Un packaging très simple s'offre à nous comme premier contact avec le X150. Un blister renferme SSD avec une façade noire décorée de la marque avec une indication en gros format de la capacité du SSD en question, 240 Go dans notre cas. Le fabricant promet des débits atteignant les 520 Mo/s en lecture et 500 Mo/s en écriture. Ce SSD au format 2.5 pouces utilise une interface SATA 3 pour communiquer avec notre carte mère. Ces puces mémoires sont de types 3D NAND TLC ce qui permet de superposer les puces sur plusieurs couches afin d'offrir plus de capacité pour une même surface occupée et augmenter ainsi la densité du stockage. Le tout est géré par un contrôleur Phison, qui a tout l'air d'un contrôleur DRAM-less avec un cache de 4 Go pour notre version.
Pour rappel, les SSD DRAM-less sont dotés d'un contrôleur qui gère une mémoire cache composée de puces NAND SLC ou MLC, on perd alors les avantages d'un cache DRAM en termes de temps d’accès entre autres. Cela se traduit par des baisses de performances sur les transferts de gros fichiers et les accès aléatoires donc en réactivité. La solution DRAM-less permet toutefois d'offrir des SSD moins chers.
Sur la face arrière de l'emballage se trouvent les identifications de base du fabricant, ainsi que quelques inscriptions traduites en plusieurs langues. Une fois le SSD déballé, notons que son boitier est fait en matière plastique noire à la texture granuleuse. Une grande inscription de la capacité est apposée sur dessus avec le nom du modèle, le tout sur une étiquette noire.
Sur le revers, une étiquette nous informe des différentes caractéristiques comme l'interface utilisée ou même la tension. Même une date de fabrication est présente en même temps que le numéro de série avec quelques avertissements d'usages.
Passons à la mise en place du disque pour pouvoir mesurer ses performances.
Pour rappel, les SSD DRAM-less sont dotés d'un contrôleur qui gère une mémoire cache composée de puces NAND SLC ou MLC, on perd alors les avantages d'un cache DRAM en termes de temps d’accès entre autres. Cela se traduit par des baisses de performances sur les transferts de gros fichiers et les accès aléatoires donc en réactivité. La solution DRAM-less permet toutefois d'offrir des SSD moins chers.
Sur la face arrière de l'emballage se trouvent les identifications de base du fabricant, ainsi que quelques inscriptions traduites en plusieurs langues. Une fois le SSD déballé, notons que son boitier est fait en matière plastique noire à la texture granuleuse. Une grande inscription de la capacité est apposée sur dessus avec le nom du modèle, le tout sur une étiquette noire.
Sur le revers, une étiquette nous informe des différentes caractéristiques comme l'interface utilisée ou même la tension. Même une date de fabrication est présente en même temps que le numéro de série avec quelques avertissements d'usages.
Passons à la mise en place du disque pour pouvoir mesurer ses performances.