Après plusieurs semaines de test passées à essayer ce nouveau clavier et à en explorer l'écosystème, il est temps d'en faire le bilan.
Mais quel régal ces switchs ! Les MX Red excellent à la fois pour le jeu et pour le traitement de texte, les 45 g de pression sont un réel plaisir en jeu, un peu moins en frappe où les switchs blues restent les maitres en la matière. Cependant, il est bon à rappelle qu'une légère pression même anodine active la touche, on vous laisse imaginer quand vous vous mettez à écrire un long monologue le nombre de fautes de frappe...parfois même en jeu il arrive que notre personnage bouge tout seul, trahissant un appui involontaire. C'est un coup à prendre et une fois maitrisé, le CK550 est une vraie bête ingame.
Au niveau multimédia, on a quatre touches : silence, avant, arrière et lecture/pause. Pour la gestion du volume, il faudra passer par la touche Fn + pg haut ou pg bas. Ce qui est peu pratique ; mais pour le prix du clavier, dur de caler des touches multimédias dédiées.
Côté éclairage, rien à redire. La lumière se diffuse très bien même en journée et les nombreux effets disponibles ou possibilités de réglages permettent de choisir un combo RGB ou non qui nous plaisent. Évidemment, c'est en pleine nuit que le rétroéclairage est le plus utile et la visibilité offerte est excellente, le rôle est assuré de ce côté-là. Car les claviers qui proposent cette fonctionnalité sans pour autant penser à bien laisser passer la lumière sont plus nombreux qu'on le pense.
Confort de frappe
Dans un premier temps, nous parlons du point le plus important, le confort. Les touches sont plutôt douces au toucher grâce au revêtement en caoutchouc, le tout en étant incurvés, ce qui est gage d'un grand confort : ceci même après une longue phase de jeu, ou pire encore, une longue phase de frappe. Le bruit produit à chaque pression se fait entendre, peut-être un peu moins avec le châssis en plastique.Mais quel régal ces switchs ! Les MX Red excellent à la fois pour le jeu et pour le traitement de texte, les 45 g de pression sont un réel plaisir en jeu, un peu moins en frappe où les switchs blues restent les maitres en la matière. Cependant, il est bon à rappelle qu'une légère pression même anodine active la touche, on vous laisse imaginer quand vous vous mettez à écrire un long monologue le nombre de fautes de frappe...parfois même en jeu il arrive que notre personnage bouge tout seul, trahissant un appui involontaire. C'est un coup à prendre et une fois maitrisé, le CK550 est une vraie bête ingame.
Ergonomie et éclairage
Livré sans repose-poignet, on aurait tendance à penser fatigante l'utilisation du CK550 avec son profil relevé. En réalité, il tombe de suite sous la main (ou les doigts plutôt) et on peut même se permettre d'utiliser les pieds pour surélever encore plus et surtout, le bloquer sur le bureau. Car oui, les deux patins ne suffisent pas à son maintien et une petite poussée le déplace, ce qui arrive vite en jeu. Pas de problèmes avec les pieds levés.Au niveau multimédia, on a quatre touches : silence, avant, arrière et lecture/pause. Pour la gestion du volume, il faudra passer par la touche Fn + pg haut ou pg bas. Ce qui est peu pratique ; mais pour le prix du clavier, dur de caler des touches multimédias dédiées.
Côté éclairage, rien à redire. La lumière se diffuse très bien même en journée et les nombreux effets disponibles ou possibilités de réglages permettent de choisir un combo RGB ou non qui nous plaisent. Évidemment, c'est en pleine nuit que le rétroéclairage est le plus utile et la visibilité offerte est excellente, le rôle est assuré de ce côté-là. Car les claviers qui proposent cette fonctionnalité sans pour autant penser à bien laisser passer la lumière sont plus nombreux qu'on le pense.