Une fois sorti de son polystyrène et de son étui plastique de protection, le boitier Phanteks se dévoile. On commence notamment par la façade, dont le design original est la signature de ce Primo. On retrouve ainsi une face avant assez habituelle du haut de gamme, en aluminium brossé et avec une porte pour protéger les baies. Mais elle est accompagnée de deux sortes de « bandes » de faible largeur, accolées au boitier : la première est en acier, et est uniquement destiné à l'aération, et l'autre est en plastique glossy et embarque une barre de LEDs sur toute la hauteur du boitier. Elle porte aussi l'un des plus gros bouton Power qui nous ait été donné de voir : 3 cm sur 2. Difficile une fois sous tension de le rater, car il est lui aussi illuminé, mais éteint il est très discret car aucune sérigraphie ne vient indiquer son rôle.
Le dessus de la tour est dans la continuité de la façade, avec là encore une barre de LED sur du plastique glossy. On retrouve également une bande de perforations pour l'aération, qui porte en plus la connectique. Il y a comme bien souvent, 2 ports USB2, 2 USB3, les jacks micro/casque, mais aussi le bouton pour allumer et éteindre la barre de LEDs. Le reste est quasiment entièrement occupé par la grille amovible du filtre anti poussière, qui protège un emplacement de radiateur de pas moins de 480 mm !
Si on poursuit la visite, on découvre que l'arrière est un peu plus classique. Pourtant, si on fait attention, on voit que le boitier dispose de 2 emplacements de blocs d'alimentation ATX. Le principal, qui est utilisé par le constructeur pour y glisser le carton de quincaillerie, est en fait pivoté de 90 ° par rapport à l'habitude. On le verra lors de l'installation, mais dans le Primo, l'alim se place sur la tranche. Le reste est plus classique, avec pas mal de perforation. On note aussi que le ventilateur en extraction est un 140 mm, ce qui n'est pas souvent le cas. Monté sur des trous oblongs, il est donc repositionnable en hauteur si nécessaire. C'est à ce genre de détail qu'on sait que le constructeur a mis tout son savoir-faire.
Notre exemplaire était également doté d'un panneau latéral vitré, mais avec non pas une grande fenêtre comme d'habitude, mais avec une grande, et une plus petite, qui permet de voir notamment le logo de la marque. Ce design du vitrage est à l'image du reste de la tour : simple et pourtant super efficace. L'autre panneau recèle aussi une touche d'originalité. Alors qu'habituellement, c'est juste une paroi pleine, ici on découvre 2 zones perforées. La plus grande, à l'avant, est pour permettre la mise en place d'un radiateur costal, et la plus petite, à l'arrière, est pour la ventilation de l'alimentation, qui, comme on le disait avant, est placée sur la tranche.
Finalement, quand on regarde le dessous, on voit que la tour est constituée à la manière d'un catamaran : on a 2 gros piétements qui font toute la longueur, et la zone centrale de prise d'air frais est surélevée. C'est une configuration originale, permise par la grande hauteur du boitier. Pour lutter contre les vibrations, pas moins de 7 patins en caoutchouc sont présents, placés de manières non symétriques pour être plus efficaces.
Il est temps de démonter les panneaux et de faire le tour du propriétaire.
Le dessus de la tour est dans la continuité de la façade, avec là encore une barre de LED sur du plastique glossy. On retrouve également une bande de perforations pour l'aération, qui porte en plus la connectique. Il y a comme bien souvent, 2 ports USB2, 2 USB3, les jacks micro/casque, mais aussi le bouton pour allumer et éteindre la barre de LEDs. Le reste est quasiment entièrement occupé par la grille amovible du filtre anti poussière, qui protège un emplacement de radiateur de pas moins de 480 mm !
Si on poursuit la visite, on découvre que l'arrière est un peu plus classique. Pourtant, si on fait attention, on voit que le boitier dispose de 2 emplacements de blocs d'alimentation ATX. Le principal, qui est utilisé par le constructeur pour y glisser le carton de quincaillerie, est en fait pivoté de 90 ° par rapport à l'habitude. On le verra lors de l'installation, mais dans le Primo, l'alim se place sur la tranche. Le reste est plus classique, avec pas mal de perforation. On note aussi que le ventilateur en extraction est un 140 mm, ce qui n'est pas souvent le cas. Monté sur des trous oblongs, il est donc repositionnable en hauteur si nécessaire. C'est à ce genre de détail qu'on sait que le constructeur a mis tout son savoir-faire.
Notre exemplaire était également doté d'un panneau latéral vitré, mais avec non pas une grande fenêtre comme d'habitude, mais avec une grande, et une plus petite, qui permet de voir notamment le logo de la marque. Ce design du vitrage est à l'image du reste de la tour : simple et pourtant super efficace. L'autre panneau recèle aussi une touche d'originalité. Alors qu'habituellement, c'est juste une paroi pleine, ici on découvre 2 zones perforées. La plus grande, à l'avant, est pour permettre la mise en place d'un radiateur costal, et la plus petite, à l'arrière, est pour la ventilation de l'alimentation, qui, comme on le disait avant, est placée sur la tranche.
Finalement, quand on regarde le dessous, on voit que la tour est constituée à la manière d'un catamaran : on a 2 gros piétements qui font toute la longueur, et la zone centrale de prise d'air frais est surélevée. C'est une configuration originale, permise par la grande hauteur du boitier. Pour lutter contre les vibrations, pas moins de 7 patins en caoutchouc sont présents, placés de manières non symétriques pour être plus efficaces.
Il est temps de démonter les panneaux et de faire le tour du propriétaire.
L'aération de l'alimentation, sur la tranche, est-elle protégée par un filtre anti-poussière ?