Pour ce SSD, nous avons là un packaging très simple, en grande majorité noir avec un peu de gris. La face avant propose comme bien souvent une photo du SSD en lui-même, avec un annotation concernant sa capacité.
À l’arrière, pas grand-chose d’intéressant à signaler. A part quelques informations, comme la garantie constructeur de 3 ans, l'emballage renvoie vers le site internet de la marque.
Une fois la boite ouverte, on arrive alors face au SSD en lui-même, placé sur un blister en plastique. Il n'y rien a d'autre dans l'emballage. La boite pourrait paraitre surdimensionnée, mais c'est un gage de protection du SSD.
Si on se concentre maintenant sur le SSD, on voit notamment une étiquette, avec le nom de la marque et les fameux triangles qui rappellent le logo de l’entreprise. On les avait déjà vu sur les barrettes de RAM du même constructeur. Cette étiquette est en fait métallique – en alliage graphène-cuivre d'après la fiche technique – et fait donc office de radiateur. Elle recouvre quasiment toute la surface du PCB, soit 22 mm de large et 80 mm de long. Concernant la connectique, nous avons du format M.2 2280 compatible avec le protocole NVME à la dernière version, la 1.4. Cela n'est pas une typo : ce SSD PCI gen 3 supporte bel et bien le NVME 1.4. On y reviendra.
A l'arrière, directement sur le PCB noir est apposée une étiquette qui comporte plusieurs informations, parmi lesquelles on trouve la référence exacte ainsi que la capacité. On ne peut donc pas voir directement les composants électroniques utilisés, mais le constructeur communique un peu sur le sujet, notamment au niveau du contrôleur. Il utilise en effet un modèle signé Realtek RTS5766. Côté flash, on est sur de la NAND 3D 144 Layers, provenant de TSMC, sans plus de précision.
Passons à présent à la mise en place.
À l’arrière, pas grand-chose d’intéressant à signaler. A part quelques informations, comme la garantie constructeur de 3 ans, l'emballage renvoie vers le site internet de la marque.
Une fois la boite ouverte, on arrive alors face au SSD en lui-même, placé sur un blister en plastique. Il n'y rien a d'autre dans l'emballage. La boite pourrait paraitre surdimensionnée, mais c'est un gage de protection du SSD.
Si on se concentre maintenant sur le SSD, on voit notamment une étiquette, avec le nom de la marque et les fameux triangles qui rappellent le logo de l’entreprise. On les avait déjà vu sur les barrettes de RAM du même constructeur. Cette étiquette est en fait métallique – en alliage graphène-cuivre d'après la fiche technique – et fait donc office de radiateur. Elle recouvre quasiment toute la surface du PCB, soit 22 mm de large et 80 mm de long. Concernant la connectique, nous avons du format M.2 2280 compatible avec le protocole NVME à la dernière version, la 1.4. Cela n'est pas une typo : ce SSD PCI gen 3 supporte bel et bien le NVME 1.4. On y reviendra.
A l'arrière, directement sur le PCB noir est apposée une étiquette qui comporte plusieurs informations, parmi lesquelles on trouve la référence exacte ainsi que la capacité. On ne peut donc pas voir directement les composants électroniques utilisés, mais le constructeur communique un peu sur le sujet, notamment au niveau du contrôleur. Il utilise en effet un modèle signé Realtek RTS5766. Côté flash, on est sur de la NAND 3D 144 Layers, provenant de TSMC, sans plus de précision.
Passons à présent à la mise en place.