Vu la faible taille et la légèreté du SSD, il n'y a pas de surprise à recevoir une toute petite boite estampillée Crucial. Mis à part le bleu un peu plus foncé, l'emballage de ce SSD est rigoureusement identique à celui du M500. L'avant montre une photo du M550 sur fond en nuances de bleu et l'arrière présente quant à lui quelques spécifications techniques, mais de manière peu claire, il vaut mieux consulter le site internet pour en savoir plus.
Le bundle accompagnant ce SSD est simpliste, comme on peut le voir dans la liste ci-dessous :
On peut maintenant regarder le M550 d'un peu plus près :
Si le dessus du Crucial ne nous apprend rien, le dos est plus intéressant. En effet, l'étiquette présente 3 informations importantes :
La mémoire, quant à elle, est composée de puces de flash gravée en 20 nm, la finesse de gravure du moment, au lieu de 25 nm sur le M4. Cette mémoire flash est produite par la société IMFT, une joint-venture crée par Micron, la maison mère de Crucial, et par le géant Intel. La diminution de la finesse a pour principal objectif de faire baisser les prix, mais comme toute médaille a son revers, elle a pour effet négatif de faire diminuer le nombre d'écritures possibles par cellule, et donc la durée de vie globale du SSD.
Le M550 modèle 512 Go est proposé à un prix plus élevé que ne l'était le M500 qui proposait un prix de 0,75 centimes d'euro le Go. Et pour nous rassurer sur la fiabilité de son produit, Crucial annonce qu'on peut écrire dessus 40 Go dessus, tous les jours, pendant 5 ans, ce qui est énorme. Même si cela est invérifiable en pratique, un simple calcul montre que 32 Go de capacité est destiné à l'overprovisionning, ce qui prouve que le constructeur a pris une marge de sécurité confortable.
Une sonde de température est également embarquée, avec une sorte de mécanisme de thermorégulation. Si la limite de 65 °C est dépassée, le M550 réduit ses performances, pour revenir sous les 55 °C. A part dans un portable pas ventilé, ce genre de situation ne se produit quasiment jamais, mais ce mécanisme est justement prévu pour rendre le M550 le plus robuste possible, même dans des environnements hostiles.
Il est temps de passer maintenant à la mise en place, dans notre configuration de test.
Le bundle accompagnant ce SSD est simpliste, comme on peut le voir dans la liste ci-dessous :
- le SSD proprement dit, protégé dans une pochette antistatique ;
- le manuel d'installation du SSD ;
- un adaptateur 7 mm vers 9,5 mm (non présent sur la photographie).
On peut maintenant regarder le M550 d'un peu plus près :
Si le dessus du Crucial ne nous apprend rien, le dos est plus intéressant. En effet, l'étiquette présente 3 informations importantes :
- Le modèle et la capacité du SSD, qui confirme bien ce qu'il y a sur l'emballage.
- La tension et l'intensité de fonctionnement : 1,7 A sous 5 V, ce qui représente une consommation de 8,5 W. Ici, pas d'évolutions notables par rapport au M500.
- La version du firmware : MU01. Crucial met régulièrement à disposition sur son site des mises à jour, il sera donc de bon ton de les appliquer. L’expérience des précédents SSD de la marque testés dans nos colonnes montre que cela est utile et facile.
La mémoire, quant à elle, est composée de puces de flash gravée en 20 nm, la finesse de gravure du moment, au lieu de 25 nm sur le M4. Cette mémoire flash est produite par la société IMFT, une joint-venture crée par Micron, la maison mère de Crucial, et par le géant Intel. La diminution de la finesse a pour principal objectif de faire baisser les prix, mais comme toute médaille a son revers, elle a pour effet négatif de faire diminuer le nombre d'écritures possibles par cellule, et donc la durée de vie globale du SSD.
Le M550 modèle 512 Go est proposé à un prix plus élevé que ne l'était le M500 qui proposait un prix de 0,75 centimes d'euro le Go. Et pour nous rassurer sur la fiabilité de son produit, Crucial annonce qu'on peut écrire dessus 40 Go dessus, tous les jours, pendant 5 ans, ce qui est énorme. Même si cela est invérifiable en pratique, un simple calcul montre que 32 Go de capacité est destiné à l'overprovisionning, ce qui prouve que le constructeur a pris une marge de sécurité confortable.
Une sonde de température est également embarquée, avec une sorte de mécanisme de thermorégulation. Si la limite de 65 °C est dépassée, le M550 réduit ses performances, pour revenir sous les 55 °C. A part dans un portable pas ventilé, ce genre de situation ne se produit quasiment jamais, mais ce mécanisme est justement prévu pour rendre le M550 le plus robuste possible, même dans des environnements hostiles.
Il est temps de passer maintenant à la mise en place, dans notre configuration de test.