A l'occasion de la sortie de Bulletstorm, Electronic Arts, People Can Fly et Microsoft ont organisé une grosse soirée de lancement mardi soir. Comme on ne rate jamais une occasion de manger des petits fours, nous étions de la partie.

Récit d'une soirée très spéciale.

18h00, mardi 22 février 2010. Je saute dans un métro, direction les locaux français de Microsoft en bord de Seine. Une cinquantaine de minutes plus tard, me voilà face à l'immeuble de l'éditeur, un immense bâtiment de bureaux en verre. Comme j'ai quelques minutes d'avance, on me fait patienter dans un petit salon où je rencontre quelques connaissances avant de passer dans la salle où se déroulent les hostilités. Dans la salle sont installées une demi-douzaine de Xbox 360 S pour jouer à Bulletstorm en solo. Une pièce est entièrement réservée au mode coopératif et une autre est réservée aux présentations du jeu par les développeurs.
A peine le temps de discuter avec quelques connaissances que les consoles sont prises d'assaut. J'ai pu jouer au début de la campagne solo pendant une grosse demi-heure. Manque de bol, c'est sans doute la partie la moins intéressante du jeu (j'espère en tout cas) puisqu'il s'agit d'une sorte de grosse cinématique interactive où il faut de temps en temps appuyer sur une touche histoire de ne pas se faire chier. People Can Fly ne nous avait pas habitué à cela ! Et c'est au moment que le jeu devenait intéressant que j'ai cédé ma place à d'autres personnes présentes sur place.

Mais ma place n'a pas été cédée pour rien puisque c'était pour m'attarder sur le mode « Anarchy », le mode coopératif du jeu. Il s'agit d'un mode de jeu à quatre joueurs où l'on doit exécuter des ennemis qui arrivent par vagues successives. Ici, il s'agit de fraguer avec style, mais également en équipe, puisque les skillshots exécutés avec des amis rapportent des points. Pour passer à la vague suivante, il faut non seulement éliminer les ennemis présents (20 ou 25 par vague) mais également faire un nombre de points minimum. Si les premières vagues sont faciles à passer, lorsqu'on augmente en nombre cela devient vite hardcore et le travail en équipe est primordial.

Ce n'est pas le genre de soirée où l'on a le temps de tester convenablement le jeu. Notre test complet arrive sous peu.