Le montage se fait en 2 phases. Tout d'abord, il faut assembler le bracket. On commence par visser le câble au support métallique, via 2 vis, qui se mettent par le dessous.


Ensuite, on installe la carte graphique, et on termine par le vissage de celle-ci, avec une des vis fournies  – et surtout pas une vis à main, qui générait la phase 2. A cette étape, normalement, on est sensés coller le patin en mousse. Il permet notamment de protéger les caches alimentation des boitiers, qui pourraient être griffés lors lors de l'installation. A noter que le constructeur en fournit 3, ce qui permet de changer plusieurs fois de carte graphique, car ils viennent masquer les vis. Bien évidemment, il est toujours possible de les découper si besoin. Etant donné qu'il y a de l'espace dans notre cas, nous ne l'avons pas mis en place.

La 2 eme partie, c'est bien évidemment l'installation dans le boiter. Il faut, on le disait, tout d'abord défaire 7 équerres PCI à l'arrière d'un boitier, dans notre cas, le Phanteks 719. Ainsi, le boitier est désormais équipé pour accueillir la carte mère à la verticale. A cette étape, il faut connecter le riser à la carte mère, dans le port PCI-E n°1. C'est celui habituellement utilisé pour les cartes graphiques, donc aucune raison d'en choisir un autre. Mais la carte graphique va venir se placer devant : il ne sera plus accessible, donc autant commencer par lui. Ensuite, on vient placer le bloc bracket / GPU sur la zone des équerres. Il nous a fallu tâtonner un peu avant de réussir à aligner les 3 vis.


On reconnecte les câbles d'alimentation PCI-E, et on met sous tension. Au passage, on pourra se demander l’intérêt d'un tel système dans un boitier qui dispose déjà en standard des emplacements verticaux adaptés, tel notre 719. Cela montre déjà que cela est possible, et surtout, cela ouvre la voie aux configurations SLI verticales, notamment.

Il est maintenant de passer aux tests. En effet, on va le voir page suivante, il y a bien des tests à mener !