Le packaging tourne autour d'une photo avec des personnes faisant du B.A.S.E. Jump. D'un simple coup d’œil permet de savoir les principales caractéristiques de la carte. L'information qui saute littéralement aux yeux est le « 256 GB », ainsi que les débits de la carte.
On apprend que cette carte est résistante à l'eau ainsi qu'aux chocs. Au dos de la carte, on retrouve d'autres informations techniques, telles que la garantie de 5 ans, tout de même, et le blabla habituel des constructeurs.
Une fois déballée, on fait face à une carte micro SD, avec une face bordeaux. La capacité de 256 Go est écrite en « gros » sur la partie droite, justement. L'envers est noir, ce qui est un peu surprenant.
Outre la carte, on trouve également dans l'emballage un adaptateur, nommé LADP1, qui permettra d'utiliser la petite microSD dans un slot SD classique.
Passons à un peu de technique avant d'attaquer les benchmarks.
On apprend que cette carte est résistante à l'eau ainsi qu'aux chocs. Au dos de la carte, on retrouve d'autres informations techniques, telles que la garantie de 5 ans, tout de même, et le blabla habituel des constructeurs.
Une fois déballée, on fait face à une carte micro SD, avec une face bordeaux. La capacité de 256 Go est écrite en « gros » sur la partie droite, justement. L'envers est noir, ce qui est un peu surprenant.
Outre la carte, on trouve également dans l'emballage un adaptateur, nommé LADP1, qui permettra d'utiliser la petite microSD dans un slot SD classique.
Passons à un peu de technique avant d'attaquer les benchmarks.