Action Vault a publié hier une seconde entrevue sur Tribes : Vengeance. Le première partie interrogeait Ed Orman, designer en chef sur ce projet alors que la deuxième partie questionne Michael Johnston sur la campagne solo puis sur le multijoueur (son rôle est 'Multiplayer Designer' et je dois dire que c'est la première fois que je lis ce titre). Comme on le sait déjà, ce troisième volet de la série sera le premier à proposer une campagne solo, mais Action Vault a voulut savoir comment celle-ci sera intégrée à un jeu fondamentalement multijoueur. On apprend ainsi par exemple qu'il existera différents types de missions. Certaines dépendront entièrement de vous alors que vous ferrez partie d'une équipe dans d'autres cas. Des bots joueront le rôle de vos camarades durant ces différentes missions et ils devront accomplir des tâches très importantes, ils ne feront pas que vous suivre bêtement. Vous ne pourrez par contre pas les contrôler directement mais leur intelligence artificielle devrait pallier à cette impossibilité (c'est du moins toujours ce qu'on espère lorsque l'on apprend ça). Michael est confiant mais il admet qu'il ne pense pas que l'intelligence artificielle pourra faire le pois contre un joueur chevronné.
Mais comme la plupart des gens attendent cette suite pour son multijoueur remarquable, passons maintenant au plus important : le développement ne semble pas très avancé de ce côté là puisqu'il ne peut rien nous dire de précis concernant les modes de jeux qui seront disponibles. Ceci dit, sachez qu'un maximum de 32 joueurs pourront joindre une partie de Tribes : Vengeance. Il fait remarquer qu'il est intéressant de savoir qu'un minimum de deux joueurs pourront jouer seuls dans une partie tout en ayant du plaisir. Il dit par ailleurs que moins de joueurs il y a, plus c'est intime et plus les actions posées par un joueur auront une grande influence, ce qu'il résume en parlant d'héroïsme. D'un autre côté, un grand nombre de joueurs est pour lui beaucoup plus chaotique et chaque individu a ainsi bien moins d'influence sur la partie. Ce n'est qu'une question de goût finalement, ce qu'il veut en fait faire valoir. Lorsqu'on parle de multijoueur, il est difficile de s'écarter du thème de la communauté et par conséquent, des modifications qui donnent à un jeu une longue durée de vie. Tribes ne l'ignore pas et l'éditeur de Tribes sera par exemple fourni avec le jeu. Cet éditeur est en fait une version modifiée de UnrealEd, l'éditeur officiel du moteur Unreal.
Je n'ai pas tout abordé, je vous laisses donc lire suite de l'article par ici. On déplore le manque de nouvelles images, excusez donc la non illustration de cette nouvelle très aride.
Mais comme la plupart des gens attendent cette suite pour son multijoueur remarquable, passons maintenant au plus important : le développement ne semble pas très avancé de ce côté là puisqu'il ne peut rien nous dire de précis concernant les modes de jeux qui seront disponibles. Ceci dit, sachez qu'un maximum de 32 joueurs pourront joindre une partie de Tribes : Vengeance. Il fait remarquer qu'il est intéressant de savoir qu'un minimum de deux joueurs pourront jouer seuls dans une partie tout en ayant du plaisir. Il dit par ailleurs que moins de joueurs il y a, plus c'est intime et plus les actions posées par un joueur auront une grande influence, ce qu'il résume en parlant d'héroïsme. D'un autre côté, un grand nombre de joueurs est pour lui beaucoup plus chaotique et chaque individu a ainsi bien moins d'influence sur la partie. Ce n'est qu'une question de goût finalement, ce qu'il veut en fait faire valoir. Lorsqu'on parle de multijoueur, il est difficile de s'écarter du thème de la communauté et par conséquent, des modifications qui donnent à un jeu une longue durée de vie. Tribes ne l'ignore pas et l'éditeur de Tribes sera par exemple fourni avec le jeu. Cet éditeur est en fait une version modifiée de UnrealEd, l'éditeur officiel du moteur Unreal.
Je n'ai pas tout abordé, je vous laisses donc lire suite de l'article par ici. On déplore le manque de nouvelles images, excusez donc la non illustration de cette nouvelle très aride.
C le fond qui compte le plus pas la forme !