Aussi surréaliste que cette situation puisse paraître, elle est pourtant véridique. Mais d'abord, une petite mise au point : Aucune image ou autre type de contenu n'a encore été diffusé à propos de BioShock 2, préquelle de BioShock.
Cela n'empêche apparement pas la puissante BBFC (qui ne veut pas adhérer au consortium PEGI) de vouloir imposer quelques restrictions aux jeux vidéo. Le fondateur de l'organisme, Vincent Scheurer, explique même que « Call of Duty 4 : Modern Warfare et BioShock pourraient être bannis à cause de ces critères » (les caractéristiques de Manhunt 2, à savoir le réalisme de la violence, ainsi que le manque de réflexion et d'humour qu'imposent ces jeux, ndlr). Et plus loin d'ajouter que « le prochain jeu à être banni pourrait être BioShock 2 », alors que nous ne disposons à ce jour d'aucune information concernant la violence du titre et le nombre de neurones qu'il active dans notre cerveau.
Enfin, le monsieur annonce qu'il n'aime ni les éditeurs, ni les développeurs, ni tous ceux qui aiment les jeux violents. Voilà qui est dit.
Cela n'empêche apparement pas la puissante BBFC (qui ne veut pas adhérer au consortium PEGI) de vouloir imposer quelques restrictions aux jeux vidéo. Le fondateur de l'organisme, Vincent Scheurer, explique même que « Call of Duty 4 : Modern Warfare et BioShock pourraient être bannis à cause de ces critères » (les caractéristiques de Manhunt 2, à savoir le réalisme de la violence, ainsi que le manque de réflexion et d'humour qu'imposent ces jeux, ndlr). Et plus loin d'ajouter que « le prochain jeu à être banni pourrait être BioShock 2 », alors que nous ne disposons à ce jour d'aucune information concernant la violence du titre et le nombre de neurones qu'il active dans notre cerveau.
Enfin, le monsieur annonce qu'il n'aime ni les éditeurs, ni les développeurs, ni tous ceux qui aiment les jeux violents. Voilà qui est dit.