Le survival horror est un genre qui se fait rare sur PC. Alors quand on nous parle d’un FPS horrifique coopératif, on ne peut qu’être saisi par la curiosité.
C’est cette nouveauté qu’incarne Left 4 Dead, ou "laissé pour mort" en Anglais. Nous avons donc cherché, à défaut de pouvoir y jouer nous même, de nombreuses informations sur ce jeu pour ensuite les recouper dans ce gros dossier. On peut déjà vous dire qu’il est à surveiller absolument !
C’est cette nouveauté qu’incarne Left 4 Dead, ou "laissé pour mort" en Anglais. Nous avons donc cherché, à défaut de pouvoir y jouer nous même, de nombreuses informations sur ce jeu pour ensuite les recouper dans ce gros dossier. On peut déjà vous dire qu’il est à surveiller absolument !
Bienvenue en enfer
Left 4 Dead, c’est d’abord un scénario simple mais horrible : un terrible virus de rage humaine a frappé la ville, transformant les gens en zombies psychotiques et avides de chair. Quatre survivants, visiblement immunisés contre cette épidémie terrifiante, se rassemblent en un point A de la ville, zone de danger et de chaos, et ont pour but d’en atteindre un point B, zone de danger et de chaos mais avec une radio et la promesse d’un véhicule de secours pour se sortir du merdier dans lequel ils sont fourrés. Entre ces deux points, la route est longue et semée d’embûches. Des zombies belliqueux sont rassemblés pour leur barrer le chemin. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils sont très motivés pour les déchirer en petits morceaux de barbaque saignante.
Ces rescapés, détenant quatre personnalités très différentes, sont contraints de s’unir pour survivre. Dans le scénario de l’hôpital, où le but est de rejoindre le toit du bâtiment pour s’échapper en hélicoptère, on incarnera par exemple Bill, un vétéran du Vietnam, Louis, un assistant de direction dans un magasin d’électronique, Zoey, une fille à papa plutôt riche, ou encore Francis, un biker tatoué; tous fermement décidés à s’en aller coût que coût de la zone pestiférée. Si vous pouvez décider d’incarner un de ceux là pour les aider à s’enfuir, vous pouvez aussi rejoindre le coté obscur de la force et vous mettre à la place de Boss infectés. Autrefois humains, ils sont devenus des zombies d’exception, tous dotés d’un pouvoir particulier permettant de supprimer les gens qui se sentiraient trop heureux de ne pas avoir été contaminés. Ils sont aussi très laids et font très peur. Parmi eux, on distingue le Boomer, zombie obèse rempli de méthane et de chair pourrie, prêt à exploser sur quiconque se mettrait en travers de son chemin, le Hunter, un infecté agile et furtif, le Smoker, enragé mutant capable de déployer une langue de caméléon de plusieurs mètres et de secréter un nuage de fumée toxique (d'où son nom) et le Tank, véritable montagne de muscle à la santé de fer et qui viendra hanter les cauchemars des survivants qui y auront affaire.
Entre le solo et le multijoueur
Pour jouer, vous rejoindrez un serveur proposant l’un des quatre scénarios disponibles. Composés chacun de cinq maps reliées entre elles par des checkpoints et dont la traversée, ralentie par les zombies, est censée atteindre les trois quarts d'heure, ils sont toutefois peu nombreux. Cela signifie que même si le jeu paraît prometteur, et possède, comme on le verra plus tard, un fort potentiel de rejouabilité, l’apparition d'une certaine lassitude est prévisible à force de parcourir encore et toujours les mêmes itinéraires linéaires (semblables à ceux d’un jeu solo). Heureusement, ce problème sera certainement réglé, puisque Left 4 Dead est ouvert aux moddeurs. La communauté de mappeurs étant déjà bien soudée autour du moteur source, on peut parier que de nouveaux scénarios vont apparaître sur les serveurs au fil du temps (quand ce ne seront pas les développeurs eux-mêmes qui les ajouteront).
Le jeu emprunte beaucoup de mécanismes à ceux auxquels on joue en solo. Les niveaux sont traversés de façon linéaire, l'intelligence artificielle joue un grand rôle et, contrairement à des jeux multijoueurs classiques comme Counter-Strike ou Quake 3, on sent véritablement l'influence d'un scénario. Vous pouvez d'ailleurs arpenter la ville seul, en éludant totalement l'aspect multijoueur. Cela vous place dans un jeu tout à fait classique où vous êtes accompagnés de PNJ, où des larbins basiques (les zombies) vous cherchent des noises et où des Boss vous terrifient. Même si l'IA est satisfaisante d'après ce que nous avons entendu, l'intérêt du jeu est tout de même de mettre face à face deux équipes dont les monstres et les rescapés sont incarnés par des humains plus malins et imprévisibles qu'une vulgaire machine.
Survivre
L'équipe des rescapés, comme je vous l'ai déjà dit, a pour but de survivre et de s'enfuir. Si vous décidez d'en faire partie, vous commencerez dans une zone où vous aurez un petit choix d'items utiles. Vous pourrez vous munir soit d'un Uzi, soit d'un fusil à pompe pour arme principale. Ensuite, vous ferez l'acquisition d'un pistolet, vous hésiterez entre deux types de projectiles explosifs (bombe artisanale ou cocktail Molotov) et vous finirez par prendre un médikit. Il sera possible de trouver d'autres jouets sur le chemin, mais vous n'aurez que ça au début.
Après le choix crucial de vos pétoires, vous êtes invités à prendre part aux hostilités en quittant votre point de départ douillet. A ce moment là, et pendant tout le reste du jeu, vous n'aurez aucun moyen de savoir quand surgiront les zombies, et encore moins les boss (cela va de soi). Le jeu est linéaire, en effet, mais il n'en est pas pour autant scripté. Aucun point de respawn n'est placé dans la map. Le metteur en scène, une intelligence artificielle qui régit tous les évènements que vous allez subir, décide de quand et d'où viendront les hordes de zombies. Cela signifie que chaque partie est différente de la précédente, et que vous pourrez rejouer de nombreuses fois le même scénario sans tomber dans la routine.
Les attaques de zombies sont assez effrayantes. Loin de ressembler aux groupes de zombies-veaux de Resident Evil, ceux-ci se déplacent très rapidement et en nombre, un peu comme dans le film culte britannique 28 jours plus tard (que je vous conseille d'aller voir de toute urgence, mais c'est hors sujet). Agiles, ils font penser à des masses en colères prêtes à vous lyncher et font beaucoup stresser. Ils montent les grilles, sautent en pleine course les carcasses de voitures, sprintent pour vous rattraper. Ce sont des fous-furieux. Vous pourrez observer comment ils se déplacent dans la vidéo que j'ai mise à la fin de ce dossier.
L'union fait la force : éliminez le maillon faible
Pouvant attaquer jusqu'à 40 en même temps, il arrive souvent qu'on soit submergé par leur masse. Et c'est là que le mot "coopération" prend toute sa valeur. Si vous vous contentez de jouer chacun de votre coté, vous n'avez pas seulement failli à comprendre l'esprit du jeu, vous êtes aussi morts. La coopération n'est pas un luxe, elle est juste vitale. Prenons un exemple. Bill a un uzi et tire sur une gigantesque masse de zombies assoiffés de sang. Malheureusement il est tout seul et finit par avoir vidé son chargeur. Vu la vitesse de déplacement de ces derniers, il est sûr de finir en barbecue. Si maintenant les 4 amis restent soudés, ils vont finir par naturellement synchroniser leurs rechargements de manière à ce qu'il n'y ait aucun temps mort dans la mise à distance des enragés. Avoir l'esprit de corps est vital, car il est impossible de faire plus de quelques mètres seul. D'autant plus que les boss rôdent et sont beaucoup, mais alors vraiment beaucoup plus dangereux que les zombies. Ici, donc, on peut dire que l'union fait la force.
Mais même en faisant partie d'un groupe soudé, il arrive qu'on meure (c'est d'ailleurs très fréquent). Lorsque vos points de vie atteignent zéro, vous êtes coincés au sol avec pour toute arme un pistolet. Un compteur indique le temps qu'il vous reste avant que vous vous soyez entièrement vidés de votre sang et que vous passiez en mode spectateur. Heureusement, un survivant à l'esprit charitable peut vous prêter main forte en vous soignant à l'aide de son précieux médikit. Cela vous remettra sur pieds et lui accordera des points de confiance. Car vous pensez bien qu'un jeu qui nécessite la coopération et la confiance mutuelle entre les joueurs fait du Kévin son ennemi. Des bonus et des malus sont donc attribués à chaque personne selon ses actes, établissant un système de réputation permettant d'éloigner le boulet du dimanche désireux de foutre le dawa. Si un coéquipier vous tire dessus, se jette sur vos balles, fait exploser quelque chose trop près de vous, des points de pénalité lui seront attribués, seront portés à la connaissance de tous les joueurs du serveur et pourriront ses statistiques. Ce système permet aussi de bénir le bon camarade enclin à sauver ses coéquipiers et à avantager l'équipe plus que sa personne. Les administrateurs pourront ainsi reconnaître immédiatement les crétins parmi les saints et les envoyer paître. Si ça ne suffit pas, un système de vote simple permet de kicker le gêneur. Pour jouer régulièrement à des jeux où les Kékés règnent en maître, on ne peut qu'être satisfait d'apprendre cela.
Les gros nazes éloignés, il en ressort un jeu qui pousse très loin l'aspect coopératif. Cela signifie évidemment que la communication y est vitale. Et là aussi, les développeurs ont pensé à tout, puisque des menus d'ordres et d'avertissements sont accessibles en pressant un des trois boutons prévus pour. Ils permettent de donner un maximum d'informations à vos coéquipiers. Par exemple, si vous pressentez qu'un odieux boss rôde dans les parages, vous pouvez demander à vos compagnons d'éteindre leurs lampes-torches et de marcher doucement. Cela permettra à tout le monde d'éviter de se faire repérer par les redoutables outils de détection des infectés jouables. Si le fait de devoir vous arrêter au milieu de l'action pour demander de l'aide vous effraie, rassurez vous. Les messages les plus vitaux sont émis automatiquement. Ainsi, si vous rechargez, vous entendrez votre personnage le crier. Vos amis pourront donc vous défendre contre la foule déchainée de monstres sanguinaires.
S'échapper
Si vous décédez pour de bon, vous devenez un spectateur jusqu'à ce que le reste de l'équipe finisse par mourir ou atteigne un checkpoint. Marqués par une porte rouge, ils ne font pas que délimiter la frontière entre deux maps, mais ils constituent aussi une bénédiction. Ils vous permettent, en plus de sauvegarder votre progression, de vous réapprovisionner en munitions et en médikits. Le niveau suivant se charge lorsque tous les rescapés vivants passent la porte. Mais attention à ne pas être suivi. Les monstres peuvent aussi entrer et semer la pagaille dans ce qui est censé rester une zone où on reprends son souffle.
Même si le jeu est dur, vous pourrez toujours arriver jusqu'au grand final. Celui du scénario de l'hôpital se déroule sur le toit du bâtiment. Après avoir lancé un appel de secours depuis une tour surplombant les lieux, les hostilités commencent. Un compte à rebours se lance, vous laissant entrevoir le temps restant avant que l'hélicoptère ne se pointe à son rendez-vous. Pendant ce temps là, vous aurez affaire à des vagues et des vagues de zombies et de boss mécontents désireux de vous empêcher de vous échapper. Vous pourrez même avoir à combattre deux Tanks en même temps. Ces créatures sont si puissantes qu'il faut le concours de tout le monde pendant un bon moment pour venir à bout d'une seule d'entre elles. Heureusement, une mitrailleuse lourde est placée en haut de la tour et vous permettra de mieux vous défendre. Elle comporte toutefois des angles morts gênants et n'est par conséquent pas non plus l'arme ultime que vous pourriez attendre. Elle permet pourtant d'atteindre plus facilement la fin du compte à rebours. Lorsque l'hélicoptère arrive, il déploie une échelle de cordes pour que vous montiez à bord. Lieu totalement sûr, il dispose aussi d'une mitrailleuse pour aider les alliés restés sur place à vous rejoindre. Lorsque tout le monde est mort ou dans l'appareil, vous avez terminé le scénario et vous pouvez passer de l'autre coté de la barrière: celui des infectés.
Terrifier en s'amusant
Incarner un de ceux-ci semble d'ailleurs assez sympathique. Avec eux, pas besoin de s'embêter à coopérer (même si vous pouvez organiser de belles embuscades à plusieurs) vous devrez juste apprendre à intervenir au bon moment et de la bonne manière pour faire le maximum de dégâts dans les rangs des gentils. Le but et le gameplay changent complètement puisque vous vous transformez en prédateur.
Si vous choisissez le coté obscur, vous aurez le choix entre trois types de super-zombies, et un monstre bonus (le tank) vous sera accessible si le metteur en scène le veut bien. Etant tous dotés de la capacité de voir les humains à travers les murs lorsque ceux-ci atteignent un certain niveau d'activité, les pauvres victimes ne vont pas être lâchées d'une semelle. Il faut par contre savoir que, même avec leur statut flatteur de boss, les monstres que vous allez incarner ne sont pas immortels. Vous ne pouvez donc pas vous contenter de foncer tête baissée vers un groupe de rescapés concentrés. Vous devez attendre le bon moment, les surprendre, leur tendre des embuscades. Pour cela, vous aurez la possibilité d'accéder à des voies qui leur sont inaccessibles (comme des échelles supplémentaires clairement marquées sur la map et qui vous permettront de tomber au milieu des survivants d'un point en hauteur, car cela ne vous inflige pas de dégâts, même avec un atterrissage très brusque).
Mais sans plus attendre, laissez moi vous présenter ces êtres diaboliques.
- Le smoker vous permettra d'en énerver beaucoup. Doté, comme on l'a vu précédemment, d'une langue à rallonge, il est capable d'étrangler les gens depuis un point éloigné. Il peut aussi se placer en hauteur et attendre le passage de la troupe de victimes pour en saisir une, la soulever haut dans les cieux et la lâcher. Ne vous imaginez pas qu'il s'agit de quelque chose de facile. L'immobilité est en effet totale lorsqu'on tire la langue. On est par conséquent à la merci des tirs des pauvres gens qui se défendent en contrebas. Si encore ses points de vie suffisaient à agir, il n'y aurait pas véritablement de problème, mais la mort survient très vite. Il faut donc toujours mûrement réfléchir au moment propice à l'attaque. Et, comme je l'ai expliqué, ce conseil est valable pour tous les méchants à incarner. Le smoker peut également secréter une fumée toxique. Sa relative ressemblance avec les zombies permet de se fondre dans leur masse pour évacuer quelques gaz sur des survivants qui ne se sont doutés de rien. Ajoutons à cela que la mort chez cet individu provoque automatiquement un deuxième nuage de fumée toxique, et vous aurez l'opportunité de vous livrer à de magnifiques attaques suicides. Un nuage avant et après la pluie de balle, et vous ferez un massacre!
- Le boomer est certainement de tous les boss le plus dégueulasse. Obèse rempli de pus et de méthane, son but est de se rapprocher le plus possible des gentils pour, au choix, leur vomir dessus ou leur exploser à la face. Le vomi sert simplement à marquer d'une odeur tenace la position du joueur, attirant les zombies par tonnes. Il permet aussi d'aveugler temporairement votre victime et de lui donner envie de vomir à son tour. Bien évidemment, vous marquerez des points si les zombies que vous avez appâté viennent à bout du rescapé sur qui vous avez évacué vos entrailles. Un autre aspect intéressant de ce personnage est sa consistance même. Véritable ballon de baudruche rempli de méthane, il lui faut à peine quelques balles pour exploser dans un déluge mortel de feu et de chair pourrie. Si vous trouvez une bonne tactique pour pénétrer dans un groupe soudé, la panique d'un idiot vous offrira 4 frags sur un plateau.
- Le hunter est un zombie furtif et rapide. Spécialiste de la mêlée, il est doté de la capacité de sauter sur un survivant pour l'immobiliser et de le frapper jusqu'à ce que mort s'en suive. Mais il est également doué d'invisibilité. Si vous vous placez avec lui dans un endroit calme et que vous évitez de bouger, vous atteindrez une transparence cristalline. Malheureusement, vous émettrez parfois des grognements, mettant les rescapés en alerte. Et si l'un d'entre eux se met à pointer le viseur sur vous, vous serez à nouveau visible. Ne vous imaginez donc pas être en sécurité en l'incarnant. Sachez aussi qu'il serait difficile à contrôler, alors en exploiter toutes les capacités ne sera pas à la portée de tout le monde. Par exemple, si faire un saut gigantesque est très simple, puisqu'un clic droit suffit, il vous faudra de l'entraînement pour sauter de mur en mur. Cette technique (une parmi d'autres) est décrite comme l'une des meilleures pour déconcerter vos victimes et leur fondre dessus. Seulement il est aussi assez ardu d'atterrir sur un humain. Les sauts ont en effet une trajectoire parabolique, ce qui signifie que vous devrez viser plus haut que le point que vous voulez atteindre, un peu comme quand vous lancez une grenade. On peut donc deviner qu'il s'agit d'un très bon boss qui, s'il est utilisé avec talent, fera bien stresser vos adversaires. Sachant qu'il est le seul à pouvoir être sur une map en deux exemplaires jouables à la fois, vous aurez de toute façon amplement l'occasion de vous entraîner.
- Le tank est l'affreux pas beau qui fait le plus peur. Doté d'une santé considérable, il est le seul à pouvoir se permettre de foncer directement dans le tas sans subtilité. Inutile d'avoir fait polytechnique pour comprendre qu'une de ses claques décapite un éléphant. Ses attaques en mêlée sont donc redoutables. Mais il est aussi capable de ramasser n'importe quel objet lourd et de le lancer avec violence sur les rescapés. Vous imaginez bien la jouissance qu'on doit éprouver lorsqu'on lance une voiture entière sur la tête d'une pauvre victime. Et si vous n'avez rien à attraper, vous creusez directement le sol pour lancer violemment un rocher mortel. Le seul problème avec lui, c'est que vous ne pouvez pas attendre pour l'utiliser. Pas question de chercher le meilleur moment pour l'assaut, puisqu'il finira par s'énerver et à devenir incontrôlable si vous ne passez pas immédiatement à l'attaque. Il est néanmoins le monstre jouable amené à être le plus redouté par les survivants, puisqu'il fait très mal, fait trembler le sol, défonce les murs et qu'il n'y a pratiquement aucune chance de le tuer si tout le monde ne s'y met pas ensemble.
Conclusion
Left 4 Dead semble tout avoir pour devenir une référence. Il a l'air effrayant, il est très gore avec ses démembrements et autres effets dégoutants, et il apportera très certainement beaucoup de nouveauté dans l'univers du jeu en ligne. Concept novateur, même s'il fait penser au multijoueur d'Aliens vs Predator par certains aspects, il m'a fait prendre un calendrier et un feutre pour cocher les jours qui passent. En attendant sa sortie sur PC le 16 août prochain (la sortie sur Xbox 360 est pour plus tard), et le verdict que nous livrerons sur ce jeu, vous pouvez regarder cette vidéo de deux minutes montrant différentes phases de gameplay sous une musique pourrie.
Entk le jeu a l'air super fun, vivement sa sortie sur PC (pour quand?)