La télécommande

La télécommande du Blast ST est différente de celle des autres déclinaisons. Elle est bien plus compacte, ce qui est logique si on prend en compte que le casque n'a ni son multi-canal, ni sortie console à gérer.


Elle est constituée d'une petite molette pour le réglage du volume son, et d'un gros bouton « mute » pour le couper.

Le casque & le micro

Le casque en jette avec son look sobre, mais à la fois agressif. L'ensemble est tout noir,  – couleur préférée des gamers  –  et les coques d’oreilles sont agrémentées d'un insert métallique assez sympa. Notons cependant que par rapport aux autres versions du Blast, ils ne sont pas rehaussés d'un éclairage LED, absence de connectique USB, pour l'alimenter, oblige. On peut également souligner que les rembourrages d'oreilles sont noirs ici, contrairement au Blast 4HX où ils étaient rouges.

Sur ce casque, les oreilles se plient vers l'intérieur pour que le Ozone prenne moins de place dans un sac lors d'un voyage par exemple. C'est une bonne idée, mais cela fait que les coques ne peuvent pas tourner à 90° pour être posées à plat sur le bureau, comme on le voit parfois sur d'autres modèles de la concurrence.


Le micro est une tige rabattable verticalement, dont la partie centrale est légèrement orientable. Il reste le long de la joue et ne vient pas près de la bouche, cela permet d'assurer un son plus clair pour ses interlocuteurs. Et astuce toute simple dont bon nombre de constructeurs devraient s'inspirer : quand on remonte le micro en position verticale, celui-ci se coupe automatiquement. Pas besoin de bouton ou de LEDs, c'est vraiment intuitif !

Installons maintenant l'engin sur notre PC de test.