Une illustration vaut mieux que de longues paroles, nous allons donc vous présenter les résultats à l'aide des graphiques ci-dessous.
Clairement, nous constatons ici la différence entre un système de refroidissement qualitatif, pour lequel les ventilateurs et le circuit thermique ont été au centre du développement afin de rester efficace, peu importe l'usage ; et un refroidissement voulant avant toute chose permettre une utilisation classique répondant à la majorité des usages, mais pas les plus poussées. Notre modèle de comparaison « AMD Wraith Stealth » est pourvu d'un seul et unique ventilateur ; alors que Phanteks dote le Glacier One de 2 ventilateurs d'excellentes factures et extrêmement silencieux. Malgré le fait que nous ayons 2 fois plus de moulins, l'AIO reste de très loin le plus silencieux. Enfin, le radiateur est ici beaucoup plus imposant, ce qui explique en partie les écarts assez importants relevés. Nous parvenons ainsi à gagner sur notre CPU en idle 9 degrés et en burn 31 degrés.
Pour notre processeur, dont la limite maximale de température est fixée à 95 degrés par AMD, cette dernière est rapidement atteinte, poussant donc notre ventirad dans ses derniers retranchements, le tout dans un vacarme presque alarmant. Cette limite atteinte, le Ryzen se bride. Cela se traduit en jeu par de fortes saccades, de grosses baisses de framerate, ou des freeze sur de l'applicatif. Nous nous retrouvons donc à la frontière, avec de surcroit un composant qui se bride fortement et nous gratifie d'un forte nuisance sonore à travers laquelle nous distinguons un sifflement strident. A contrario, le Glacier One permet à notre CPU de s'exprimer à 100% et de délivrer ses meilleures performances en jeu ou en applicatif gourmand, dans un quasi-silence tout en tenant notre galette au frais. Nous réalisons donc ici l'importance d'investir dans un système de refroidissement de qualité, et qu'il s'agit là d'un point à ne surtout pas négliger si l'on veut profiter de sa configuration de manière optimale et confortable !
Voyons concrètement comment cela se traduit !
Clairement, nous constatons ici la différence entre un système de refroidissement qualitatif, pour lequel les ventilateurs et le circuit thermique ont été au centre du développement afin de rester efficace, peu importe l'usage ; et un refroidissement voulant avant toute chose permettre une utilisation classique répondant à la majorité des usages, mais pas les plus poussées. Notre modèle de comparaison « AMD Wraith Stealth » est pourvu d'un seul et unique ventilateur ; alors que Phanteks dote le Glacier One de 2 ventilateurs d'excellentes factures et extrêmement silencieux. Malgré le fait que nous ayons 2 fois plus de moulins, l'AIO reste de très loin le plus silencieux. Enfin, le radiateur est ici beaucoup plus imposant, ce qui explique en partie les écarts assez importants relevés. Nous parvenons ainsi à gagner sur notre CPU en idle 9 degrés et en burn 31 degrés.
Pour notre processeur, dont la limite maximale de température est fixée à 95 degrés par AMD, cette dernière est rapidement atteinte, poussant donc notre ventirad dans ses derniers retranchements, le tout dans un vacarme presque alarmant. Cette limite atteinte, le Ryzen se bride. Cela se traduit en jeu par de fortes saccades, de grosses baisses de framerate, ou des freeze sur de l'applicatif. Nous nous retrouvons donc à la frontière, avec de surcroit un composant qui se bride fortement et nous gratifie d'un forte nuisance sonore à travers laquelle nous distinguons un sifflement strident. A contrario, le Glacier One permet à notre CPU de s'exprimer à 100% et de délivrer ses meilleures performances en jeu ou en applicatif gourmand, dans un quasi-silence tout en tenant notre galette au frais. Nous réalisons donc ici l'importance d'investir dans un système de refroidissement de qualité, et qu'il s'agit là d'un point à ne surtout pas négliger si l'on veut profiter de sa configuration de manière optimale et confortable !
Voyons concrètement comment cela se traduit !