Configuration de test
- Carte-mère : Asus Strix B450I Gaming
- CPU : AMD Ryzen 5 2600X
- Refroidissement : Antec Neptune 120
- Carte graphique : Asus GTX 950
- Ram : G.Skill 2x4 Go DDR4
- SSD : Kingston A1000 480 Go
- SSD M.2 : KIOXIA Exceria
- Alimentation : Corsair CX750F
- Ventilateur : GELID Radiant-D ARGB
Montage
Après avoir jeté un œil sur la notice, qui est très bien expliqué selon les types de configuration qui seront installés, nous pouvons nous mettre au travail. Nous commençons par l’alimentation. Le boitier est préparé pour accueillir une alimentation SFX, ce qui n’est pas notre cas, nous commençons donc par enlever l’adaptateur SFX et on conserve les 4 vis pour fixer notre PSU ATX. Le fabricant fournit un patin en caoutchouc pour rehausser l’alimentation et l’aligner avec les trous de fixation, mais pas que ! Oh, et attention ! Il ne faudra pas oublier de passer le riser avant de placer l’alimentation si vous utilisez votre GPU de façon verticale, car une fois le PSU en place, il est impossible de passer la fiche dans l’écartement entre le support et l’alim.Sspud, dans un souci de gain de place, a prévu un emplacement pour un SSD en dessous de l’alimentation (ainsi qu’entre le support de la carte mère et une alimentation si celle-ci est au format SFX). Un 3ème emplacement est disponible sous les ventilateurs, celui que nous avons choisi. Attention au sens d’installation, car il est impossible de passer les fiches SATA sur la face arrière.
Nous pouvons maintenant passer à la mise en place de la carte mère. Celle-ci trouve sa place au-dessus de l’alimentation sans soucis et est fixée avec 4 vis. Le moment un peu «compliqué» de cette partie vient de la mise en place du riser (et oui encore ce satané riser…). Dans un sens pratique, il aurait été préférable de mettre la carte mère en premier, pour le coup. La zone pour le mettre en place n’est pas très grande et il faudra s’armer de patience et de doigté pour l’insérer. Une fois la CM en place, on peut venir installer notre AIO. Pour cela, on profite d’une large place à l’arrière pour y fixer notre backplane et monter le waterblock sans problème.
On met ensuite le radiateur et le ventilateur sur la face avant. On en profite pour rajouter un ventilateur additionnel en dessous, car l’ARGB, c’est la vie. Attention tout de même… Si vous avez une alimentation SFX, pas de problème, par contre avec une alimentation ATX comme la nôtre, mettre une AIO devient une vraie misère alors que les câbles ne sont pas encore branchés… Et cela va de même pour la dimension de l’AIO : l’angle de pliage des tuyaux est très limite, comme on peut le voir en photo.
Nous voilà arrivés au GPU, nous avions choisi le mode vertical, car c’est plus beau, mais aussi, car avec une alimentation ATX, il est impossible de la mettre dans le sens d’origine directement sur la carte mère. La fixation est assez simple à mettre en œuvre, d’autant que vu l’espace réduit, le fabricant a opté pour des vis à mains.
Pour finir, on passe au «câble management» qui est assez complexe au vu de l’espace de travail fourni. En même il s’agit d’un boitier très compact donc c’est assez logique. Nous avons des zones d’attaches sur le côté de la carte graphique qui nous permettent d’arranger les câbles pour avoir quelque chose d’assez propre.
Avec notre AIO Neptune 120, nous avons un contrôleur qui trouvera sa place entre le SSD et le radiateur.
Voilà, on branche nos périphériques et nous sommes est prêt à allumer notre config. Attention cependant au branchement du moniteur. Nous n’avons pas le choix que d’utiliser le câble HDMI fourni, car l’espace entre le port du GPU et le bureau est très faible, une fiche droite aura beaucoup de mal à passer. Il faudra aussi gérer votre espace de bureau, le câble fourni ne fait que 100 cm : c’est court.
Allons stresser un peu notre configuration maintenant.