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poubelle_012.jpgLepape, rédacteur sur votre site préféré, ZeDen.net évidemment, a rédigé, outre ses articles sur les jeux, une petite "humeur" à propos de ce qu'il pense et ce qu'il voit à la Games Convention, qui se tient jusqu'à la fin de la semaine à Leipzig.

Il a rédigé son papier chez notre confrère et partenaire Gamer Since (également présent à la GC), et si les péripéties alcoolico-vidéo-ludiques, mais néanmoins empreintes d'un professionnalisme à faire pâlir un Patrick Poivre d'Arvor, de notre homme vous intéressent, ça se passe dans la suite de la nouvelle.

Hier, les choses sérieuses ont commencé. Après deux jours de conférences insupportablement pointues destinées aux développeurs et aux biznessmen, le salon de la GC a vraiment commencé. Avec des kilomètres carrés de halls remplis de stands, on croirait presque être Alice au pays des merveilles. Il y a tellement de choix qu’on ne sait pas par où commencer. Bon, on trouve très vite quand même…

Moi par exemple, je me suis tout de suite jeté sur le stand de project origin. Le décors, une salle chirurgicale glauque tachée de sang, était malheureusement plus excitant que le jeu, qui, à cause des standards Allemands de censure, ne montrait strictement aucune trace d’hémoglobine. Pour information, Project Origin sans effets gores, c’est comme… Soldier of Fortune sans effets gore : ça perd beaucoup de charme.

Dans le territoire d’Electronic Arts, on a pu faire la queue pour les présentations de jeux attendus comme Dead Space, le Parrain 2, Mirror’s Edge ou encore Left 4 Dead. D’ailleurs, je tiens à réaffirmer ma haine de ce Mexicain obèse qui s’est jeté sur le siège pour y jouer à ma place en duo avec l’immense Gabe Newell. J’avais pourtant levé la main le premier. Mais l’univers dans lequel on évolue est une jungle.

De toutes façons, le stand public offrait une meilleure expérience. J’ai pu incarner un survivant dans une équipe improvisée par 3 autres journalistes. On était tous à la fin d’un niveau, sur des toîts où on doit survivre pour s’échapper par hélicoptère. Les hordes de zombies étaient trop nombreuses, on était très juste en munitions, quand un sale Tank (zombie tout en muscles de trois mètres de large) m’a gentilment écrasé la tête. Bien sûr, personne n’est venu m’aider. Tous des lâches.

J’ai calmé ma déception avec une bonne partie de Street Fighter IV, où j’ai violemment latté Le Glode. Le jeu est superbe, fluide comme en 2D, avec un cell-shading aux petits oignons. Mais je vais arrêter d’en parler, ce n’est pas mon domaine.

De toutes façons, avec le boulot qui m’attend, faudrait que j’évite de vous raconter ma vie. Oui parce qu’un jeu de vu, c’est un article à écrire en théorie.
par Hubert Commenter
Partager | Source : Gamer Since

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