs afin d'ajuster le flux d'air. De même, entre le carénage supérieur et le dessus de tour il y a un espace, où on peut faire courir des câbles, pratique pour un câblage propre.
Le bundle livré avec le Phantom 240 est renfermé dans une boite en carton de la taille d'un disque dur et installée dans un des emplacements pour HDD, afin de garantir son immobilité durant le transport. C'est une excellente idée, et elle permet de conserver l'abondante quincaillerie fournie :
- Sachets de vis noires pour la carte mère
- Sachet d'entretoises noires + outil de montage
- Sachet de vis pour disques durs et SSD
- Sachet de vis pour l'alimentation
- Sachet de vis noires pour des ventilateurs supplémentaires
- Serres-câbles
- Notice de montage