Analysons maintenant les résultats, présentés sous forme d'histogrammes :
Aida64 :
On le disait, ce test est synthétique. Il permet de mesurer les écarts maximums qu'on peut avoir entre différentes configurations de fréquences et de timings.
Entre la configuration par défaut et le profil XMP, on enregistre des gains assez importants, de l'ordre de 20 %, aussi bien en lecture qu'en écriture. Pour la latence, le gain est plus faible, mais tout de même de l'ordre de 16 %.
Concernant l'overcloking, on voit que les résultants obtenus en améliorant la fréquence à 3700 MHz ou en améliorant le timing à C17 sont relativement similaires, avec un gain de 10 % environ par rapport au XMP. En lecture, c'est l'overcloclocking en timing qui dépasse d'une courte tête celui en fréquence, alors qu'en écriture, la situation est inversée. Mais dans les 2 cas, l'écart entre les 2 sortes d'OC est de inférieur à 0,3 %, on est donc dans l'imprécision de mesure, et les 2 OC sont aussi efficace l'un que l'autre. Côté latence, la situation est différence. Les 2 OC font moins bien que le XMP de base, avec une baisse maximale de 5 % pour la diminution du timing.
Cela nous indique, au final – e ton va le confirmer avec les autres benchs – que suivant les usages, l'un ou l'autre des overcloking sera préférable. Cependant, n'oublions pas qu'on parle de différences entre les deux OC assez marginales. Ils offrent tous deux, dans certains benchs, un écart net par rapport au XMP. Mais comme ils sont « gratuits », on ne va pas s'en plaindre.
7Zip :
Dans ce test pratique, on observe des résultats plus tranchés entre les différentes configurations, ce qui montre bien combien les logiciels de compression sont sensibles aux performances de la RAM. Contre toute attente, c'est la fréquence stock qui permet les meilleures performances. Il faut activer l'OC en timing pour rattraper un score similaire. Ici l'OC en fréquence fait moins bien que l'autre OC de 7 % environ.
Linx :
En premier lieu, on peut remarquer les excellents résultats dans ce benchmark, tous supérieurs à 220 GFLOPS. Cela est directement lié au 9900K utilisé, avec ses 8 cœurs / 16 threads à 4,8 GHz.
Ici, on voit qu'on sort du benchmark purement dépendant de la RAM. En effet, le passage au XMP permet de grappiller ici un peu plus de 4,5 %, bien loin des 20 % théoriques mesurés avec AIDA. Côté overclocking, seul le passage à 3700 MHz a un impact. Le passage à C17 ne provoque ni gain ni perte.
Concluons !
Aida64 :
On le disait, ce test est synthétique. Il permet de mesurer les écarts maximums qu'on peut avoir entre différentes configurations de fréquences et de timings.
Entre la configuration par défaut et le profil XMP, on enregistre des gains assez importants, de l'ordre de 20 %, aussi bien en lecture qu'en écriture. Pour la latence, le gain est plus faible, mais tout de même de l'ordre de 16 %.
Concernant l'overcloking, on voit que les résultants obtenus en améliorant la fréquence à 3700 MHz ou en améliorant le timing à C17 sont relativement similaires, avec un gain de 10 % environ par rapport au XMP. En lecture, c'est l'overcloclocking en timing qui dépasse d'une courte tête celui en fréquence, alors qu'en écriture, la situation est inversée. Mais dans les 2 cas, l'écart entre les 2 sortes d'OC est de inférieur à 0,3 %, on est donc dans l'imprécision de mesure, et les 2 OC sont aussi efficace l'un que l'autre. Côté latence, la situation est différence. Les 2 OC font moins bien que le XMP de base, avec une baisse maximale de 5 % pour la diminution du timing.
Cela nous indique, au final – e ton va le confirmer avec les autres benchs – que suivant les usages, l'un ou l'autre des overcloking sera préférable. Cependant, n'oublions pas qu'on parle de différences entre les deux OC assez marginales. Ils offrent tous deux, dans certains benchs, un écart net par rapport au XMP. Mais comme ils sont « gratuits », on ne va pas s'en plaindre.
7Zip :
Dans ce test pratique, on observe des résultats plus tranchés entre les différentes configurations, ce qui montre bien combien les logiciels de compression sont sensibles aux performances de la RAM. Contre toute attente, c'est la fréquence stock qui permet les meilleures performances. Il faut activer l'OC en timing pour rattraper un score similaire. Ici l'OC en fréquence fait moins bien que l'autre OC de 7 % environ.
Linx :
En premier lieu, on peut remarquer les excellents résultats dans ce benchmark, tous supérieurs à 220 GFLOPS. Cela est directement lié au 9900K utilisé, avec ses 8 cœurs / 16 threads à 4,8 GHz.
Ici, on voit qu'on sort du benchmark purement dépendant de la RAM. En effet, le passage au XMP permet de grappiller ici un peu plus de 4,5 %, bien loin des 20 % théoriques mesurés avec AIDA. Côté overclocking, seul le passage à 3700 MHz a un impact. Le passage à C17 ne provoque ni gain ni perte.
Concluons !