Alors qu'ils étaient partis pensant avoir quatre jours intenses de reportage à l'E3, un premier groupe de trois journalistes français se sont fait arrêter à l'aéroport de Los Angeles à leur arrivée à 14h le 10 mai 2003 et ont passé 26 heures sous verrous, dont une nuit dans la prison du centre de détention de l'immigration. Ils ont été interrogés, fouillés six fois ont également été menottés et se sont fait prendre les empreintes digitales. Après quoi ils ont gentiment été renvoyés en France à 16h le 11 mai 2003 sans même pouvoir aller à l'E3. L'un d'eux s'est fait dire qu'il ne pourrait plus jamais retourner aux États-Unis et ils ne se firent pas rendre leurs passeports. Ce n'est que rendu à Amsterdam où ils faisaient une escale qu'ils purent les récupérer.
Un second groupe de trois journalistes arrivés à 15h le 11 mai 2003 eurent des problèmes semblables. Alors que deux des journalistes n'eurent aucun problème lors du passage à l'immigration, un troisième homme fut retenu faute de n'avoir un visa de presse. Les deux autres protestèrent et ils furent tous les trois furent détenus. Après avoir passé neuf heures dans la salle d'attente de l'aéroport, ils furent conduits au centre de détention de l'immigration où ils passèrent la nuit en prison. Ils subirent plusieurs fouilles corporelles et maintes interrogations. Ils furent également menottés et déplacés d'un endroit à l'autre (un peu comme des bagages). Finalement, ils se sont fait prendre les empruntes digitales pour être ensuite renvoyé à 18h le 12 mai 2003.
Deux des six journalistes n'avaient pas pensé bon se procurer un visa attestant leur séjour pour la couverture médiatique de l'évènement. L’article anglais nous vient de Reporters sans frontières - United States. Pour la lecture complète de celui-ci, rendez-vous sur cette page. Cet évènement illustre bien les atrocités que certains personnes ont à subir par pure discrimination culturelle ou raciale.
Un second groupe de trois journalistes arrivés à 15h le 11 mai 2003 eurent des problèmes semblables. Alors que deux des journalistes n'eurent aucun problème lors du passage à l'immigration, un troisième homme fut retenu faute de n'avoir un visa de presse. Les deux autres protestèrent et ils furent tous les trois furent détenus. Après avoir passé neuf heures dans la salle d'attente de l'aéroport, ils furent conduits au centre de détention de l'immigration où ils passèrent la nuit en prison. Ils subirent plusieurs fouilles corporelles et maintes interrogations. Ils furent également menottés et déplacés d'un endroit à l'autre (un peu comme des bagages). Finalement, ils se sont fait prendre les empruntes digitales pour être ensuite renvoyé à 18h le 12 mai 2003.
Deux des six journalistes n'avaient pas pensé bon se procurer un visa attestant leur séjour pour la couverture médiatique de l'évènement. L’article anglais nous vient de Reporters sans frontières - United States. Pour la lecture complète de celui-ci, rendez-vous sur cette page. Cet évènement illustre bien les atrocités que certains personnes ont à subir par pure discrimination culturelle ou raciale.
"These journalists were treated like criminals - subjected to several body searches, handcuffed, locked up and fingerprinted"
Ménard urged the ambassador to press for an investigation and to ensure that the journalists will have no problems the next time they travel to the United States. He also suggested that it should be clarified whether or not journalists travelling to the United States need a specific press visa. "As things stand, the decisions taken by airport security officials appear to have been arbitrary if not discriminatory," Ménard said in his letter.
Sinon pour réagir à cela, c'est vraiment honteux, pour la peine, on va boycotter un autre jeu Américain...<br />
(Et dire que j'ai fais ma demande pour bosser chez Macdo cet été