Avant de rentrer dans le détail, un paramètre important est à prendre en compte. Dès l'annonce du clavier, QPAD a voulu jouer franc-jeu en précisant que le MK-70 n'était pas un clavier haut de gamme, car à ce niveau là, le marché était complètement bouché. Le principal objectif – et il est louable – de la marque est en effet de permettre aux joueurs peu fortunés d'acquérir un clavier mécanique. Cette référence mise donc à fond que le rapport qualité/prix.
Le clavier sans son rétroéclairage reste assez sombre, mais reste très agréable à regarder. Les lignes sont droites, il n'y a pas d'éléments tranchés ni de découpes futuristes. On remarque tout de suite la touche « Fn », qui vous permettra d'utiliser les touches de raccourcis du clavier, à la manière des ordinateurs portables, ainsi que de faire varier l'intensité du rétroéclairage.
Lorsque vous le soulèverez pour la première fois, vous serez surpris par son poids. En effet, avec 1.4 Kg, c'est l'un des claviers les plus lourds parmi ceux passés entre nos mains, comme vous le remarquerez dans le tableau récapitulatif ci-dessous qui présente les mensurations de diverses références (mécaniques ou à membrane). Ses dimensions sont quant à elles dans la moyenne basse : il ne sera donc pas nécessaire de prévoir beaucoup de place sur le bureau pour le poser.
En-dessous du clavier, le nombre de coussins antidérapants est suffisant. Vous n'aurez donc pas le clavier qui glissera facilement sur votre bureau, même pendant les phase de jeux les plus frénétiques. Les deux pieds qui permettent de surélever le clavier sont juste comme il faut, afin de ne pas faire trop de mal à vos poignets. On regrettera d'ailleurs l'absence d'une « barre repose poignet », d'autant plus qu'il y a déjà les deux points d'attache de cette dernière sur le clavier. Cela peut paraître étrange, d'autant plus qu'elle était fournie sur le MK-50 !
Dernier point sur la présentation du clavier, mais qui perturbe le plus, il s'agit de la zone habituelle des connectiques. En effet, la zone est bien là, mais totalement dépourvue de son hub USB ainsi que de ses deux E/S pour l'audio – seuls restent les emplacements marqués par des découpes dans le plastique. Comme décrit précédemment, le fabriquant utilise le même châssis que son MK-85 afin de réduire les coûts de fabrication et cela se voit donc directement dans cette découpe disgracieuse.
Le clavier sans son rétroéclairage reste assez sombre, mais reste très agréable à regarder. Les lignes sont droites, il n'y a pas d'éléments tranchés ni de découpes futuristes. On remarque tout de suite la touche « Fn », qui vous permettra d'utiliser les touches de raccourcis du clavier, à la manière des ordinateurs portables, ainsi que de faire varier l'intensité du rétroéclairage.
Lorsque vous le soulèverez pour la première fois, vous serez surpris par son poids. En effet, avec 1.4 Kg, c'est l'un des claviers les plus lourds parmi ceux passés entre nos mains, comme vous le remarquerez dans le tableau récapitulatif ci-dessous qui présente les mensurations de diverses références (mécaniques ou à membrane). Ses dimensions sont quant à elles dans la moyenne basse : il ne sera donc pas nécessaire de prévoir beaucoup de place sur le bureau pour le poser.
Nom | Poids (g) | Largeur (mm) | Hauteur (mm) |
Clavier basique | 981 | 460 | 168 |
Clavier multimédia | 1045 | 483 | 220 |
Logitech G15V2 | 1015 | 490 | 220 |
Logitech G19s | 1050 | 490 | 220 |
Corsair K60 | 1160 | 438 | 165 |
Corsair K70 | 1110 | 437 | 165 |
Ozone Strike Pro | 1300 | 441 | 136 |
Logitech G710+ | 1460 | 508 | 220 |
Trigger-Z | 1516 | 476 | 253 |
Mk-70 | 1400 | 448 | 150 |
En-dessous du clavier, le nombre de coussins antidérapants est suffisant. Vous n'aurez donc pas le clavier qui glissera facilement sur votre bureau, même pendant les phase de jeux les plus frénétiques. Les deux pieds qui permettent de surélever le clavier sont juste comme il faut, afin de ne pas faire trop de mal à vos poignets. On regrettera d'ailleurs l'absence d'une « barre repose poignet », d'autant plus qu'il y a déjà les deux points d'attache de cette dernière sur le clavier. Cela peut paraître étrange, d'autant plus qu'elle était fournie sur le MK-50 !
Dernier point sur la présentation du clavier, mais qui perturbe le plus, il s'agit de la zone habituelle des connectiques. En effet, la zone est bien là, mais totalement dépourvue de son hub USB ainsi que de ses deux E/S pour l'audio – seuls restent les emplacements marqués par des découpes dans le plastique. Comme décrit précédemment, le fabriquant utilise le même châssis que son MK-85 afin de réduire les coûts de fabrication et cela se voit donc directement dans cette découpe disgracieuse.