Après plusieurs d'utilisation, voyons quelles sont nos impressions.
On regrettera tout de même l'absence d'un repose-poignet. Pour compenser, nous avons été obligés de passer à la caisse pour en acheter un à nos frais – ce qui nous semble anormal sur un modèle haut de gamme.
Comparé à un clavier à membrane, le gain en terme de confort et de réactivité est appréciable. Aucun problème pour les frappes multiples, puisque si vous vous amusez à activer 8 ou 10 touches simultanément, leur saisie sera reconnue.
Concernant les touches Razer, il s'agit des mêmes interrupteurs que nous utilisons depuis deux ans au quotidien sur notre précédent Blackwidow Ultimate. Ils sont aussi confortables que des Cherry, et nous n'avons jamais rencontré de problème particuliers avec ces interrupteurs « maison ».
Cette prise de distance avec Cherry ne se pas traduit pas forcément par une baisse de prix pour le consommateur. Le haut de gamme de la série X étant proposé quasiment au même prix que les anciens hauts de gamme de la série Blackwidow classique, à 10 € près.
Dans un autre registre, on apprécie également le look relativement discret du périphérique et ses dimensions raisonnables. On n'aura pas trop de mal à lui trouver une place sur un bureau.
De plus, le rétroéclairage allie à la fois des qualités fonctionnelles et esthétiques. Dans la mesure où nous travaillons ou jouons dans un environnement sombre, le fait d'avoir des touches rétroéclairées est presque indispensable. Et comme Chroma permet d'ajouter divers effets et couleurs, cela transforme l'objet clavier en un élément décoratif fort sympathique.
C'est un retour en arrière par rapport aux précédents hauts de gamme de la marque qui intégraient ces fonctionnalités.
Au fond, rien ne nous a manqué même si, à l'usage, il y a bon nombre de fonctions qui n'intéresseront qu'une minorité de joueurs. Elles ont tout de même le mérite d'être présentes et d'apporter une grande flexibilité de l'outil à l'utilisateur, ce qui est appréciable pour un produit haut de gamme.
Partie matérielle
Le Blackwidow X est un clavier mécanique sobre et robuste qui survivra aux parties de FPS les plus endiablées, sans bouger d'un pouce sur son bureau. Le fait d'avoir retirer la protection supérieure lui donne également un charme particulier et facilitera les opérations de nettoyage.On regrettera tout de même l'absence d'un repose-poignet. Pour compenser, nous avons été obligés de passer à la caisse pour en acheter un à nos frais – ce qui nous semble anormal sur un modèle haut de gamme.
La frappe
A l'usage, on retrouve les qualités et les inconvénients d'un clavier mécanique, surtout lorsque celui-ci est équipé de switchs mécaniques à clic. La saisie de texte est évidemment bruyante, mais ces nuisances sonores sont moins perceptibles dans le cadre d'une utilisation vidéoludique, notamment parce que beaucoup de joueurs utilisent un casque. En revanche, ce genre de nuisance peut gêner votre entourage et c'est un point qu'il convient de considérer avant de s'orienter vers ce type de clavier.Comparé à un clavier à membrane, le gain en terme de confort et de réactivité est appréciable. Aucun problème pour les frappes multiples, puisque si vous vous amusez à activer 8 ou 10 touches simultanément, leur saisie sera reconnue.
Concernant les touches Razer, il s'agit des mêmes interrupteurs que nous utilisons depuis deux ans au quotidien sur notre précédent Blackwidow Ultimate. Ils sont aussi confortables que des Cherry, et nous n'avons jamais rencontré de problème particuliers avec ces interrupteurs « maison ».
Cette prise de distance avec Cherry ne se pas traduit pas forcément par une baisse de prix pour le consommateur. Le haut de gamme de la série X étant proposé quasiment au même prix que les anciens hauts de gamme de la série Blackwidow classique, à 10 € près.
Dans un autre registre, on apprécie également le look relativement discret du périphérique et ses dimensions raisonnables. On n'aura pas trop de mal à lui trouver une place sur un bureau.
Sérigraphie et rétroéclairage
La sérigraphie est nettement plus claire par rapport à celle employée par Razer sur ces anciens modèles. Cette évolution, nous l'attendions depuis un moment et c'est quelque chose que l'on apprécie.De plus, le rétroéclairage allie à la fois des qualités fonctionnelles et esthétiques. Dans la mesure où nous travaillons ou jouons dans un environnement sombre, le fait d'avoir des touches rétroéclairées est presque indispensable. Et comme Chroma permet d'ajouter divers effets et couleurs, cela transforme l'objet clavier en un élément décoratif fort sympathique.
Le retrait des ports supplémentaires
Il est à noter que clavier ne possède pas de connectique autre que son câble USB, ce qui peut entrainer quelques problèmes de confort, principalement pour les personnes se déplaçant en LAN. C’est en effet un confort indéniable d’avoir un ou deux ports USB ainsi qu'une entrée et sortie audio directement à proximité, sans avoir à se baisser sous une table dans le noir.C'est un retour en arrière par rapport aux précédents hauts de gamme de la marque qui intégraient ces fonctionnalités.
Partie logicielle
L'interface du pilote Synapse 2.0 est bien pensée. Certes, il faut s'inscrire et avoir un accès internet pour en profiter, mais au final le logiciel fait le boulot attendu, sans noyer l'usage sous des réglages inutiles. La présentation est correcte, l'organisation des options assez logique, et le tout est proposé en français bien traduit. De plus, les possibilités de paramétrages sont importantes et on peut créer ses profils et les retrouver facilement sur un autre poste.Au fond, rien ne nous a manqué même si, à l'usage, il y a bon nombre de fonctions qui n'intéresseront qu'une minorité de joueurs. Elles ont tout de même le mérite d'être présentes et d'apporter une grande flexibilité de l'outil à l'utilisateur, ce qui est appréciable pour un produit haut de gamme.