À la rédaction, nous avons déjà testé les deux modèles précédents de cette gamme, qui partageaient le même châssis et capteur. Mais cette version sans fil se distingue par un design revisité. Plus arrondie, elle adopte un corps symétrique pensé pour une prise en main ambidextre, même si seuls les boutons situés sur la tranche gauche sont cliquables.

Dessus et côtés

Sur une impression globale, la souris se présente comme parfaitement finie, avec un alignement au poil. Elle est dotée de deux larges boutons cliquables, de deux boutons sur la tranche gauche, d'une molette et d'une led en retrait de celle-ci, une configuration classique mais efficace pour tous, d'autant plus qu'elle utilise des switchs optiques. La forme est délicatement évasée, pour mieux épouser la paume de la main, censée se reposer entièrement sur la souris. Le logo NZXT est gravé directement dans le châssis, qui disparaitra d'ailleurs une fois notre paluche posée. De façon générale, le design est typé plus futuriste, avec des angles obliques ici et là.

Le blanc est d'un mat soigné, qui ne laisse aucune trace de doigts. En parlant d'eux, ils devraient fermement s'accrocher à la souris car ses côtés ont revêtus d'un motif antidérapant en forme de nuage de points. Ces revêtements offrent une excellente adhérence même aux mains moites (j'en fais partie.), ils sont d'ailleurs plus marqués que ceux de la Lift 2. La molette est également dotée d'un revêtement antidérapant, mais les points sont beaucoup plus gros et évoquent les tentacules d'un poulpe (le Kraken n'est pas loin !). Un design audacieux qui rappelle le biomimétisme qui s'apprécie bien ici. Et ci cela ne suffisait pas, souvenez-vous des grips présents dans l'emballage, qu'il est possible de coller sur les clics.

Dessous

Une fois retourné, le circuit imprimé se présente. Des compartiments creusés dans le châssis permettent de gratter du poids, réduisant ainsi la masse totale à 57 grammes, que nous avons pu confirmer à l'aide d'une balance de cuisine. Au centre, nous pouvons observer le capteur PixArt 3395, qui était encore il y a trois ans une exclusivité de la marque Razer. Depuis, il a été adopté par d'autres fabricants en raison de son efficacité et de sa fonction MotionSync, censée rendre les mouvements plus fluides et réactifs. Bon à savoir : sur ce modèle, les 8 kHz de « polling rate » soit la fréquence à laquelle la souris communique avec le PC, ne sont atteignables qu'en filaire.

Le design de la base rend la carte mère de la souris visible, ainsi que les différents éléments en plastique qui la composent. C'est une vue qui peut s'apprécier comme rebuter pour son côté brut et dénudé, mais pour nous, c'est un grand oui ! Deux larges patins antidérapants en PTFE viennent assurer la glisse. Un large bouton violet se présente par ailleurs à cet endroit : il sert à modifier les DPI à la volée, ou autre fonction choisie par l'utilisateur. C'est un emplacement très particulier pour un bouton sur une souris.

Curieux par nature, je me posais la question d'où NZXT pouvait tirer le gain de poids sur ce nouveau modèle en reprenant un châssis très proche. Une bascule de la souris en avant m'a permis d'apercevoir différents alvéoles au sein du plastique maintenant le circuit imprimé, astucieux ...

Câble

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