Protocole de test
Pour tester l'ergonomie et l'apport de ce repose-poignet, pas de protocole de tests, mais un avis purement subjectif après quelques semaines d'utilisation. Le clavier qui accueillera le produit sera un Roccat Vulcan Mini II Air qui est un clavier à 60 %, parfaitement dimensionné pour accueillir le Plateau. Le clavier sera principalement utilisé pour de la frappe et un peu de gaming, des actions sollicitant fortement les poignets dans l'action ou la position.Résultats
Après plusieurs semaines d'évaluation du repose-poignet Mountain en association avec le clavier Roccat Vulcan Mini II Air, les résultats sont excellents ! Le confort est renforcé grâce à la mousse à mémoire de forme et au gel, réduisant la fatigue lors des sessions prolongées. L'adéquation parfaite avec le Vulcan, tant sur le plan esthétique que fonctionnel, est indéniable, aidé par le châssis du clavier qui est très surélevé.Le principal défaut relevé au Mountain S est au final dans sa conception « trop ergonomique » : sa conséquente épaisseur de 25 mm l'empêche d'être un compagnon confortable sur les claviers plus plats comme ceux à membranes, ne permettant pas aux poignets de se placer correctement. Mais bien sûr, tout cela est à l'appréciation et les besoins de l'utilisateur, il est bon à savoir cependant qu'il faudra privilégier l'association du Mountain avec un clavier disposant d'un angle naturel de 45 degrés pour profiter des atouts ergonomiques.
Mais de l'autre côté, cette épaisseur peut aussi devenir un avantage pour ajouter le repose-poignet sur d'autres appareils, comme un ordinateur portable (voir la photo) par exemple.
Dans notre cas, l'ergonomie du repose-poignet réduit bien la tension dans les poignets, tout en restant en place sur le bureau même en intenses parties de jeu. N'étant qu'un accessoire et non partie intégrante du clavier, il peut se retirer facilement comme bon nous semble et permet aussi de récupérer de l'espace si besoin est sur les bureaux les plus restreints.