Il y a des jours, ou le copier/coller est de roi, aujourd'hui est un de ces jours :

Plusieurs semaines après le dépôt de la plainte, la Cour d'appel du Québec a confirmé le premier jugement dont le verdict était tombé courant septembre et a donc donné raison d'Ubi Soft dans l'affaire qui l'oppose à Electronic Arts, que nous avions détaillée il y a quinze jours. Ubi accusait le géant américain d'avoir débauché cinq de ses employés, malgré la clause de non-concurrence pendant un an stipulée dans leur contrat, et se fécilite à présent de cette décision qui selon les termes d'un responsable de la société va lui permettre de protéger sa propriété intellectuelle, ainsi qu'une certaine confidentialité sur les entrailles de ses titres. Sur place, on a forcément un peu peur que cette décision bride l'installation de nouveaux studios de développement dans la région, où Ubi Soft emploie déjà une bonne partie du secteur, mais les avantages fiscaux de la Belle Province semblent en mesure d'attirer du monde. Malgré ce revers, Electronic Arts ne semble d'ailleurs pas désireux de déménager pour le moment.

J'ai souvent l'occasion de lire dans une signature d'un de mes amis (il se reconnaîtra) ce proverbe :"Il vaut mieux ne rien dire et passer pour un crétin que de l'ouvrir et de ne donner aucun doute à ce sujet". C'est ainsi que je termine la nouvelle, en effet, je n'ai aucune autre information sur ce procès et je préfère donc me taire... et éviter de dire du n'importe quoi.