Nous vous proposons de passer en revue les différents éléments qui composent cette manette :
Par expérience donc, je n'ai pas eu besoin de temps d'adaptation, mais les plus grosses mains auront sans doute besoin de quelques parties le temps de se familiariser avec ce format. Ils sont néanmoins de bonnes factures. Nous regrettons simplement qu'il n'y ait pas fourni de capuchons supplémentaire pour que chacun puisse personnaliser son grip ou son diamètre.
Allons paramétrer tout cela !
Les sticks
Les sticks sont comme sur d'autres modèles, avec leur plastique pour la tige et gomme pour la tête. Du fait que le périphérique se destine avant tout pour du jeu mobile et donc portable, nous n'y retrouvons pas des joysticks volumineux. Il sont creusés pour garantir néanmoins une certaine adhérence aux pouces et un bon confort de jeu. Ayant joué pendant des années sur une PS Vita, ces sticks sont très similaires tant au niveau de la forme que de la taille, et l'on sent bien ici le produit sous licence Playstation.Par expérience donc, je n'ai pas eu besoin de temps d'adaptation, mais les plus grosses mains auront sans doute besoin de quelques parties le temps de se familiariser avec ce format. Ils sont néanmoins de bonnes factures. Nous regrettons simplement qu'il n'y ait pas fourni de capuchons supplémentaire pour que chacun puisse personnaliser son grip ou son diamètre.
La croix directionnelle
La croix directionnelle de la One offre un design assez similaire à ce que l'on trouve sur une DualSense, dans un plastique rigide transparent du plus bel effet, ce qui renforce le côté épuré de la manette. Elle bénéficie également de points d'activation clairs et bien marqués, pour éviter toute commande non désirée lors de l'appui. Elle reste facilement atteignable pour le pouce gauche, et idéalement placé pour ne pas gêner lorsque l'on manipule le stick.Les boutons d'action
Les boutons nous rappellent une nouvelle fois ce qu'il se fait sur la dernière génération du géant nippon, avec ce même revêtement translucide donnant un style cossu. Les touches peuvent paraitre petites, mais un rapide test nous montre que l'espacement est idéal. En effet, elles sont suffisamment éloignées pour éviter d'appuyer sur le poussoir voisin par inadvertance ; mais assez près pour permettre justement l'appui en simultané sur 2 boutons. Enfin, Backbone a ajouté 4 touches supplémentaires, l'une servant de « Option/Start », une autre qui sert de raccourcis pour ouvrir l'application du fabricant – sur laquelle nous reviendrons plus loin – , une pour réaliser des clips ou des captures d'écran, et la dernière pour couper le son. Ces boutons sont du même plastique que le corps du périphérique et les serigraphies semblent robustes et ne devraient pas s'estomper de sitôt.Les gâchettes
Les gâchettes sont de bonnes factures, ne grincent pas, la force dans le ressort est identique des deux côtes. Pour L2/R2, le majeur ou l'index peuvent se poser dessus sans soucis et sans manquer de place, le léger arrondi viendra les envelopper et éviter tout glissement. En revanche, pour les boutons L1/R1, ça se complique. La largeur est vraiment réduite et les index peuvent facilement empiéter sur les voisines. Si comme serviteur, vous jouez avec 4 doigts sur les gâchettes, il faudra donc un petit temps pour vous acclimater, mais rien de bien sorcier. Nous le rappelons, nous sommes ici sur un périphérique portable, il aurait été difficile de retranscrire les largeurs des manettes de salon.Les connectiques
Nous retrouvons sous le contrôleur un port jack 3,5mm à gauche, et un USB-C à droite. Il sera donc possible de brancher un casque pour entendre les ennemis. Le port USB sert quant à lui notamment pour charger votre mobile ! En effet, étant donné que la manette n'est pas Bluetooth – cela lui aurait imposé d'avoir une batterie et ainsi un autre format – elle immobilise donc la seule connectique de votre smartphone. Ainsi, vous retrouvez un port USB pour brancher d'autres périphériques !Allons paramétrer tout cela !