On se retrouve donc avec une souris de forme assez allongée. Ses dimensions sont de 132,63 x 73,48 x 41,29 mm ce qui fait de la Neon M50 une souris prédestinée aux mains de tailles moyennes. Elle est également assez basse ce qui pourra en déranger certains, mais dans la plupart des cas cela n’enlève rien au confort et à l’expérience offerte par cette souris.
On remarque au toucher une matière mate très agréable. Des pavés antidérapants sont également présents sur chaque côté de la souris ce qui offre une prise en main encore plus confortable comme on a déjà pu le voir avec la Ozone Argon.
Passons maintenant au logiciel accompagnant la Neon M50.
On remarque au toucher une matière mate très agréable. Des pavés antidérapants sont également présents sur chaque côté de la souris ce qui offre une prise en main encore plus confortable comme on a déjà pu le voir avec la Ozone Argon.
Dessous
Avec cette première vue on peut apercevoir quatre petits patins placés dans les coins de la souris. Le matériau utilisé est du téflon, comme présent sur de plus en plus de souris. La souris offre un capteur optique Pixart PMW3310 qui peut atteindre jusqu'à 5000 DPI, qui seront paramétrables par tranches de 100 DPI avec le pilote de la souris que nous verrons un peu plus tard dans ce test – inutile de préciser que cette résolution est largement suffisante pour n'importe quelle utilisation. Entre autres, le numéro de série, le numéro de modèle et les labels usuels sont bien évidemment aussi inscrits sur le dessous de la Ozone Neon M50.Dessus
Sur le dessus du mulot, on distingue les boutons principaux tous conçus par l’entreprise japonaise Omron, qui sont le clic droit et gauche, la molette ainsi qu'un bouton en dessous de celle-ci pour le changement de profils de résolution DPI préalablement établis avec le driver, ce dernier bouton pourra aussi se voir assigner une nouvelle fonction autre que celle de base. Quant à la molette, Ozone a raté son coup avec celle-ci : bien qu'elle soit silencieuse, les crans ne sont vraiment pas marqués, ce qui donne une mauvaise impression de qualité et peut être handicapant pour certains joueurs, de plus , aucun mouvement latéral n'est possible. Néanmoins, la marque a su nous offrir un joli design pour droitier et a étoffé sa souris de son logo rétroéclairé ainsi que d'une bande de LED faisant le tour de la souris : tout cela en RGB 16,8 millions de couleurs, un grand plus pour les joueurs exigeant sur l'esthétique de leur matériel. Pour les plastiques utilisés, on retrouve donc une matière mate offrant une belle prise en main comme dit un peu plus haut.Côtés
En observant plus attentivement, on trouve deux boutons sur le côté gauche de notre souris qui étaient jusque-là invisibles avec leur renfoncement dans le creux du mulot. Ces boutons supplémentaires ne sont pas très accessibles dès la première prise en main et ils font très cheap, en effet une sensation de fragilité et de mou est présente, comme avec la molette. Évidemment, au vu du prix de l'Ozone M50, ces petits détails dérangeants sont très acceptables : ces imperfections ne seraient pas recevables sur une souris beaucoup plus haut de gamme. Ces boutons correspondent en configuration de base à « page avant » et « page après », ce qui sera modifiable dès l'installation du pilote. Des deux côtés, on retrouve une surface de grip qui offre une meilleure prise en main et un confort non négligeable.Connectique
Le câble est gainé d'un tissu noir, permettant au fil de ne pas s’emmêler et de mieux résister face à l'épreuve du temps. Au bout du câble se présente un connecteur USB 2.0 plaqué or ce qui, on est d'accord, est une caractéristique purement commerciale destinée à faire croire que la conductivité de l'or est un atout pour la transmission d'informations numériques, ce qui est totalement faux : cela n'impacte en rien la qualité du connecteur.Passons maintenant au logiciel accompagnant la Neon M50.